Presente toi banane flambee
Prénom : Djerin
Age : 23 ans
Activités : Une seule ^^
Centres d'intérêts : (/!\ ceci est liste non-exhaustive dont l'ordre n'a aucun rapport avec la préférence /!\) Le RP, la voile, le médiéval, les jeux vidéos, la lecture, le cinéma, le rire, les fille/femmes (personne n'est parfait), la recherche du sens de l'avis (pour l'instant tout porte à penser que c'est vers la gauche), les amis (les vrais, les autres sont sans réelle importance si ce n'est leur capacité à rejoindre les premiers). Ya sûrement plein d'autres trucs, mais j'ai oublié....
Où j'ai trouvé le forum : Je suis un vieux de la vieille ici, je fais presque partie des meubles depuis le temps. Si tu demande aux nouveaux, on dit que j'ai toujours été là...
Un petit mot pour Nano. ? : GG pour le beau travail de la MaJ
Activité à Prévoir : Ça dépend des jours. Mais j'essaye de me caler sur un minimum de 1 réponse/semaine.RP
Bonus : Et du coup, on fait quoi des deux minutes et quarante-sept secondes qui me restent ? Un câlin ?
Siegfried
○ Prénom et Nom : Siegfried Levir
○ Nom de code : Le Maudit (A la base c'était Modi, mais bon...)
○ Age : 27 ans
○ Race : Mutant
○ Alignement : Neutre/X-men
○ Métier : Sauveur de gens à temps partiel, scientifique de génie (chevilles enflées) et branleur altier le reste du temps.
○ Pouvoir : Siegfried est un modificateur de matière. C'est un don en deux parties.
Modification atomique :
Siegfried peut changer la nature de tout ce qu'il touche directement. Il modifie la nature des atomes avec lesquels il est en contact. (Ex : Il tient une pierre et il en fait un bout de bois de la même forme)
Réorganisation moléculaire :
Il peut aussi changer la forme matérielle de ce qu'il touche. Les molécules se déplacent pour prendre la forme de son choix. (Ex: La pierre devenu bois devient une batte de base-ball )
Par déduction, s'il peut agir sur les atomes, il en a une conscience aiguë dans un large rayon, ce qui rend très difficile pour lui la vie de tout les jours. L'alcool aide un peu.
Limites :
Il doit avoir un contact direct de la peau contre le bloc sur lequel il travaille.
Il ne peut agir que sur les solides et les liquides mais peut les changer en gaz (il en perd ainsi le contrôle)
Il ne peut pas changer la quantité d'atomes et donc ne peut pas modifier le volume.
Plus le volume travaillé est important, plus c'est long et difficile.
Plus le changement de forme est complexe plus il nécessite de concentration.
Il peut créer des composants électroniques ou des organismes vivants, mais ne peut pas les programmer ou leur donner vie.
Il ne peut pas se modifier lui-même.
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je fait un petit mètre soixante-dix. C'est pas énorme, mais j'ai jamais voulu être un colosse. Je suis ce qu'on appelle un roux de feu. J'ai les cheveux rouges aux reflets orangés. Je ranges ces tifs discrètes sous forme de dreadlocks décorées. J'ai les yeux noirs comme la nuit avec une tache bleue foncée autour de la pupille. Chuis pas hyper musclé, mais comme je t'ai déjà dis... Le colosse c'est pas moi.
- T’as des signes particuliers ? T'as rencontré souvent des mecs aux yeux noirs? Moi non... Sinon, j'ai une petite cicatrice sur la pommette droite et une tache de naissance en forme de triangle sur la cheville droite. J'ai un tic qui fait que lorsque je suis dans un intense état de concentration je récite le tableau périodique à voix haute. J'ai aussi tendance à avoir toujours les mains occupées. Faire des nœuds avec de la ficelle, jouer avec un couteau ou simplement jongler avec un D20. C'est le stress je suppose...
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : En dehors du service, lorsque je traine dans l'appart, je porte en général des truc confortables. Treillis, T-shirts unis et chaussures de marche en tête de liste. Quand je me traine vraiment, c'est jogging et pied nus. Je suis ptet pas un adonis, mais se foutre sur la gueule régulièrement, ça maintient en forme. Après, ya les fringues que je porte au taf...
Des armures de combat avancées, chacune adaptée aux besoins du mutant ou de l'humain qui la porte. Ces petits bijoux coûtent une fortune à fabriquer, mais c'est du vrai matos de champion.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Des vêtements, des petites affaires de première nécessité (couteau, allumettes, briquet, un peu de cordelette, etc) et souvent une arme de "service" discrètement mise sous une veste ou dans ma ceinture. Une radio aussi, deux en fait, modèle longue portée à scanner large pour obtenir les fréquences de la police et une à faisceau étroit pour contacter l’Écureuil ou la Marionnettiste. La majorité de tout ça est remplaçable facilement, mais je préfère être équipé au cas où.
Interview avec Fox News
- T'as Facebook ? Twitter ? Tumblr ? T'es geek ? Nan aux trois premières et pas trop à la dernière. Mon truc à moi c'est la science. Je passe mon temps à surfer pour me mettre au courant des dernières innovations technologiques ou comprendre la composition d'un nouveau matériau. Si je veux pouvoir les synthétiser c'est nécessaire. J'apprends par cœur des centaines de schéma techniques pour pouvoir refaire les systèmes représenté. Après les réseaux sociaux... Nan... J'aime pas ça. C'est plutôt le taf de la Marionnettiste de s'occuper d'y faire de la pub pour le recrutement.
-Ta famille est cool et fonctionnelle ? Ma famille c'est la Marionnettiste et l’Écureuil. On nous appelle les Saltimbanques. On a pas vraiment de liens de sang, on a simplement grandit dans le même orphelinat. Du coup, on s'est juré fidélité et on est devenus une famille. Et sa marche plutôt bien... Même très bien, vu qu'on a pu fonder une organisation de lutte contre les groupe extrémiste anti cohabitation humano/mutant. Ya nous trois et une vingtaines de gars et fille, majoritairement des humains, qui bossent pour nous. De temps en temps on travaille avec les X-men, mais ils aiment pas trop nos méthodes et notre tendance à utiliser des armes à feu et des armures de combat. C'est facile de commenter quand on a une peau en acier ou qu'on est immortel. Nous c'est pas notre cas donc on se protège comme on peut. On est des soldats protecteurs de l'égalité, pas des héros ou des martyrs. (On a fait breveter quelques inventions pour avoir des fonds correct. Vous vous rappelez les balles paralysantes à double détente et les seringues à aiguilles rotatives? C'est nous.)
- C'est quoi tes passe-temps, dans la vie ? Principalement? Inventer des trucs, les mettre au point avec l’Écureuil, l'aider à mettre au point ses idées à lui, me renseigner sur les nouveautés technologiques pour pouvoir les reproduire et m’entraîner moi ou nos rares collègues. Je fais des collection aussi. J'aime collectionner des trucs sans importance de la nature de la collection. Notamment les conquêtes féminines...
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Généralement je passe la majorité de la journée dans le labo pour bosser sauf lorsqu'on est réquisitionné par les X-men pour une opération (C'est de plus en plus rare depuis qu'on a passé la planque d'une bande d'extremiste pro-humain au lance-flamme) ou qu'on a une vrai urgence en ville. Cas dans lesquels on enfile les armures et on monte à bord du Faucon (notre pitit coucou, on la appelé comme ça en l'honneur d'un véhicule du même nom dans un jeu ^^ ) Il nous sert de transport et de base mobile. C'est de ce véhicule que l’Écureuil nous couvre et nous guide sur le terrain.
- Si tu pouvais passer dans le journal de 20h, qu'aurais-tu à dire ? Je lancerais un ultimatum à tout les glandus incapables de s'adapter au fait qu'il faille vivre en cohabitation avec les mutants. Il devront prendre conscience qu'ils n'ont aucune chance qu'un des deux camps disparaisse. Ou disparaître.
- Si tu pouvais devenir mutant (si t'es humain) ou humain (si t'es mutant), tu le ferais ? Non. Ma vie est très bien comme elle est je ne veux pas la voir changer. Je dis pas non à une perfusion d'aspirine par contre...
Histoire (courte)
Je ne sais pas ou je suis né, ni exactement quand. Tout ce que je sais c'est que j'ai grandis dans un orphelinat de Brooklyn. J'y ai passé le plus clair de mon enfance. C'est la-bas que j'ai fais la connaissance de l’Écureuil et de la Marionnettiste. L’Écureuil avait perdu ses parents lors d'un accident de voiture à l'age de deux ans et a grandit avec moi. Nous avons développé ensembles notre passion pour la recherche et les nouvelles technologies, planifiant tout deux de faire de grandes études de science. Les parents de la Marionnettiste sont mort lors des attentats de 2001 et c'est à l'age de douze ans qu'elle nous a rejoins. À l'époque je façonnait souvent de petites marionnettes de bois articulé et je lui avait offert la plus jolie pour la consoler. Cette poupée avait un défaut, un renflement du à un nœud du bois que je n'avais jamais pu éliminer. Il n'y a que lorsque la poupée s'est mise à danser que j'ai remarqué que le renflement avait disparu mais j'étais tellement surpris par la danse que je n'ai rien notifié sur le coup. La poupée s'est rapidement arrêté mais l’Écureuil et moi avions compris qui l'avait fait bouger. Et pourquoi... La science apprend à être pragmatique aussi l’Écureuil et moi l'avons bien pris et l'avons accueillit dans notre bande de deux. Nous avions notre marionnettiste et somme devenus les Saltimbanques, le trio de rigolo capable de faire rire tout le monde avec un écureuil grimpeur, une marionnettiste virtuose de ses ''fils'' et un blagueur invétéré qui filait la main aux deux autres pour leurs tours.
C'est au fil des années que je me suis aperçu que je pouvais modifier la matière. Je savais des choses sur la mutation bien sur, mais je ne m'attendais pas à être mutant à mon tour. J'avoue avoir eu pas mal de trouille sur le début, mais j'en ai parlé avec la Marionnettiste et puis mon coté scientifique à pris le dessus dans l'analyse de mon don. Il m'a fallu un peu de temps pour en saisir les tenant et les aboutissants, mais en travaillant de concert avec la Marionnettiste, nous avons finis par nous cerner et nous maîtriser. L’Écureuil nous jalousait un peu, mais nous savions tout deux qu'il était suffisamment surdoué pour ne pas en avoir besoin. Une preuve de son génie était son succès au concours d'entrée de Harvard alors que je l'avais échoué. Nous nous sommes séparés pendant un temps, l’Écureuil partant pour ses études et la Marionnettiste et moi entrant directement dans la vie active avec une suite de petits boulots merdiques nous permettant à peine de payer le loyer de notre appartement. Généralement nous devions changer de lieu de vie tout les deux ou trois mois. Le temps que notre propriétaire ou un voisin découvre que nous étions des mutants et décide de faire en sorte de nous éloigner. Les patrons aussi avaient tendance à nous dégager. J'essayais toujours de relativiser, me disant que c'était la peur qui les faisait mal réagir, mais je ne pouvais pas m’empêcher de râler à chaque fois que je voyais revenir la Marionnettiste en pleurs ou en colère de s'être faite virer. C'est quand l’Écureuil est revenu, diplôme en poche, qu'il nous a secoué les puces et nous a expliqué l'idée qu'il avait eut à l'Université.
À l'origine, les Saltimbanques ça n'était pour moi que le surnom de notre petite bande. Trois potes dont l'occupation principale était de déconner pour faire rire les autres enfants. Je m'attendais pas à ce qu'il me sorte qu'il avait déposé un brevet qui lui avait rapporté assez d'argent pour acheter un petit immeuble. (Une vieille histoire de format micro SD vendu à SanDisk...) Ce type est un génie, je l'ai toujours dit... Il voulait une rénovation complète du bâtiment, avec des laboratoires, des ordinateurs, des salles d’entraînement. J'ai pas tout compris au début, mais bon ? En travaillant étapes par étapes. Avec des plans précis et des échantillons des matériaux demandés, j'ai finis par lui faire sa rénovation. Je passais mes journées à m'épuiser sur des murs entiers de blindage pour stands de tirs ou des baies vitrées (car sachez qu'organiser du verre est un des trucs les plus compliqué à faire), alors que l'Ecureuil faisait des plans toujours plus précis, cherchait des schémas des machines qu'il désirait, et que la Marionnettiste allait acheter ce qui nous manquerait forcément, les composants les plus complexes qui auraient demandé trop de temps à être créés (Bien qu'aujourd'hui j'ai le niveau pour les faire, à l'époque il m'aurait fallu plusieurs jours pour un simple disque dur.) Comparé à l'état actuel du QG des Saltimbanques, c'était vraiment miteux, mais on était chez nous, on logeait au sommet, et on était heureux. Le projet original de l’Écureuil, c'était simplement faire un gros laboratoire avec des salles de test pour ses projets et ses expériences. Moi je devais l'assister et la Marionnettiste devait s'occuper des tests. Au final... Ça n'a pas duré longtemps.
Moins d'un an après notre installation, on a commencé à avoir des problèmes. Des lettres anonymes, des mecs qui suivaient la Marionnettiste ou l’Écureuil quand ils étaient seuls, des tags nocturnes... Bref, du harcèlement classique anti-mutant. Ce racisme évident que la Marionnettiste et moi-même avions déjà subit par le passé et dont nous étions témoins tout les jours dans la rue envers des mutants moins discrets que nous. C'est comme ça qu'on a commencé. On a sécurisé un peu plus le bâtiment. Rajoutant un code digital plutôt qu'une clef à l'entrée et on a réaménagé les trois premiers étages pour accueillir des mutants en danger. Le problème c'est que ça a provoqué des... ben des problèmes. Une nuit, une bandes de mecs armés sont entrés, avec pour objectif de ''Purifier'' l'endroit. Pas de chance pour eux, ils sont tombés au milieux d'une partie de strip poker assez avancée à laquelle participait une fille capable de changer l'état de l'eau, et elle n'a pas trop apprécié l'intrusion. (J'avoue que j'avais aussi d'autres projets pour la soirée) Les mecs ont finis gelés sur place, pour la plupart morts, pour les autres en état de choc. Ça a été pour moi un genre de révélation. Si ces mecs avaient pu entrer, d'autres le pouvaient. Et on n'aurait pas toujours une jeune fille canon en petite tenue et à fleur de peau sous la main. Quand j'en parlais avec l’Écureuil, il m'expliqua qu'il y avait déjà réfléchit. Il voulait créer des drones de garde, pour prévenir des incidents du même ordre, mais il lui manquait des composant jamais fabriqués, raison pour laquelle il me proposa d'explorer une nouvelle facette de mon pouvoir. Celle du modèle théorique.
Littéralement, il me demandait de cesser de reproduire des matériaux existants, mais de créer des nouveaux matériaux. Par exemple, lors de notre premier test, nous avions choisis quelque chose qui n'était pas dangereux, un alliage de métaux. Je devais mêler du titane et du tungstène (un alliage très efficace qu'on a réutilisé plus tard). Au lieu de mélanger les deux métaux, comme pour un alliage classique, j'ai organisé la plaque de titane pour qu'un atome sur deux soit du tungstène. Le résultat à dépassé nos espérances les plus folles. Du coup on a continué, pour créer des batteries au lithium plus performantes et des coques monobloc pour les drones de l’Écureuil. Le gros problème de ces pièces, c'était que j'étais le seul apte à les faire. Comment dire que le statut de machine de création industrielle ne me plaisait guère ? Ben littéralement, je lui ai dis que ça ne me posait pas de problèmes sur des prototypes ou des pièces uniques, mais que je n'en ferais pas des centaines ou même des dizaines. On s'est trouvé un arrangement à l'amiable, je l'ai plutôt aidé à mettre au point des machines permettant de créer ce dont il avait besoin et je n'aurais plus à créer manuellement que les pièces les plus importantes (et malheureusement couler les alliages, mais bon, il est futé il ne me le demande pas trop souvent et c'est généralement en échange d'un truc cool ou pratique) N’empêche que grâce à ça, on a pu commencer le travail sur les armures de protection en mettant au point les V1 et V2. Le fait d'être masqués nous a permis d'évacuer de plus en plus de victimes du racisme montant dans les ghettos. On les aidais ensuite à s'installer dans des endroits plus adaptés hors de la ville. En fait c'est quand on a commencé à être efficace sur l'extraction de mutants menacés qu'on a étés contacté par l'institut Xavier.
Un jour on a reçu une invitation vers un établissement scolaire. J'avoue que sur le moment ça ressemblait à un piège et que j'avais prévu une petite V1 sous mon blazer (J'avais un petit coté bibendum, mais bon...) On a rencontré un vieux télépathe qui nous a expliqué le fonctionnement et l'utilité de son école. Un truc pratiques pour les jeunes, mais aucun de chez nous n'était intéressé par un truc comme ça. Nous, rester planqués dans un bled paumé ? Non. Nous on avais besoin d'agir contre les connard qui brûlaient vifs des mutants dans des ruelles sombres ou contre les mutants qui profitaient de leurs pouvoirs pour commettre des atrocités du même genre sur des humains innocents. La guerre contre les mutants tueurs d'humains, les serviteurs de Magneto ? Ouais, mais pas à temps plein. La lutte c'est pas une bataille de temps en temps. C'est un combat continu contre les vrais ordures de la rue. Il a pas eut trop l'air d'aimer notre réponse, mais par contre il a apprécié l'idée qu'on lui envoie les ados qu'on récupérait. C'était un soulagement pour nous aussi à vrai dire, parce qu'on était jamais totalement surs des familles d’accueil dans lesquelles on les plaçait. On a donc conclu l'arrangement. Les gosses et les adultes volontaires passaient par l'institut, et en échange il nous envoyait ceux qui sortaient de chez lui avec l'intention de faire le même boulot que nous. J'avoue que jusqu'ici on a eut que deux mutants qui nous ont rejoint par ce biais, mais c'est pas très important. On est toujours la et on sauve des vies presque quotidiennement.
Aujourd'hui, on a un peu évolué. On possède une petite tour ultra sécurisée dans le sud de Manhattan, on a pas moins de vingt-deux employés, dont quatre mutants. Deux Faucons dorment sur le toit juste au dessus du penthouse et trois véhicules d'interventions au garage. Les mutants de l'équipe et les humains que ça intéressait ont leurs propres apparts sur place et on a quatre dortoirs pour quand on a besoin de loger quelqu'un. Trois étages entier de labos et un de salles de test. Juste entre les appartements et le penthouse, le QG opérationnel des Saltimbanques. On a passé un contrat avec la mairie nous signifiant le droit de vol sur la zone de New-York en échange d'une cohabitation obligatoire avec la police dans le cas d'une intervention liée à des mutants (J'ai regretté plus d'une fois, par exemple lorsqu'un tank humain à tenté de braquer une banque. Qui aurait cru qu'un simple taser l’arrêterait ?) On est pas beaucoup, et on reste des mortels, mais tant qu'il y aura des enfoirés pour croire que les mutants valent mieux que les humains ou l'inverse... On sera la pour lui expliquer à quel point il se trompe. Et à coups de fusil s'il le faut.
Skylar
○ Prénom et Nom : Skylar ''Sky'' Hâdy
○ Nom de code : Kick-nétic
○ Age : 31 ans
○ Race : Mutant
○ Alignement : Magneto
○ Métier : Professeur d'arts martiaux
○ Pouvoir : Je charge et décharge les objets que je touche en énergie cinétique. Je m'explique.
Absorption : L'objet activé en absorption ne ressentira plus les effet d'aucune énergie cinétique. Il va emmagasiner cette énergie et se couvrir au fur et à mesure de gravure qui vont s'approfondir allant jusqu'à s'illuminer doucement s'il est très chargé. Il est indispensable que je touche l'objet pour que ça marche.
Relâchement : Je libère l'énergie cinétique emmagasinée dans un objet. C'est tout ou rien. Je peux pas choisir une quantité précise. Par contre je peux choisir l'axe de libération. C'est très dangereux sur des objets qui ont prit beaucoup de coups, ou des coups puissants. Genre mes fringues avec lesquels je me suis faite tirer dessus, ou mes chaussures quand j'ai sauté d'un immeuble... Je peux vous assurer que c'est une expérience... Désagréable. Je peux le faire à distance. Si je vois l'objet. Si un objet est trop loin de moi (genre soixante mètre), il va se décharger graduellement jusqu'à perdre toute énergie.
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis grande. Je fais presque un mètre quatre-vingt-dix... Croyez moi, quand on est une femme c'est pas toujours facile à vivre. Athlétique (c'est normal pour une prof de sport, non?), j'ai la peau mate des ancêtres de mes parents. J'ai hérité des cheveux bouclés de ma mère et des yeux azur de mon père (qui m'ont valu mon prénom, les yeux du ciel comme il disait).
- T’as des signes particuliers ? J'ai des marques blanches sur la peau. Pas des tatouages. Ce sont des marques apparues avec ma Mutation. Elles sont le signe de cette dernière. Et une cicatrice autour de l’œil... Un mauvais souvenir
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : J'aime le léger. Les tenues qui me permettent une liberté de mouvement totale. Bon, en hiver ça implique de mettre un grand manteau autour si je veux pas mourir de froid, mais le reste du temps ce sont des tenues fines, des petits tops débardeurs, des shorts, des joggings... Bref, rien de serré et raide. Sauf ma tenue de combat. Là j'ai une combinaison intégrale et moulante. Souplesse et protection intégrales sont au rendez-vous.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Pas vraiment non. Je me bat au poing, au pied et au bâton, mais il est rare qu'un bâton dure très longtemps entre mes mains. Je fini toujours par le lancer pour une raison ou une autre.
Interview avec Fox News
- T'as Facebook ? Twitter ? Tumblr ? T'es geek ? Pas trop. Évidemment je suis connectée, je tiens à jour la page de mon Dojo, et je récupère des nouvelles de potes mutants. Mais je suis plus une adepte de la course à pied que du cocooning derrière un écran...
-Ta famille est cool et fonctionnelle ? Elle l'était. Mais aujourd'hui j'ai plus de nouvelle d'eux. Mon père, pacifiste convaincu, n'a jamais pu supporter mes choix de vie et ma mère est profondément persuadée que je suis dans l'erreur. Ils vivent dans l'Atlas désormais et je ne vais jamais les voir. C'est très bien comme ça. Je les aime mais nous ne pouvons pas nous entendre.
- C'est quoi tes passe-temps, dans la vie ? Le sport, tabasser des mecs de la LIRAH, et... Tabasser les mecs de la LIRAH pendant mon sport. Et j'aime bien enseigner aussi.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Réveil matin, 6h, entraînement, puis nettoyage du Dojo avec Holy, leçons du matin, un peu de détente et déjeuner. Puis leçons de l'aprèm, une petite promenade pour le goûter et leçons du soir. Puis détente jusqu'à 23h et dodo. J'aime les choses simples.
- Si tu pouvais passer dans le journal de 20h, qu'aurais-tu à dire ? Je dirais à tout ces connards de la LIRAH qu'ils ne perdent rien pour attendre. Et que même au fond d'un trou je les trouverais pour les tabasser.
- Si tu pouvais devenir mutant (si t'es humain) ou humain (si t'es mutant), tu le ferais ? Et puis quoi encore? S'pèce de taré....
Histoire (courte)
Ma mère s'appelait Namaouwa Freedom, elle était anthropologue et professeur à l'université de New York, mon père s'appelait Rafi Hâdy Mamnoun Abdul-Salâm, mais la plupart des gens qui le connaissaient l'appelaient Rafi. Il n'a jamais compris pourquoi. Il était Guide dans les montagnes de l'Atlas et elle voulait rencontrer les populations Berbères. Croyez moi, vous verrez rarement couple aussi mal assortit et pourtant si amoureux l'un de l'autre.
On a grandit à New York, mais j'ai fais de nombreux voyages au Maroc au court de mon enfance. J'avais une vie des plus heureuse avec deux parents adorables. Franchement, j'aurais pu être la gamine joyeuse des publicités tellement c'était le rêve. Mais voilà... Les humains sont des pourritures. Au début de mon adolescence, mon corps à commencé à changer. Et je parle pas de la puberté. Des marques sont apparues sur ma peau et j'ai commencé à ressentir des choses nouvelles.
Mon père m'a beaucoup aidé à surmonter cette crise au début. J'ai appris à gérer le truc... Jusqu'au début du lycée. Et là, ça a été l'enfer. Les mots dans le casier, les bousculades "accidentelles", les insultes à travers le couloir bondé. Pas facile d'être une fille afro-marocaine, voilà que j'étais en plus la "bizarroïde". J'ai bien essayé de les ignorer, ou de faire remonter les problèmes, mais personne ne voulait m'écouter. Même mon père me disait juste de garder la tête haute, d'être fière de qui j'étais et que l'orage passerait.
Alors j'ai serré les dents. Jusqu'à ce qu'un jour je relâche mon pouvoir au lycée. La bousculade de trop, le mec à volé à travers le couloir et atterrit quelques mètres plus loin, l'épaule disloquée. Je n'avais pas levé le petit doigt. Et mon T-shirt ne contenait ce jour là que les bousculades du jour. Mon père ce jour là m'as passé le savon le plus important de ma vie. Lui qui abhorrait la violence, il était devenu blême lorsque la proviseur lui avait dit ce qui s'était passé.
La riposte n'a pas été longue à venir. Ils m'ont chopés à plusieurs dans un couloir sombre. L'un d'entre eux à sortit un cutter pour que "tout le monde sache ce que j'étais" et m'as tailladé le visage pendant que les autres me tenaient. Puis il m'ont jetée au sol et ont commencé à me bourrer de coups. Je n'ai pu en absorber qu'une partie à l'aide de mon pouvoir et lorsque j'ai eut assez, j'ai tout relâché dans le sol, le fracturant dans un bruit sec. Ils ont prit peur et sont partis.
Cette fois-ci l'inquiétude de mes parents prit le pas sur la déception, mais quelque chose était cassé en moi. J'avais du mal à savoir quoi, mais je savais que c'était l'absence de réaction et la politique de non-violence que mon père m'avait toujours enseigné qui avait causé cette souffrance. Alors j'ai décidé d'appliquer la méthode inverse et de voir ce que ça donnerait. Je suis devenue violente. Et je me suis vengée.
Un par un je les ai attrapés et tous je les ais passés à tabac. Mais ça n'était jamais assez. Quand j'en ai eut terminés avec mes tortionnaires, je me suis mis à chasser les gens qui propageaient ces idées de haine sur les mutants. C'est à l'occasion d'une de ces chasses que j'ai rencontré Holy, qui faisait la même chose que moi... De façon plus subtile. Le courant est tout de suite passé entre nous et j'ai rejoint la Confrérie à ses cotés. Ayant les mêmes gouts pour les sports de combats, nous avons ouvert notre Dojo ensemble. J'ai rien contre les clients humains... Mais ceux qui parlent mal des mutants ressortent avec les deux jambes brisées.
C'est lorsque je leur ai parlé de la Confrérie que mes parents ont abandonnés. Je crois que jusqu'ici ils avaient encore un peu d'espoir. Ils ont quitté le pays pour retourner chez mon père. Je ne les ai pas revu depuis. Ils me manquent un peu, mais je sais que nous ne pourrons jamais nous accorder. Ils ne sont pas mutants, ils ne peuvent pas comprendre que nous devons gagner notre respect par la force sous peine de nous faire écraser. Point à la ligne.
Saukko
○ Prénom et Nom : Saukko Yhdessä
○ Age : 27 ans
○ Nationalité : Finlandaise
○ Métier avant l'apocalypse : Interne dans un hôpital/étudiante en médecine
○ Lieu de vie : La ville, dans une ancienne pharmacie, sécurisée et bien équipée
○ Occupation : Fabrication de matériel médical (médicament, pansements, bandages et autres produits utiles) et revente de ces objets (ainsi que de tout autre chose glanée et inutile pour nous). Consultations médicale occasionnelle.
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Pas très grande. Mais assez pour vous latter les burnes si vous voulez savoir...
- T’as des signes particuliers ? Un signe particulier ? Non.... Je vois pas... Ma cécité peut-être ? Ou le fait que j'ai un bandeau sur l’ÉNORME cicatrice qui me sert d'yeux ?
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Confortable et silencieux. Puisque je peux pas voir, c'est parfois un mélange visuel un peu hétéroclite. Parfois Vilho m'aide un peu à choisir, mais j'aime pas me compliquer la vie. Sauf pour mon bandeau. Là je le laisse choisir la couleur que je porte. Toujours.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Mon bâton de marche (C'est une lance, mais je l'utilise majoritairement pour marcher) et ma sacoche. Et mon frère bien sur, même si je le porte pas, je le lâche jamais.
Interview avec un zombie intello
- Tu parles norvégien, c'bon ? Et anglais ? Genre je vais parler cette langue de péteux... L'anglais oui...
- Si tu te faisais mordre, tu le dirais aux autres ? Inutile. Je préviendrais peut-être mon frère, puis je m'éloignerais pour mettre fin à mes jours sans qu'il n'ai besoin de le faire lui-même.
- Tu as 9 zombies face à toi et tu es tout seul. A droite, un ravin, à gauche, une vieille grange en ruine. Tu as une batte de baseball. Tu fais quoi ? J'essaye de m'échapper... C'est pas comme si je pouvais les voir...
- Tu dois choisir : tu sauves la mamie, l'enfant ou l'humanoïde super sexy qui te fait de l'œil ? Mon frère.... Et aucun autre si ça ne me rapporte rien. La gentillesse j'ai déjà donné. Et puis de toute façon je peux pas les voir
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Une sortie de récupération de matériel avec mon frère, généralement le matin, pour profiter des moments les moins bruyants. Et l'après-midi soit je travaille dans mon laboratoire, soit on va vendre des médicaments dans la colonie. Ils payent en nourriture et en truc qu'on ne peut ni trouver ni faire. Je fais aussi des consultations parfois. J'ai pas mes yeux, mais j'ai encore mes mains et mon cerveau. Les yeux c'est du bonus, le patient peut voir. Je fais le reste.
- C'est la fin du monde ou tu crois qu'un jour, tout redeviendra comme avant les zombies ? Aucune chance.... Je vois mal comment ça pourrait.... Ha ha, je VOIS mal....
Histoire (courte)
Je suis née dans la ville de Mikkeli, en Finlande. J'étais un bébé braillard et moche comme tout les autres... Et quelques seconde après, sortait mon frère jumeau, Vilho... Tout aussi braillard et fripé. On a grandit comme des gamins sans histoire, peut-être moins en recherche d'amis que les autres enfants puisqu'on grandissait avec un ami perpétuel. Mon frère et moi nous sommes toujours entendus comme des larrons en foire, toujours à se chamailler gentiment, à faire des plans sur la comète ou à se raconter des histoires. C'était cool. Puis on a eut douze ans, j'ai commencé à avoir mes règles et nos parents ont commencé à psychoter. Ils nous ont collé dans des chambres séparées, sous prétexte qu'il n'était pas convenable qu'une fille et un garçon dorment dans la même pièce, surtout pas frère et sœur.
Loin de nous éloigner l'un de l'autre, ça nous a poussé à nous rapprocher encore plus, un peu par défi, un peu pour relever l'insulte qu'ils nous faisaient. La première chose qu'on a fait, ça a été apprendre le morse, pour continuer à discuter le soir. Simplement à travers le mur plutôt qu'en papotant. C'était un peu technique au début, mais avec la pratique viens le naturel. En moins d'un an, on discutait en morse comme à voix haute. C'était drôle, et on pouvait avoir des discutions discrètement sous la table, ma main morsant sur sa jambe ou l'inverse. Nous rapprochant toujours plus l'un de l'autre, nous éloignant des autres jeunes, nous nous somme attiré des regards d'incompréhension ou de dégoût, chacun s'imaginant ce qu'il voulait. Ces regards glissaient sur nous, nous étions heureux et satisfait ensemble. Je savais ce qu'il voulait et inversement, chacun finissant les phrases de l'autre. C'était la symbiose.
Ayant réussi à convaincre nos parents de nous laisser avoir une collocation sur Helsinki pour nos études à condition d'avoir deux chambres et salles de bain bien distinctes, nous somme parti étudier. Lui l'art, moi la médecine. A cette époque je rêvais de devenir chirurgienne ou laborantine pharmaceutique. Aussi j'ai suivi les deux cursus avec ardeur, alternant les cours avec les révisions et les petits boulots pour payer quelques folies. Le soir venu, je me reposais, blottie contre le dos de mon petit frère, ayant lâché mon bureau et mes révision dans la chambre d'amis. C'est toujours pratique pour recevoir une deuxième chambre vous savez...
On a entendu parler de l'épidémie assez tardivement. A l'époque on cherchait encore à soigner les gens. C'est justement lors d'une de ces tentatives que c'est arrivé. J'étais dans la salle IRM avec deux autres collègues, à l'époque j'étais médecin stagiaire. Mon maître de stage et ami le Docteur Camden gérait la machine depuis la cabine et les deux autres tenaient le patient, qui se débattait comme un diable. Quand il a mordu l'un des deux, en abîmant la machine, j'ai su que ça aller merder. Je pensais pas à ce point. Quand mon deuxième collègue s'est vu égorgé par une paire de mâchoires, j'ai paniqué. J'ai couru vers la porte. Sauf que le docteur Camden avait déjà verrouillé la porte vitrée, son regard paniqué fixé derrière moi. J'entendais les rotation de l'IRM s'accélérer au delà du seuil de sécurité. Il avait forcé la machine pour la faire éclater, espérant que ça éliminerait l'infecté. Le salaud. La dernière chose que j'ai vu, c'est cet enflure qui fuyait, et une grande lumière blanche quand la machine à éclaté, les morceaux taillant les trois victimes en pièces et venant se planter dans mes yeux. Puis tout est devenu noir.
Je me suis réveillée, tout était encore noir. J'avais un pansement sur les yeux, mais la douleur de ceux-ci m'a immédiatement révélé ce que je craignais. Le noir n'était pas du aux pansements. Je sentais mon frère (je reconnaissais son odeur et son souffle) à coté de moi. Autour de nous, comme masqué, il y avait des cris et des bruits de courses. Je reconnut l'odeur d'une des réserves médicales de l’hôpital. Je demandais à mon frère ce qui se passait. Sans que je sache pourquoi, il me répondit en morse plutôt qu'en parlant. Le virus avait submergé la ville et il nous avait abrité ici en attendant que les choses se calment, ayant bloqué la porte avec une armoire. C'était lui qui avait grossièrement pansé mes yeux ravagés. Quand je lui racontais ce qui était arrivé, il entra dans une colère noire à l'encontre de Camden, mais à aucun moment il ne prononça un mot. Je ne savais pas encore qu'il avait perdu l'usage complet de sa voix.
Lorsque les choses se sont un peu calmées, nous avons fuit à travers le pays. Ensemble. Tout les deux et personne d'autre. Nous n'avions jamais été très amis avec qui que ce soit, mais ce qui était arrivé avec mon mentor nous avait refroidit définitivement sur le concept d'accorder un peu de confiance à un autre être humain. Vilho est fiable. Personne d'autre. Nous nous somme promis de veiller mutuellement l'un sur l'autre, chacun palliant les faiblesse du second. Il est mes yeux, je suis sa voix. Nous avons pas mal bourlingué avant de finir par atterrir dans les alentours de Vannstad, une petite ville de Norvège. On savait qu'il y avait une colonie de survivants dans le coin. Plutôt que de confier notre sécurité à des inconnus, on s'est installés dans une pharmacie.
L'endroit était pas luxueux, mais on a su le nettoyer et le sécuriser (en bloquant tout les accès, classiques). La majorité des médicaments génériques avaient disparu, mais il restait pas mal de produit peu courants. Mon objectif était d'utiliser cette colonie de survivants comme gagne pain. Après tout ce temps, les denrée médicales devaient manquer. Et devinez qui était presque diplômée d'un doctorat en chimie pharmaceutique ? C'est Bibi ! Du coup après un pillage du matériel qui nous manquait (et un peu de bricolage pour ce qu'on n'as pas pu trouver, mais c'est pas comme si on allait avoir une commission d'hygiène au cul), on a pu commencer à faire des produits basiques. Antalgiques, analgésiques, désinfectant et autres poudres et liquides sauveur de vie. C'est un marché qui paye bien.
Djana
○ Prénom et Nom : Djana Contrevent
○ Age : 31 ans
○ Race : Nemien (±75%, il y à un peu d'humain dans le fond)
○ Métier : Capitaine du Anzidorr, vaisseau de désossage et de remorquage
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Pour les membres de ma race je suis de taille moyenne tirant sur le petite à cause de mon ascendance humaine. J'ai des membres plutôt fins et une structure osseuse plutôt fragile. Mon coté Nemien m'a offert une jupe de tentacules de type calamar, c'est à dire au nombre de dix dont deux plus longs que les autres sous lesquels se cachent des jambes très gracieuses, merci de ne pas chercher à regarder messieurs l'absence de hanche m’empêche de porter des dessous...
- T’as des signes particuliers ? J'ai hérité des seins de ma mère... Mais je n'ai pas de tétons... Enfin, j'en aurai jamais grand usage parce qu'un médecin m'a révélé que j'étais tout simplement stérile. Je n'aurais jamais à porter un enfant de la honte comme ma mère l'avait fait. Ni de nez non plus... Donc aucun odorat... C'est chiant pour cuisiner, heureusement que mon système papillaire est totalement fonctionnel. Par contre j'ai une peau recouverte de Chromatophores... Je peux changer de couleur à volonté. C'est cool.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : En tant que Nemienne j'ai pas trop le choix. La majeure partie du temps je porte une combinaison intégrale, utilisant mes jambes pour mes déplacer. Même si j'ai une résistance un poil plus longue à l'air parce que je suis un quart humaine, je dois pas rester hors d'un liquide plus de quelques minutes. Parce que j'ai une flemme monstre, je suis généralement nue dans l'eau. J'ai rien à cacher. J'ai quand même le luxe de posséder un générateur de micro champ aqueux, pour pouvoir me balader ''à l'air'', avec des vêtements normaux. De temps en temps. Pas souvent.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Non. J'adapte mon équipement à la situation. Sauf si on prend en compte la clef d'activation et de commandement de l'Anzidorr... Je l'ai greffée dans mon bulbe rachidien. On ne me la prendra pas sans me tuer.
Interview avec un poulpe
- Où te planques-tu ? (vaisseau, station orbitale, planète, etc.) Je vis à bord de mon appareil, l'Anzidorr, un vaisseau de récupération et de recyclage de carcasses. Outre nos activités de découpe, de pillage et de remorquage, on nous missionne parfois pour des missions de courrier rapide à bas prix puisque l'engin a des performances vitesses particulièrement impressionnantes pour sa classe. J'y tenais pour toujours être les premiers lors de la sortie d'un space hulk ou après un conflit pour piller les restes.
- Tu joues au poker (si si) avec un poulpe violet, un Xzblorg, un tapis qui parle et un droïde à tête de canard. Qui est-ce que tu surveilles ? Tout le monde, et particulièrement le droïde, il essaie de m'amadouer avec cette tête à la con. Le poulpe me doit du fric et j'ai l'intention de le transformer en beignets s'il ne me le rend pas très vite rien à foutre que ce soit un cousin.
- Dans les cantinas, qu'est-ce qu'on dit de toi ? Généralement que je suis une personne froide et sans aucun scrupule, mais qui fait très bien son travail et respecte toujours ses engagements. C'est une question de principe chez moi, la parole donnée est sacrée dussé-je en mourir (pas que ce soit déjà arrivé).
- Les lois, la politique, la Confédération du Commerce, l'écologie... t'en penses quoi de tout ça ? La loi ne m'est pas vraiment utile. J'aime mon travail, et il se trouve que celui-ci n'est pas toujours légal. Du coup la loi a tendance à me causer plus d'ennuis qu'autre chose. Et de toute façon elle ne protège que ceux qui ont de l'argent. La politique et la confédération me donnent envie de vomir, des crabes qui veulent tous la plus haute place du panier pour y crever inutilement. Ces gens mériteraient de vivre dans la boue, puis d'y crever, parce qu'ils sont incapables d'apprendre. Quand à l'écologie... Ben vu que je fais dans le recyclage, je suis écolo, non?
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Un peu de viande, vérification que mon vieux tas de ferraille tiens encore le coup, et ensuite je vérifie qu'on a aucune cible disponible en utilisant l'analyseur de fréquence de spectre et les news locales au cas ou il y aurait eu un conflit. Si on en trouve, on décolle et on va le chercher, sinon on reste sur place pour se détendre.
- Si tu trouves la planète Alpha, qu'est-ce que tu fais ? Ben je note l'emplacement, je vais revendre l'Anzidorr, j'achète de quoi m'installer et vivre tranquille jusqu'à ma mort et j'y retourne en n'en parlant à personne. J'emmerde le monde, moi je veux la paix, cassez pas les couilles.
Histoire (courte)
Je suis l'enfant d'un viol. D'un viol à répétition à vrai dire. Ma mère était une hybride humano-nemienne enfant elle-même d'un viol. Nous vivions dans un des bas quartier de la capitale de Buu, parmi les bulles les plus sombres que seuls les Nemiens atteignent sans un équipement de protection avancé. Dans cette zone où la loi n'est qu'une vague idée dont personne ne se préoccupe, ma mère était un genre d'esclave. Libre de ses mouvements, mais à la merci de tous pour tout ce qui pourrait passer par la tête de ses tourmenteurs. Sa mère avait été enlevée et soumise au même traitement jusqu'à sa mort en lui donnant vie. Ouais, ma famille n'est ni cool ni fonctionnelle.
J'ai passé les trois premières années de ma vie à devoir me taire. Ironiquement, je n'ai du ma survie qu'à la lactation de ma mère et l'assouvissement de quelques fantasmes. Bref. Quand j'ai eu sept ans et qu'elle s'est aperçue que contrairement à elle j'étais capable de nager en dehors de l'habitat, elle m'a ordonné de fuir. Je suppose que c'était un acte de bonté de sa part parce qu'elle ne me souhaitait pas une vie comme celle qu'elle avait eut . Ou de lâcheté pour ne pas avoir a assumer mon éducation ou avoir de la concurrence. J'en sais rien. Je m'en fous. Je suis jamais revenu voir si elle avait survécu. Pour moi elle est morte le jour ou elle m'a pointé une arme dessus pour que je parte.
Je me suis faite mendiante, dans les ruelles les plus lumineuses de la ville, j'utilisais le charme de mes grands yeux noirs pour amadouer les riches en accordant ma couleur à celle de leurs vêtements. Ça marchait plutôt bien et j'ai pu survivre comme ça deux ans. Un jour j'ai été abordé par un marchand de tissus qui cherchait une assistante et mannequin qui aurait ma capacité à toujours aller bien avec les vêtements qu'on lui ferait porter. Il me faisait miroiter de l'argent, mais surtout un lit aquatique, la possibilité de ne plus me brûler la peau à l'air sec lorsque je mendiais trop longtemps. J'ai accepté.
Comme je n'avais aucun état civil, Kaendrick (le marchand) m'a fait déclarer comme sa fille. Il prétendait ne pas roulait sur l'or, et qu'il comptait sur moi pour lui permettre d'obtenir des contrats juteux. Il était surtout avare comme un écureuil et usait de cette technique pour ne pas avoir a payer un véritable mannequin à couleur adaptable. Il n'était pas non plus trop désagréable aussi suis-je rester vivre auprès de lui quelques années. C'est lui qui m'a fournit mon générateur de microchamp aqueux. Un outil foutrement pratique quand il s'agit d'en jeter visuellement sans se cramer la peau. S'il était pingre en général, ça il a pas regardé à la dépense, je crois que le fait de me voir souvent en combinaison à du gêner son humanité.
C'est fou ce qu'une petite fille d'une douzaine d'années avec une robe large peut cacher sous son jupon, à commencer par mes tentacules que personne n'avait le droit de voir lors de meetings importants. Kaendrick ne les aimait pas, ils le mettaient mal à l'aise. Vu qu'ils grandissaient en même temps que moi, ils devenaient de plus en plus difficiles à cacher et à mesure que ma silhouette devenait plus féminine, mes appendices étaient la source de plus en plus de disputes. Le soir ou Kaendrick me dit que le lendemain nous allions voir un médecin pour préparer l'opération qui les retireraient définitivement, je n'ai pas réfléchis une seconde. J'avais dix-sept ans, j'étais déterminée, j'ai réuni le peu d'affaires qui me seraient utiles et je me suis tiré avant le matin.
Moins de quatre heures plus tard je quittais l'orbite de Buu à bord d'un vaisseau de désossage, le Lyndiather, une usine de découpe de métal qui réunissait plusieurs centaines de personnes à bord, des vaisseaux mineurs et des équipes de découpe par dizaines. J'avais réussi à me faire embauché comme mousse. Mes tentacules me permettaient de manier de nombreux balais à la fois aussi je pu garder le rythme malgré mon manque d’expérience. Mon camouflage naturel m'a permis d'échapper à de nombreux soupirants peu subtils et de peu à peu me faire une place dans l'équipage très tournant de l'engin.
Au fils des années, j'ai appris les rouages de la machine, j'ai intégré une équipe de découpe pendant deux ans mais ma faible carrure m'a obligée à rejoindre plutôt les équipages mécaniques des vaisseaux mineurs. Je me suis d'ailleurs entiché des modèles Matadon dont j'appréciais la manœuvrabilité malgré des dimensions imposantes. Après neuf ans, j'étais devenue une vrai désosseuse professionnelle, je commandais une équipe de vaisseaux et j'étudiais auprès du capitaine pour apprendre à commander un vaisseau complet, avec d'autres chefs d'équipes. Il envisageait de fonder une flottille pour sa compagnie plutôt qu'un unique vaisseau. Le projet se concrétisait un peu lorsque Kaendrick est mort.
Je n'avais gardé aucun contact avec lui, mais un matin alors que je sortait de mon appartement à la Station Kirili, je suis tombé sur un cravaté. Un assistant de notaire qui m'apprenait que mon ''père'' été décédé dans un accident de glisseur et qu'en l'absence de testament j'étais son unique héritière. J'ai ainsi mis la main sur une coquette somme, notre ancienne maison et deux trois entrepôts de tissus divers. J'ai commencé par vendre maison et fond de commerce au plus offrant. Les tissus, j'avais donné, merci bien. Et avec cet argent, j'ai décidé de tout plaquer pour me lancer à mon compte.
Même si je le respectait pour tout ce qu'il m'avait appris, je n'avais aucune attache avec le Capitaine du Lyndiather ou un quelconque membre d'équipage. Et leur méthode d'activité ne me convenait pas, trop lente, trop... tranquille. Je me suis donc fournit un vaisseau d'occasion en bon état, un modèle Matadon justement. Je l'ai entièrement fait rénover, y passant la majeure partie de ma récente ''fortune'', ajoutant un espace de vie imposant au dépend du volume de stockage, et surtout poussant ses performances question vitesse au maximum. Je voulais un engin rapide, imbattable dans sa catégorie et capable de rejoindre n'importe quelle parcelle de la galaxie en moins de temps que toute forme de concurrence. Et j'ai pas été déçue.
Aujourd'hui, quatre ans après ce jour, je ne dirais pas que je roule sur l'or, mais j'ai un train de vie correct, je suis satisfaite de la vie telle qu'elle est, avec son lot d'aventure, de frisson et de flouze. J'ai monté un équipage qui croit au fil des mois, étoffant les possibilité techniques du vaisseau. Je crois pas qu'un jour j'en prendrais un plus grand... Mais qui sais. La vie est longue et l'avenir incertain.
Khael
○ Prénom et Nom : Khael la flamboyante
○ Age : 23 ans
○ Alignement : Neutre
○ Race : Humaine
○ Classe : Dragonnier
○ Métier : Missionnaire et mercenaire pour payer ses frais de bouche
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? A l'échelle des humains, je suis plutôt moyenne tirant vers le grande. Comme je suis athlétique mon corps musclé donne l'impression que je suis plus grande que je suis vraiment... Mais comme j'ai souvent Griff à coté de moi... J'ai généralement l'air petite de loin.
- T’as des signes particuliers ? Sur mon corps se trouvent les marques du Culte. Le soleil de Rasha sur mon ventre, les ailes du Dragon sur les épaules et les Flammes du ciel sur mes avant-bras et mes mains, cachées sous mes gantelets. Et mes cheveux aux couleurs des flammes bien entendu, roux à la base, blonds au extrémités. C'est une crête naturellement dressée. Je crois que c'est à cause du Lien. Avant ils étaient juste blonds et ondulés.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Je porte des vêtements léger, souples et solides. Des pantalons larges, des hauts étroits et minimalistes. Le but est de favoriser la liberté de mouvement. Je porte aussi souvent ma cape de fourrure autour de la taille, comme une jupe. Elle ne me gêne pas quand il fait bon, mais lorsque je monte trop haut avec Griff, elle m'évite d'attraper la mort. Les chaussures sont un luxe dont je me passe. J'ai appris à marcher sur des charbons ardents, le sol n'est qu'enfantillages.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Mes gantelets. Ils sont la source du Lien, le catalyseur du Feu du ciel, ou plutôt du feu de Griff dans mon cas. Ils couvrent mes mains et mes avant-bras et si je devais les retirer je mourrais probablement.
Interview avec un troll à trois orteils
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres ! Les dragon-fée sont une insulte à la gloire des Dragons. Comment peut-on appeler dragon une entité si ridicule et dénuée de majesté?
- Un inconnu te propose un deal : tu te fais avoir, en général ? Tenter de berner un messager de Rasha est toujours une mauvaise idée. Je pars du principe que tout le monde dit la vérité jusqu'à ce qu'il soit prouvé qu'il ment. Et là je lui fais subir la juste vindicte de ma terrible vengeance.
- Tu te retrouves face à trois trolls super vénères... Qu'est-ce que tu fais ? Je me dois d'affronter toute menace sans crainte. Si Rasha le veut, nous vaincrons, et dans le cas contraire nous irons voler à ses cotés dans les cieux éternels.
- Où est-ce que tu dors le soir ? (Ou le matin. Ou l’après-midi. Tu dors, d'abord ?) Je me blottis contre Griff, sous son aile, enroulée dans ma cape. Je n'ai que peu de possessions terrestres et une maison n'en fera probablement jamais partie.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Voler, prêcher la parole de Rasha, voler à nouveau. Parfois remplir un contrat de mercenariat pour obtenir un peu d'or et payer les choses indispensables à notre vie de tout les jours. Des vêtements, des outils, du savon.
- Si tu possédais le miroir de Guldin, qu'est-ce que tu en ferais ? Le quoi?
Histoire (courte)
- Le culte de Rasha:
- "Il y a de cela presque trois siècles, un démon maléfique s'empara du deuxième soleil et l'emporta dans les enfers. Seul l'intervention du Dragon et de Rasha, le guerrier cracheur de feu, permirent d’empêcher au mal de voler le premier soleil et de plonger le monde dans le chaos et la destruction. L'effort fut tellement intense et leurs blessures tellement graves qu'il durent se retirer lui et le Dragon pour se reposer au cœur de la plus profonde des salles du Temple, sous la protection des prêtres et de la mère Dragon. Aujourd'hui, et ce depuis près de trois siècles, les enfants de la mère Dragon, chevauchés par leurs cavaliers humains tel l'était Rasha, volent à travers le monde pour transmettre Sa parole et apprendre les postures de combat, jusqu'à devenir celui qui crachera le feu comme le faisait Rasha et qui sauvera le soleil aux cotés de Rasha ressortit des profondeurs du Temple"
Sans les artifices et les paroles religieuse, c'est un culte fondé sur une adoration des dragons et de leur feu, soit-disant d'origine solaire. La mère Dragon est la fondatrice et personne n'a droit de pénétrer dans les salles profondes du Temple où se situent son tas d'or et son mâle enchaîné.
Les Messagers sont des émissaires de la foi qui ont reçu des Gantelets magiques qui les lient à leur dragon. Le dragon et le dragonnier voient leurs énergies vitales fusionnées, ils vivront aussi longtemps l'un que l'autre, l’énergie presque éternelle du dragon étant partagée, mais en retour la mort non naturelle d'un des deux, tue le second par retour magique, ils meurent aussi si on réussit à arracher les gantelets du Messager (de toute manière ça explose). En retour positif, le Messager arrive à créer des flammes venues de son dragon s'il effectue les bon mouvements dans son attaque (la danse du dragon et les postures de combat, imaginez vous un firebender de ATLA) et le dragon peut voir par les yeux de son humain et parler dans sa tête (l'inverse n'est malheureusement pas possible). En plus de l'effet de mort partagée, Khael subit un autre effet secondaire lié à ses cheveux. Ils ont prit la teinte de Griff et se dressent naturellement comme une crête de dragon.
Je suis née au sein du Temple du Dragon, niché au cœur des montagnes. Là bas, j'ai grandi avec les novices. Le matin, nous apprenions les préceptes de la religion de Rasha, et l'après-midi, nous apprenions à maîtriser nos corps et nos esprits en sus des corvées. A l'époque, j'ignorais que j'avais été choisie à ma naissance pour être un des Messagers. J'étais venue au monde en même temps que Griff avait jaillit de son œuf. Quand j'ai eut douze ans, alors que je maîtrisait la danse du Dragon et les sept premières postures de combat, on m'a appris qui j'étais et j'ai été séparée des novices. Eux continueraient leur entraînement de gardes ou de prêtre du Temple. Moi j'allais devenir un Messager.
On m'introduisit auprès de Griff, qui a l'époque était déjà immense et glorieux. La perfection faite vivant. Le fils du Dragon. Ensemble nous avons appris à nous défendre en équipe, à vivre dans la nature sans jamais dépendre d'autre chose que nos propres compétences et comment répandre correctement la parole de Rasha sans nous laisser corrompre par les mensonges que les démons susurrent aux oreilles des pauvres âmes innocentes. A l'age de dix-huit ans, j'ai reçu mes Gantelets, forgé par la mère Dragon en personne, mère de Griff. Lorsque je les ai mis, j'ai accepté le Lien et ils se sont incrustés dans ma chair, c'était très douloureux, j'ai senti mon corps être envahit par le Feu du ciel et j'ai cru que j'allais mourir. Lorsque je me suis réveillée, j'étais changée. Mon corps se mouvait d'une énergie nouvelle et je sentais la chaleur de Griff en moi. J'étais devenue un Messager.
Après trois ans passé à nous entraîner, principalement pour moi à maîtriser les Gantelets et pour Griff à maîtriser.... Sa nature profonde? Il passait beaucoup de temps à se battre avec les autres jeunes dragons et à prier alors que je m’entraînais dur tout les jours. J'aurais aimé être naturellement forte comme lui, mais je devais surmonter ma faiblesse d'humaine. Lorsque nous avons fêtés notre vingt-et-unième anniversaire, nous avons pris notre envol pour l'inconnu. Notre mission? Convertir le monde à la Foi véritable, les ramener dans la lumière du Soleil de Rasha. Tel est notre tâche jusqu'à maîtriser la vingtième posture de combat et réussir à découvrir la dernière. Alors nous irons chercher le second soleil et le ramènerons sur le monde pour que tous soient sauvés.
Dernière édition par Djerin Rashkae le Sam 16 Juil 2022, 20:27, édité 46 fois