Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé with Isara
- Tour de jeu : //
- Délai maximum d'attente de réponse : 3 jours (Parce qu'on est fous)
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 3 (parce qu'il faut rester prudent. Oui je sais ça fait 9 --')
- Autre : Flashback. 1 an.

Mais… Qu’est-ce que c’était que cette illusion. Une ville déserte, semblant abandonnée, avec personne. Des bombes qui atterrissait un peu partout au loin. Une bataille pour la vie, sans doute ce qui avait créer cette illusion. Sypho se sentait totalement perdu, dressant des murs de labyrinthe à la place des façades des bâtiments.

Il avait faim en plus. Il ne voyait personne. Perdu dans sa mémoire. Il voulait trouver quelqu’un. Et c’est en trébuchant, les larmes aux yeux après la sortie récente de cet prison. Hôpital, pardon, qu’il rentra accidentellement dans une personne en trébuchant sur ses lacets. Personne qui devint aussitôt visible à ses yeux.

« Euh… Désolé, pardon. Je… Voulais pas. Et… Euh… »

" Je... Mais... Ça fait un peu peur. " bon, il a 14 ans tout de même !  Mais, justement, à cet âge, on est intelligent, même si cet inconnu est sympa, on fait pas n'importe quoi. Mais bon, se défendre, ça, il savait faire ! " Bon, très bien. Mais, si a un truc... Bizarre, comptez pas sur moi pour rester. Mais... Merci pour, la nourriture. Mais, je resterai pas longtemps là-bas. J'aime pas rester longtemps quelque part et dans ce genre d'endroit. "

Au moins, il a accepté de me suivre et je vais pouvoir lui faire rencontrer le professeur. Qui sait peut-être qu'il sera plus convaincant que moi, il a déjà eu affaire à bien plus réticent. "Rien ne t'oblige à rester..." Et c'est vrai, personne n'a jamais été forcé de rester à l'institut, ce n'est qu'un refuge pour ceux qui le veulent et même une maison pour la plupart des résidents. "Mais au moins, tu sauras où me trouver si tu as besoin d'aide !" Ou si tu as faim, peur, envie de parler, la liste des possibles est longue...

Sypho acquiesça et commença à sortir. Il arrêta de pleuvoir quand il sortit, puisque ce n'était qu'un effet appliqué aux vitre, mais au temps gris, s'ajouta un brouillard. Sypho fut content de cette illusion, ça allait aider Isara. il était triste de ne pas pouvoir rester à l'institut. Il lui faisait confiance à elle. le reste, c'était une autre histoire. Mais, il irait la voir. Il savait d'avance qu'il ne tiendrait pas longtemps là-bas.

Je vois le monde se griser et il devient plus facile pour moi de le regarder. Je regrette presque de ne pouvoir garder Sypho avec moi en permanence, ça fait tellement du bien. Mais bon ce n'est pas objet dont je peux disposer à volonté. "Merci !" Pour la vision, pour me faire confiance, pour me suivre, pour tes attentions et ta gentilles. En fait ce petit mot veut dire tellement de choses.

" Hein ? Mais, je n'ai rien fait. " Sypho se demandait de quoi elle parlait. Il ne pouvait pas savoir qu'elle parlait de ce pouvoir qu'il ne contrôlait même pas. Cet institut, il se questionnait. Il valait vraiment mieux que le truc de Magneto. En fait, aucun des deux ne lui plaisait. D'après ce qu'il entendait. Un voudrait détruire tous les humains non mutants. Il ne savait pas si c'était une bonne idée de détruire ces sans-abris qui ne faisait rien à personne. L'autre, veut laisser le monde. Mais il faut emprisonner ce qui sont pas gentils.

Son innocence est certainement la chose la plus touchante chez lui et pourtant ce n'est pas la seule chose qui m'a frappé depuis qu'on a commencé à discuter. Cela me perturbe de savoir que Magneto ou l'un de ses sbires l'a déjà approché et tenté de l'endoctriner. Il est trop jeune pour ça, trop jeune pour faire un choix aussi important. J'aimerai pour ma part qu'il puisse grandir et apprendre à maîtriser son pouvoir avant. "Oh si, tu as fait beaucoup, tu ne t'en pas forcément compte, c'est tout..."

À la réponse d'Isara, Sypho comprit qu'elle parlait de l'illusion. Il teint à lui rappeler quelque chose qui pouvait souvent arriver à ceux qui le croisait. Enfin, sur les quelques personnes qui l'avaient croisées. " Tu sais, certaines choses ne sont pas de moi, c'est parfois ce qu'on pense. " Il ajouta une autre précision peu après. " Et, mon pouvoir n'arrange pas toujours les choses. " C'est d'ailleurs ce qui se passa, le monde qui se pliait à à la Inception, film de quatre an. Le brouillard se dissipa et on pu voir un trottoir ascendant.

Je me doute. Il est jeune et personne ne l'aide à maîtriser sa mutation donc rien d'étonnant. "Tu sais, c'est justement ce qu'on fait là où je vis, on aide les jeunes comme toi à comprendre et utiliser leur mutation." Je n'aime pas me confier donc je n'ajoute pas que j'étais bien plus perdue que lui quand je suis arrivée à l'Institut... "Mais surtout on protège les enfants qui pourraient s'attirer des problèmes parce que leur mutation n'est pas discrète !" Si Sypho tombe sur un membre de la LYRAH, je n'ose imaginer...

" Oui, on peut tomber sur la LIRAH. Mais, mon soucis, c'est plus tôt c'est gens qui croit que je suis fou... " C'était peut être le cas aussi. Son pouvoir avait-il de l'influence sur lui ? Ou c'était des visions psychotiques qui influençaient ces illusions ? Sypho trouvait que les paroles d'Isara et qui visaient clairement à le rassurer étaient jolies, mais il ne fallait pas se masquer la vérité. " Tu sais mon pouvoir a une très grande portée, ça doit être compensé par l'absence de contrôle dessus. " 50 mètres tout de même.

Plus je discute avec Sypho et plus je m'inquiète de ce qui a bien pu lui arriver pour qu'il finisse ainsi à la rue, paniqué dès qu'il croise quelqu'un, obligé de mentir et de mendier pour survivre. Dans ces moments, notre monde me fait peur. Les êtres humains ont toujours eu peur de la différence et c'est justement ce que représente les mutants, donc... La peur fait faire bien des choses répréhensibles aux gens, malheureusement. "C'est déjà impressionnant ce que tu arrives à faire Sypho alors que personne ne t'a jamais aidé."

" Je... Merci. Mais, j'ai quand même 14 ans, c'est pas rien. j'ai plus d'expérience que quelqu'un de plus jeune. " Et puis, il avait appris à se débrouiller depuis le temps. Ils passèrent sur le trottoir à la vertical. Drôle de sensation au niveau de la gravité qui pointait encore vers le bas. L'institut devait se trouver plus haut. En espérant que les illusions de Sypho ne donne pas l'impression de glisser sans arrêt vers le bas.

Les effets autour de nous sont de plus en plus bizarres et je sens que quelques chose cloche. L'illusion est en train d'échapper à Sypho. On ne devrait pas être en train de descendre perpétuellement. A force, on va finir par se retrouver en enfer. "Hum... Sypho..." Je ne sais pas trop comment amener le sujet sur la table. Aucune envie qu'il pense que je le crois nul ou incapable de savoir ce qu'il fait.

" C'est... Désolé. C'est l'illusion d'un gravité différent. Mes illusion affectent tous les sens. En réalité, nous sommes juste en train de tituber en arrière à notre point de départ. Mais, ça reste des illusions, rien de tout cela n'est réel. " Sypho, s'assit alors sur le sol, enfin, sur la partie qu'il pouvait, sur le sol qui était bien droit quoi. Et il commença à se concentrer. Visualisant une plaine plate, euh, non, un New York plat. Il se concentra vraiment fort, ignorant tout. Mais n'obtenu qu'un mal de tête.

Je l'observe s'asseoir et tenter de se calmer pour que l'illusion se stabilise. Visiblement sans résultat ! Bon ce sera une première pour moi, je n'ai encore jamais aidé un mutant à se contrôler. Je ne m'en sens pas capable. "Sypho, je vais te demander de te concentrer sur ma voix."

Sypho tentait de se concentrer sur la voix d'Isara, mais il avait sacrément mal à la tête. Finalement, il rouvit le yeux, sa tête reposant sur son cou. Mais bien heureusement, ses illusions n'était pas stable, encore moins sous l'influence d'émotions, ainsi, La route se replaça devant eux, mais la ville semblait maintenant abandonée, en ruine. Il sourit à Isa d'un faux sourire. " Et voilà... "

Je lui souris parce que je sens qu'il cherche mon approbation mais intérieurement je m'étonne moi même. Bon ça je vais éviter de le dire si veux rester crédible. "Ça va la tête ?" Les migraines, ça me connaît et je me doute que sa mutation lui en donne aussi, surtout quand il essaye de contrôler.

Sypho était un adolescent qui, enfant, avait été poli et bien élevé et, cela n'avait las changé, aussi, à la question qu'on lui posa, répondit-il simplement : " Oui, ça va. " ne cherchant pas une aide dont il n'avait pas besoin. Sypho, qui est aussi quelqu'un de gentil, n'oublia pas la suite. " Désolé pour tout ça. ". Le monde, toujours en ruine, en plus de cela, vacillait comme si ils étaient tous ivre, le mal de tête de Sypho.

Il s'excuse et ça me rend triste. J'ai envie de le prendre dans mes bras pour le consoler, le rassurer. Surement mon instinct maternel qui se réveille. Je fais un pas vers lui avant de me rendre compte qu'il n'appréciera pas à son âge d'être traité comme un bébé. Je me contente donc de m'asseoir à côté et de lui prendre la main. "Pas de soucis."

Sypho se demanda si elle s'occupait du professeur Xavier comme ça. Roh, toutes ces infos, ces souvenirs flous de prospectus m'allaot pas arranger son mal de tête. D'ailleurs, ça allait pas recommencer ? Si ? Enfin, il n'était pas à plaindre, Irasa, elle, devait carrément avoir des migraines, et fréquente, il se releva, prêt à reprendre sa marche, l'institut ne devait pas être loin. Bien qu'ils n'aient fait aucun pas.

HRP:

Il se relève et je fais de même. Nous marchons jusqu'à l'institut en silence, mais pas de malaise entre nous. Je suppose que l'un comme l'autre nous sommes perdus dans nos pensées... Moi, je me demande comment le convaincre de rester à l'école afin d'apprendre à maîtriser son don, j'imagine sa rencontre avec le prof. Je le connais depuis quelques années maintenant et je sais qu'il ne résistera pas à l'envie de l'aider. A voir si Sypho en a envie...

HRP: