Rappel du premier message :
- Statut du RP : ouvert aux incrustations (demander par MP au préalable)
- Type de RP : Normal
- Tour de jeu : Zeb - Sip - Alyaa
- Délai maximum d'attente de réponse : 1 semaine
- Sauts de tours : 3
- Autre : À POOOOIL.
Il y avait quelque chose de la forêt qui troublait les eaux de la mémoire. C'était presque comme si, d'un miracle inconnu, les souvenirs liés aux événements des dernières années s'étaient rangés d'eux-même dans un recoin pour s'y faire oublier. Les oiseaux piaillaient, les feuilles ruisselaient sous les caprices du vent, et de temps en temps, si on tendait bien l'oreille, on pouvait entendre les craquements des brindilles sous les pattes d'un animal s'adonnant aux mêmes activités qu'il avait toujours fait, bien avant eux, et bien après eux. Il y avait la vie. Loin de la ville abandonnée, loin des cris, du silence oppressant, loin des Hommes et de ce qui restait d'eux, il y avait ce qui avait toujours été ; inaltérée, la nature perdurait. Pendant un instant, tout était comme avant.
Le sentiment dura quelque temps. Une heure, peut-être. Un peu moins, un peu plus. Puis les souvenirs refirent surface. À l'orée du bois, la falaise se tenait. Elle n'était pas fière, mais elle était là, debout, grande et dure, usée, fatiguée, ornée de barricades et de militaires à son image. Bientôt, ils étaient à nouveau dans le monde déchu, la forêt un souvenir lointain, le chant des oiseaux tu par les pas lourds des soldats. Evans, dont les mains s'étaient chargé de traîner la moto, s'arrêta à quelques mètres de la structure en bois, qui rappelait que l'humanité, malgré ses avancées, n'existait encore que grâce à la ténacité de certains et la débrouillardise de quelques autres.
CONTRAT DE NOT'RP !
- Statut du RP : ouvert aux incrustations (demander par MP au préalable)
- Type de RP : Normal
- Tour de jeu : Zeb - Sip - Alyaa
- Délai maximum d'attente de réponse : 1 semaine
- Sauts de tours : 3
- Autre : À POOOOIL.
Il y avait quelque chose de la forêt qui troublait les eaux de la mémoire. C'était presque comme si, d'un miracle inconnu, les souvenirs liés aux événements des dernières années s'étaient rangés d'eux-même dans un recoin pour s'y faire oublier. Les oiseaux piaillaient, les feuilles ruisselaient sous les caprices du vent, et de temps en temps, si on tendait bien l'oreille, on pouvait entendre les craquements des brindilles sous les pattes d'un animal s'adonnant aux mêmes activités qu'il avait toujours fait, bien avant eux, et bien après eux. Il y avait la vie. Loin de la ville abandonnée, loin des cris, du silence oppressant, loin des Hommes et de ce qui restait d'eux, il y avait ce qui avait toujours été ; inaltérée, la nature perdurait. Pendant un instant, tout était comme avant.
Le sentiment dura quelque temps. Une heure, peut-être. Un peu moins, un peu plus. Puis les souvenirs refirent surface. À l'orée du bois, la falaise se tenait. Elle n'était pas fière, mais elle était là, debout, grande et dure, usée, fatiguée, ornée de barricades et de militaires à son image. Bientôt, ils étaient à nouveau dans le monde déchu, la forêt un souvenir lointain, le chant des oiseaux tu par les pas lourds des soldats. Evans, dont les mains s'étaient chargé de traîner la moto, s'arrêta à quelques mètres de la structure en bois, qui rappelait que l'humanité, malgré ses avancées, n'existait encore que grâce à la ténacité de certains et la débrouillardise de quelques autres.
- HRP:
- Ça m'a juste prit toute une journée mais Flaubert a pas écrit Bovary en 5 jours non plus hein /sort loin et vite.