Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : ouvert aux incrustations surprises
- Tour de jeu : Amaeliss, Kachouk ,Vrankiel, Metio (Pour éviter un chaos absolument qui n'est que peu pratique. )
- Délai maximum d'attente de réponse : 0,1 seconde
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : ... Infini...
- Autre : Ici, les persos ont tous, pile la majorité, 18 ans puisque ça va se dérouler en Allemagne suite à un vote de 3 personnes dans la CB. Papotage ici

Je venais d'arriver, le voyage avait été assez long, mais me voilà en Allemagne... Sachant que je ne parle pas un mot en allemand. Je sentais que mon séjour allait être long. Je quittait l'aéroport pour me promenait dans la ville. J'en profitai pour visiter des musée et je finis par m'asseoir à un bar, à Berlin.

En réfléchissant à diverses choses, je me caressais la moustache, un tic assez récent. Elle me rappela que j'avais récemment eut 18 ans. C'est là que je me rendit compte de quelque chose.... J'étais majeur ! Ce qui voulait dire que...

Quelque minutes plus tard, me voilà, assis devant un verre d'alcool que je ne voulais pas boire... Merveilleux, c'était ma première dépense personnelle ! C'est à partir de ce moment-là que je commençai à courir partout pour expérimenter de nouvelle chose. Ce qui était étrange, c'est que j'avais remarqué la présence d'un homme vêtu de noir, qui, depuis quelque temps, me suivait.

Wosf eut un mouvement de recul. Cette fille était forte. Il décida, vu le risque que ça représentait de révéler une telle information dans cette situation; un risque infime voir nul ; d'abandonner la discrétion. Mais finalement il n'osa pas trop dire quoique que ce soit. De peur d'offenser quelqu'un ou de ruiner la couverture à moitié effondré de l'autre file... Il parvint juste à répondre à la question de la fille à la batte : "Je m'appelle Wosf... On devrait peut-être oublier les quelques minutes précédentes..."

La première pensée de Lyra fut que le gars avait une petite amie cachée dans le coin. La deuxième, que ses cheveux noirs et blancs étaient plutôt stylés. La troisième, que l'oiseau s'était fait la malle. Et là, ça fit tilt. "Ta meuf peut se transformer en oiseau ?!" s'exclama-t-elle (pardonnez-là, elle avait pas encore sorti sa connerie du jour), avant de réaliser que ça n'allait pas arranger la gêne de la fille. "Hum... Pardon. Donc, Wosf. A tes sou- euh, enchantée. Et toi, ton nom, c'est... ?" fit-elle envers la nouvelle.

Hajar grimaça. Être la copine de quelqu'un lui paraissait impossible ... et pyis elle ne le connaissait même pas ! Mais le plus inquiétant était son manque de discrétion. Tout le monde avait plus ou moins compris sa nature. La panique de se retrouver dans un environnement inconnu lui avait fait perdre ses moyens. Elle sourit à Lyra. Je ne suis la copine de personne, je m'appelle Hajar. Et ... me transformer en oiseau ? Non, je ne suis pas de ces monstres ! s'exclama-t-elle sans réaliser son erreur.

Un regard ironique de Luz adressé au garçon fut une belle récompense pour son mouvement de recul.  Il remua la bouche et la sourde comprit plus ou moins le problème. Elle s'approche timidement et lui fait un câlin muet en signe d'amitié et pour lui faire comprendre que c'est oublié ensuite elle fit aussi un calin muet à la fille à la batte pour qu'elle ne se sente pas jalouse. Pour que tu ne te sentes pas délaissée expliqua Luz à sa traductrice. Et là, elle va faire aussi un calin muet à Hajar.

Wosf se sentait légèrement perdu. Mais accepta le câlin, pour ne pas délaisser la fille et parce qu'ils ne pouvait pas refuser. Et Wosf regarda la fille-oiseau, assez perturbé par ses réponses. Finalement, il décida de faire le point sur la situation. " Donc, personne ne sait ni où, ni quand nous sommes ? Et il n'y à l'air de n'y avoir ni milice, ni zombie, ni esprit. " Il se rendit compte qu'il avait peut-être parlé un peu vite quand, il réapparut, l'homme de tout à l'heure, armée, et loin d'être seul et amical.

Lyra reste immobile. Elle essaie de se rappeler la dernière fois que quelqu'un l'a serré dans ses bras, commença, par gentillesse. Elle reste immobile. Et puis un petit sourire fleurit sur ses lèvres. Et pendant une seconde encore elle ne bouge pas, avant de lancer un sourire, cette fois nettement moqueur, à Hajar. "C'est c'qu'on dit..." Soudain, un type en noir tourna dans leur rue. Flippant... Elle s'avança d'un pas presque inconsciemment, l'air de dire : "approche, pour voir..."

Wosf, voyant une de ses alliées commençant à faire quelque chose qui s'apparentait à de la magie, songeait à se transformer... Mais quelque chose lui revint en mémoire... Il n'avait plus de vêtements de rechanges... Il sortit donc sa poêle à frire. Il ne fallait pas sous-estimer cette arme, grand nombre de personne avait été assommées par celle-ci. Et puis, il fit un signe à la fille oiseau et se concentra pour transformer ses mains en pattes de loup. Une transformation partielle devrait être pratique.

L'autre était donc un zootrope. C'est facile d'être un gros animal aussi ... c'est utile en combat. Luz semblait invoquer quelque chose ? On aurait dit une histoire fantastique, comme celle que racontait Silke. L'homme chargea son pistolet et fut rejoint par cinq autres armoires à glace. Rendez vous sans faire d'histoire ! Sinon nous seront contraint d'utiliser la force ! Hajar ricana. C'est sur que c'est en brandissant vos flingues sur nous qu'on va se rendre ...

Gameo était aux anges, rabaisser ces gens prétentieux était plu que jouissif. L'esprit s'amuser à agrandir la taille de leur pistolet qui devenait impossible a porter. Pour remercier son invocatrice, il attendit ses ordres. Wosf profitait, lui de ce désordre pour donner des coups de griffes. Il regarda la fille-oiseau, qui n'avait visiblement pas compris son message et désigna son nez, un coup avec un bec de cette taille serait douloureux.

Lyra se sentit subitement paumée au milieu de ce bordel magique. En revanche dès que le chaos fut un peu calmé elle regarda la scène -en profitant pour abattre sa batte sur la main d'un type qui tentait de s'échapper- et lâcha la question principale : "Mais en fait c'est qui ?" Silence. "Ils ressemblent à votre milice, là ?" demanda-t-elle aux deux métamorphes.

Hajar secoua la tête. Je sais pas faire ça, indiqua-t-elle à Wosf. Elle aussi était perdue dans le tourbillon étrange provoqué par l'esprit. Elle recula et baissa sa garde, comprenant qu'on avait plus vraiment besoin de ses poings. Non, notre milice est armée différemment ... c'est pas du tout pareil. Je n'ai absolument aucune idée de qui ils sont.

Gameo qui était, jusqu'à présent, calme, commença à perdre sa tranquillité et se mit à parler en langue des signes. " Même pas un : "Qui es-tu ? ", nan, rien. JE suis pourtant LE gé-nialissime, a-rtistique et ma-gnifique esprit de l'orgueil ! JE SUIS GAMEO !! Mais qui sont ces gens pour ne pas poser une seule question ! Je ne suis même plus sûr d'avoir envie de vous aider. Même si ça a été marrant. " L'esprit commença à changer de forme.

Gameo, passant de colérique à blasé, se laissa finalement révoquer sur cette phrase, en langage des signes : "De toute façon, vous servez à rien. ". Tandis que Wosf, avait laissé tout le monde faire. il s'était assis dans un coin. N'ayant plus à courir ou taper. Il se releva en voyant la "magicienne" faire des signes. Comprenant qu'il devrait bientôt poursuivre leur enquête, leur route. Il avait fait ce qu'il pouvait faire, maintenant, il allait juste suivre les autres, espérant retrouver une situation plus calme.

Hajar regarda ses compagnons. Une belle bande de bras cassés complètement perdus. Elle rajusta un peu ses vêtements trop grands. Bon, soit on tente de savoir qui nous en veut, soit on se débrouille pour trouver comment rentrer chez nous. Sinon, on peut aller boire un verre juste ici. Elle désigna un café à la sortie de la rue. C'est bondé, ils ne nous attaqueront pas là-bas et on pourra discuter.

Wosf se dirigea sans attendre une confirmation de qui que ce soit vers le café. Il attendit quand même ses partenaires, une fois devant celui-ci. Il n'avait pas l'habitude des situations si tranquille. Sans la milice, le Vatican et tout les gens qui essayait de le pourchassé. Il passa la main dans ses cheveux, il lui restait les oreilles de sa semi-transformation. Ce qui aurait, habituellement représenté un danger. Rentrer serait une bonne idée. Soudain, il entendit, tendant les oreilles, un bruit de pas lourd.