CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé with Isara
- Tour de jeu : //
- Délai maximum d'attente de réponse : 3 jours (Parce qu'on est fous)
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 3 (parce qu'il faut rester prudent. Oui je sais ça fait 9 --')
- Autre : Flashback. 1 an.

Mais… Qu’est-ce que c’était que cette illusion. Une ville déserte, semblant abandonnée, avec personne. Des bombes qui atterrissait un peu partout au loin. Une bataille pour la vie, sans doute ce qui avait créer cette illusion. Sypho se sentait totalement perdu, dressant des murs de labyrinthe à la place des façades des bâtiments.

Il avait faim en plus. Il ne voyait personne. Perdu dans sa mémoire. Il voulait trouver quelqu’un. Et c’est en trébuchant, les larmes aux yeux après la sortie récente de cet prison. Hôpital, pardon, qu’il rentra accidentellement dans une personne en trébuchant sur ses lacets. Personne qui devint aussitôt visible à ses yeux.

« Euh… Désolé, pardon. Je… Voulais pas. Et… Euh… »

Quand vous avez qu'un seul repère, le reste s'efface. Sauf, que lorsque c'est un mutant comme Sypho auquel cela arrive, tout le reste s'efface littéralement. Ainsi, aux yeux de Sypho et de la demoiselle, il n'y avait plus que deux personne et un sol tout gris. Sypho voulut s'excuser de ces désagrément visuels. " Vraiment, désolé. Je... Se rappelant soudainement que tout le monde n'appréciait pas autant les mutants. " Ces illusions sont étranges. Un noir complet, de qui ça peut venir ? " Sypho détestait mentir.

Je comprends rapidement qu'il tente de se protéger contre des personnes n'aimant pas les mutants. Je veux le rassurer d'un sourire sauf qu'il ne me regarde pas. Mince ! Moi, je suis soulagée de ne plus avoir autant de choses sous les yeux et je sens ma migraine s'estomper. "Hum, pas de soucis !" M'a façon de dire que je sais sans entrer dans les détails...

Quand on est un mutant comme Sypho, c'est parfois risquer, surtout que là, il était au centre de l'attention, elle n'alalit pas tarder à comprendre que ça venait de lui. Et du coup, il stresse. Le monde se modifia encore. Un monde de métal, on aurait dit un quartier mal famé. On entendit une fausse sirène de police au loin. Alors, comme seul réflexe, Sypho se mit à pleurer en disant. "C'est pas de ma faute tout ça. M'emmener pas s'il vous plaît." Il savait tout de même se défendre, courir, mais, rien de dangereux pour l'instant.

Je le vois se décomposer alors que le paysage change autour de nous et je comprends que quelque chose ne va pas. La prof en moi ressurgit et je m'inquiète. "Ça va ? Je peux faire quelque chose pour toi, t'aider ?"

Ne voyant aucune réaction violente de la part de son interlocutrice, Sypho se calma. Et le monde paru soudain plus doux. La sirène se transforma en cri d'un vendeur de beignet, le métal devint du bois. On aurait dit une ville calme et paisible. Mais, Sypho avait faim. Ce qui ne fit que ramener le New-York normal avait des illusion beaucoup moins forte. Quelques croissant sur le sol de temps en temps et d'autres pâtisseries. " Je... Vous avez à manger ?"

Le paysage autour de nous n'a rien de stable et cela a pour effet de déclencher ma migraine. Mon cerveau veut enregistrer chaque détails des scènes qui passent devant mes yeux, mais tout cela se va trop vite et je suis à nouveau submerger par les informations. Je me masse inconsciemment pour soulager la douleur tout en le regardant. "Euh, non, je n'ai rien à manger, désolée." Est-ce réel ou juste des illusions ? "Il doit y avoir quelque chose dans les parages, on est à N-Y après tout !"

" Mais... Euh... j'ai pas d'argent. " Il la vit se masser la tête. Oh, c'était de sa faute ? " Désolé... Pour ce qui se passe. Je peux pas faire grand chose... Oui, ça vient de moi..." Il déteste mentir. Il tenta de se calmer, de respirer calmement. Finalement, les viennoiseries et autres sur le sol disparurent. " Voilà, c'est mieux ? Encore désolé... Ah, je m'appelle Sypho, pardon. Et vous ? "

" Merci... " Il était content et avais envie de sauter dans ses bras. Mais, il n'osa pas. Sypho réfléchissait sur cette migraine et tout. Elle avait l'air d'aller mieux tout à l'heure. Sypho, n'avait pas prêter attention aux alentours. Certaines personnes restaient ébahis par ce qu'elles avaient vus, mais la plupart était trop pressée, elle ne lui avait pas prêté attention d'ailleurs. D'ailleurs, l'absence d'illusion ne teint pas longtemps. Mais pour l'instant c'était léger, seulement le sommet des bâtiments qui ondulait. " J'ai 14 ans. "

Ce que je craignais, c'est un gosse dépassé par sa mutation. Pourquoi il n'est pas élève de l'institut ? J'ai peur de l'effrayer si je lui en parle comme ça, directement. Aussi je propose plutôt d'aller chercher à manger. "Allez, viens on va te nourrir !"

Sypho semblait plus heureux maintenant. Ses pensées dérivaiebt. Mais quand ses pensées dérivent, ses illusions aussi. Aussi des choses commencèrent à s'élever du sol sur la question que se posa inconsciemment Sypho sur la gravité. Sypho se demandait, par ailleurs, autre chose. " Pourquoi vous êtes pas étonné de ma mutation ? "

La question suivante du gamin est celle basique et je me doute aussi de la prochaine. Je déteste toujours autant parler de ma mutation même si le prof m'a appris à ne plus me voir comme un monstre... "Je suis une mutante et également professeur dans une école pour les gens comme nous." Un moyen comme un autre d'amener le sujet sur la table !

Sypho s'en doutait qu'elle était mutante. Ça pouvait être une humaine gentille aussi. Oui, logiquement, il se demandait quelque chose. Mais dans l'esprit perturbé d'un jeune homme comme Sypho, une remarque précéda la question. " Ah, comme pour le truc avec Magneto. " Un choix à faire, si dur, alors pourquoi le faire, lui, n'en avait rien a faire. Et puis, la question, originale. " Pourquoi ton pouvoir te fait mal à la tête ? "

Outch, je tilt au nom de l'ennemi. Est-ce qu'il a déjà approché le gamin ? Un jour, le prof devra se décider à mettre Magnéto hors d'état de nuire et de manière définitive. "Pas vraiment..." Les détails, il s'en fou alors j'évite ! "J'ai une mémoire photographique." Si je veux gagner sa confiance, je dois me montrer honnête.

"Oh... " Ce qu'il avait vu tout à l'heure prenait sens. Sypho s'arrêta et commença à se concentrer très fortement. Le monde se vit être de nouveau plongé dans le noir, bien que les objets soit toujours présent. Il y avait juste assez de lumière autour d'eux pour qu'il se dirige. Il regarda Isara en souriant, mais d'un air interrogateur.  " Ça va mieux ? "

Je ne peux m'empêcher d'être soulagée par l'absence de détails dans lequel nous plonge Sypho. Son attention me touche et je souris émue. "Merci, c'est adorable..." D'une certaine façon ce gosse a déjà conquis mon cœur et je ne peux le laisser dans cette situation !

Bon, à ce niveau là, un pouvoir n'est pas du tout contrôlable, on peut former des choses qui disparaissent aussitôt, dans un an, ça tiendra sûrement un peu plu longtemps. Ainsi, à maintenir son illusion, Sypho avait un peu mal à la tête, des vertiges. Aussi, celle-ci cessa-t-elle quelques secondes après. Le monde n'était pas très visible, on aurait que tout était en train d'osciller. Tant mieux, tout restait trop flou pour des détails. " Dé... Désolé. " Pour détourner l'attention, il pointa une boulangerie. " On peut aller là. "

Je sens la vision vaciller et je comprends que le gamin s'épuise pour moi, ce qui me touche encore plus mais me gêne aussi. Je le suis vers la boulangerie, il a bien mérité que je le nourrisse après le répit qu'il vient de m'octroyer au mépris de son propre état. "Choisis tout ce que tu veux !" Je sors mon portefeuille près à payer dès qu'il se sera décidé.

Alors, des croissant qui semble s'évaporer. Des baguettes de pain qui oscillent avec le mouvement des lignes du monde. Oh, un fondant... Au chocolat ! On dirait qu'il coule encore plus. Avec des yeux brillant, Sypho s'approcha et demanda : " Je peux prendre ça ? " Son estomac lui rappela à quel point il avait fait. Ce qui fit que les illusions revinrent à la présence de nourriture un peu partout.

Je sens sa faim grâce aux visions qui reprennent de plus belle. Je cligne des yeux, c'est plus fort que moi avant de lui sourire et de lui répondre. "J'ai dit ce que tu veux, tu peux même avoir plusieurs choses si ça te fait envie !" Je ne peux décemment laisser ce gosse plus longtemps dans la rue. C'est inhumain ! "Est-ce que ça te dirait de venir avec moi ensuite, dans l'école dont je t'ai parlé ?" Je suis certaine que le professeur X pourrait l'aider à stabiliser ses visions et que sa vie serait plus simple ensuite.

" Ça ira, mais si vous voulez vraiment, une simple baguette de pain. " Il écouta. École... Ce mot ne lui plaisait pas. Et puis les bâtiments, avec des gens. Le dernier endroit où il avait été, il s'en était enfui. Soudain, le monde se cristallisa. Une impression de froid. Du givre commençait à apparaître à divers endroits. Sypho, habitué, sorti son pull. " Une école ? Nan, je veux pas travailler... Et, je sais même pas où elle est, c'est peut être dangereux. " Sypho était sur la défensive, vu l'endroit d'où il sortait, pas étonnant.

Sypho commença, dès que ce fut payer, à manger ce qui lui avait été offert. Mais cet école ne l'enchantait pas. Il commençait à récupérer ses esprits. Donc les illusions "habituelles" commençaient à revenir. Là, dehors il se mit à pleuvoir. Il faisait gris. Ce genre d'illusion était marrant, parce que, rien n’indiquait que c'était iréel. Il fallait juste avoir l'habitude. Le temps pour s'habituer variait selon les personne, mais Sypho savait ce que c'était lui. " Il faudrait que j'en sois sûr. Et pourquoi cet endroit et pas un autre ? "