Presente toi banane flambee
Prénom : Océane
Age : 21 ans et toutes mes dents ! (...même pas, en vrai, ptn...)
Activités : Etudiante en sociologie, j'bosse dans un foodtruck aussi il paraît, c'est marrant.
Centres d'intérêts : Oof, le RP, l'écriture en général, la lecture, le rock (j'suis branchée sur Nothing But Thieves en boucle en ce moment), la philosophie, la sociologie, la psychologie, les trucs un peu occultes comme le spiritisme, le tarot et la lithothérapie nyéhéhé et voilà je passe déjà pour une meuf chelou. Comme ça, au moins, le ton est donné.
Où j'ai trouvé le forum : Ouuuuf je le connais depuis suuuuuper longtemps en vrai ! J'avais dû voir passer le bébé y'a genre cinq ou six ans sur un forum d'entraide, me demandez pas lequel j'en ai fréquenté beaucoup trop pour mon bien ahah ! Après tellement d'années à vous lorgner dessus sans oser passer le pas de vous rejoindre, ME VOILÀ.
Un petit mot pour Nano. ? : Vous êtes beaux ?? Je sais pas, franchement un coup de coeur qui dure depuis tant d'années oof ;; Le concept est tellement original, c'est super accrocheur, c'est fabuleux.
Activité à Prévoir : Alors, en général je suis là tous les jours plus ou moins mais à des heures complètement variables !
Bonus : Love. (+ elle est où la caverne à cookies du coup ?) (+ merci Stantan pour la recolo des tifs sur l'avatar nyéhéhé)
Stanislav "Stas" Nikolaievitch Ivanov.
Chimeres
○ Prénom et Nom : Stanislav "Stas" Nikolaïevitch Ivanov.
○ Age : 24 ans.
○ Race : Humain.
○ Forme animale : Que le Ciel l'épargne — Stanislav exècre ces démons plus encore qu'il ne s'exècre lui-même.
○ Métier : Milicien — Caporal en chef depuis peu, il s'est démarqué par son audace, son obéissance et sa détermination à appliquer les lois du Vatican. Très actif dans la milice et fils d'un milicien haut-gradé, il a toujours eu à cœur de supprimer toute trace des créatures maudites du pays — le rang acquis n'est rien qu'une décoration légitime.
○ Crédits avatar : Chuuya Nakahara (Bungou Stray Dogs) + édit par moi + recolo par Stan
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? La stature fine, les épaules presque aussi étroites que les hanches, la musculature en filigrane, les doigts longs et le nez droit — tout est ébauché en traits tout à la fois timides et exagérés chez ce gamin, à croire qu'on craint la caricature si l'on force trop les lignes de sa carrure de gringalet. Pas bien grand, Stanislav plafonne à quelques centimètres sous le mètre quatre-vingt — s'il se fond dans la masse des individus moyens du quotidien, l'arrêt sur image suffirait à le rendre fascinant. C'est qu'on le croirait venu d'ailleurs, la beauté brute sans élégance d'un autre temps. Le rictus dévoile une incisive fendue, le sourire ne monte jamais jusqu'à ses prunelles cérulées. Ses mèches rousses sont dissidentes et dissipées, lui donnent l'air farouche des marmots qui courent les rues pavées en manigançant leur prochain mauvais coup. Les tâches de rousseur sur ses pommettes sont discrètes, se revèlent sous les différentes inclinaisons du jour et des saisons — et il a l'air espiègle, Stanislav, comme un môme turbulent, le visage beaucoup plus jeune que les années qu'il aligne vraiment.
- T’as des signes particuliers ? L'épaule entièrement tatouée, encre trop noire sur peau trop blême — du pectoral à l'omoplate, et les motifs glissent jusqu'au creux de son coude. Toujours dissimulées sous ses vêtements, les lignes piquées dans sa peau n'ont jamais été admirées que par trop peu d'yeux — souvent jugées, souvent condamnées, souillures sur le corps offert par le divin et Stas se rit des rumeurs qui le veulent malgré ses travers protégé, pistonné (c'est la pure vérité) mais il ploie lui aussi quand on le punit, baisse la tête et s'incline, dissimule, expie. Des cicatrices éparses imprimées jusqu'à l'épiderme, vestiges tantôt de frasques enfantines tantôt d'échauffourées d'adultes (il paraît) qui prétendent avoir des comptes à régler — la belle gueule de Stas, il faut le savoir, beaucoup aimeraient bien la redessiner ; comme s'il suffisait de quelques bosses ou de quelques bleus pour le forcer à la fermer. Des estafilades légères gravées dans son dos comme depuis toujours — la mémoire de la discipline et de l'obéissance marquée à même sa chair ; sanctions infligées en récitant ses prières par le cœur pour demander à Dieu pardon d'avoir manqué à l'honneur de son sang.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Quand il n'est pas engoncé dans son uniforme milicien le voilà qui s'affuble de chemises froissées délavées et vestons en cuir usé — des airs délabrés qui ne lui attirent que les foudres de son père et les soupirs désabusés de sa mère. Chaque fois, les mains délicates, elle tente de lisser le col, de redresser le chapeau ou le béret, de transformer son petit garçon fripon en homme un peu plus digne — elle répète, comme si ça lui importait, mais quel femme voudra de toi mon enfant, si tu ne fais pas honneur à ton nom, et lui la rassure en murmures conciliants, dans son dos les doigts croisés ; épouser, mais quelle idée ! Le noble en fripes de paria et il fait bien rire le caporal — le novice qu'on a tantôt malmené et c'est peut-être pour ça, il faut bien l'avouer (c'est aussi ce qu'il prétend), que si ses étoffes sont d'ores-et-déjà abîmées, il ne craindra pas de les détériorer pour te faire taire, pauvre fou, si tu as l'audace de rire encore sitôt que j'aurai le dos tourné.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Un bracelet à son poignet et qui heurte sa montre aux rouages visibles — lamelles de cuir tressées, breloques cuivrées qui s'entrechoquent ; un « i », une croix, tout ce qu'il reste de quelques « breloques pour femmes » qu'il a préféré retirer. Lena s'était emballée lorsqu'elle l'avait déniché dans un marché aux puces, ce vieux bracelet usé déjà mille fois porté — le genre qu'on n'a pas idée de vendre, le genre qui ne trouve jamais acheteur dans la vraie vie. Stanislav avait fini par céder et le lui offrir — parce que c'était bientôt son anniversaire, excuse toute trouvée. Elle ne s'en était plus séparé, et il avait tenu bon — pendant plus de six ans, contre vents et marées à son poignet. Elle l'a retiré lorsqu'a grondé le dernier orage au dessus d'eux, les mains tremblantes quand elle a dénoué les ficelles et l'a posé sur la table — les yeux pleins de larmes et elle lui a soufflé « si tu ne m'aimes pas assez pour préférer mon bonheur à ton honneur, alors tes présents, reprends-les, je n'en veux plus. » C'est tout ce qu'il lui reste d'elle désormais — le bracelet usé à son poignet, comme la mémoire de tout ce qu'elle était ; le souvenir de n'avoir pas su la protéger.
Interview avec le Tout-Puissant
- Tu pries tous les soirs ? Mauvais chrétien — Stanislav croit, à n'en pas douter, comme on croit que le soleil se lève toujours du même côté et que la nuit tombe plus tard en été : il croit comme on croit en les évidences que l'on n'a jamais démenties. Mais Stanislav ne prie pas — presque pas. Il jure et parjure souvent, murmure une excuse au Sacré et les hérésies sont oubliées ; à ses yeux nul besoin des jeux patte de velours auprès du Père puisqu'il n'est jamais plus loin qu'à l'orée du cœur, nul besoin de l'invoquer puisqu'il est partout, dans chaque promesse et dans chaque soupir, dans chaque souffle du vent et dans tous les fracas du tonnerre. Il ne manque aucune messe mais ses lèvres sont closes — ses yeux le sont aussi. Il ne se lève jamais, il se tait, la tête baissée, et tandis que le Frère parle Stanislav laisse couler de son âme les péchés dont il retournera se souiller une fois la nuit tombée. Mauvais chrétien — Stanislav croit, à n'en pas douter, mais il n'est pas certain que quiconque croie vraiment en lui.
- T’aimes les animaux ? En cuisine, pour sûr — Stanislav, le fusil à l'épaule, a très tôt suivi son père et ses camarades de chasse dans les bois. Il connaît le gibier par cœur — les empreintes, les accrocs sur les troncs, les terriers. Chasseurs de père en fils et c'est le fléau qui coule dans ses veines — bien plus une affaire de trophée que de nécessité, dans le salon du patriarche la tête de son tout premier cerf abattu comme pour rappeler le pouvoir de sa lignée. Les bestioles du quotidien, elles, celles de compagnie comme disent les gamins et les gens biens, n'ont jamais attendri Stanislav. Peut-être parce que ces bêtes ne l'ont jamais grandement apprécié, et qu'il le leur rend simplement comme de ricochet.
- Ton pire souvenir, c’est… ? Les mains du démon sur le corps de sa sœur et son venin au cœur de Lena — Ielena — qui la lui a arrachée. Il se souvient encore la dernière soirée, les poings serrés le regard brûlant ; il se souvient encore comme l'acide des mots coulait sur lui et comme Lena le haïssait pour un autre, une créature qui la possédait. Elle n'était pas elle-même – Stanislav en est persuadé ; jamais Lena n'aurait haussé le ton ainsi, jamais elle n'aurait levé la main sur lui. C'était ce démon qui se jouait d'elle et de ses idées, ce suppôt de Satan qui les avait tous bernés en riant, s'était invité cent fois à leur table, avait conversé d'idéaux politiques avec son père, avait osé demander la main de sa cadette — en bonnes et dues formes, le verbe exalté, et ils y avaient tous cru. On lui a dit qu'il avait tranché la gorge de Lena et s'était repu de ses entrailles dans la nuit — et c'est bien Stanislav qui, pour venger son sang, et sans le moindre tremblement, a tiré la balle entre les deux yeux de l'immondice.
- A quoi ressemble ton chez toi ? On vit bien quand on est roi — appartement chic au sommet d'une tour métallique des quartiers huppés de Moscou, pas si éloignée de la base milicienne ni du Vatican. Grands espaces et grands balcons, l'intérieur est sobre, impersonnel. Du blanc cassé, du cuivre et du cuir — tout est fonctionnel, les meubles agencés pour plus de praticité que d'esthétisme (bien que les deux s'assortissent à merveille). Des airs de maison témoin — tout est propre, aligné, encadré. Pas de place laissée aux hasards, ni aux pas de côté : tout ce qui est dérangé est remis en ordre l'instant d'après, tout ce qui est sali est nettoyé dans la foulée. On croirait presque l'appartement bon à louer — les seuls traîtres d'une vie qui sommeille dans l'odeur du tabac froid accroché aux tissus et dans les cendriers qu'il tarde toujours un peu à vider.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Les réveils avant l'aube — la discipline du patriarche n'a pas manqué, les paupières légères avant même que le jour n'ait daigné se lever — et la routine rythmée sur les airs brouillés de la radio, trois quarts d'heure gousset en main ; puis ses instants préférés lorsqu'il se rhabille d'un sourire, ajuste son uniforme et l'arme à sa ceinture et qu'il descend dans les rues de Moscou, les cendres de sa première cigarette de la journée emportées par les zéphyrs qui soufflent sur les boulevards encore endormis. L'entraînement et les rondes se succèdent et se contrarient selon les jours, programme fixé régulé par l'habitude — il dérange tantôt les ivrognes qui roupillent sur la voie publique, tantôt les marmots qui jouent les caricatures des miliciens et des zootropes (jeu du policier et du voleur, de l'indien et du cowboy version vieille époque), ne manque jamais l'occasion de grogner (tout à fait) sur le caniche de la voisine d'en face (tel chien, tel maître et le clébard rien d'autre qu'un roquet teigneux qui tient Stanislav en horreur depuis qu'il s'est installé), et quand il n'est pas dans les rues c'est à la base milicienne qu'il se trouve, casque sur les oreilles, cran de sûreté ôté et cibles en vue. La nuit tombée, quand plus aucune responsabilité ne lui incombe jusqu'au matin suivant, il échoue sa carcasse dans les tavernes et sur les quais — s'enivre de ses péchés, et que Dieu le pardonne quand il murmure encore aux corps qu'il épouse sans les distinguer.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? Galvanisé par le pouvoir, Stanislav ferait trembler. Plus dément encore que peut l'être le Tsar aujourd'hui, plus insensé que lui-même ne l'a jamais été — il n'y aurait plus de quartier. Plus de contraintes, plus de discipline, la haine renverserait sa conscience et il n'en resterait plus rien — rien qu'un désir de revanche putride, une satisfaction infecte à lire la terreur puis l'agonie au plus profond des prunelles des démons. Plus de clémence ni de scrupules — moins pour les traîtres encore que pour les créatures à l'existence fétide. Les charognes offertes aux vautours — et les infidèles abattus sur place publique pour instaurer l'horreur et que Moscou entière puis la Russie abdiquent. Stanislav ferait brûler.
Histoire (courte)
« Fils, tu seras ce que ton père te dit ;
Stanislav, tu deviendras ce que le Père veut que tu sois. »
Stanislav, tu deviendras ce que le Père veut que tu sois. »
Et le fils a hoché la tête, Stanislav n'a fait qu'acquiescer —
si son père demandait, alors il ferait ; si le Père voulait, alors il deviendrait.
Éduqué dans la bourgeoisie bien pensante des quartiers riches de Moscou, Stanislav ne s'est, pendant longtemps, mélangé qu'à ceux de son rang. D'écoles privées en instructeurs à domicile, il s'est plié à une discipline de fer — rarement récompensée, quand tout manquement était sévèrement réprimandé. Aucun droit à l'erreur, aucun pas de côté, les versets appris par le cœur et l'enfant vouait à Dieu tout ce qu'un enfant est capable d'amour — un amour déraisonné, déraisonnable et insensé. Dieu l'aimait, lui avait-on dit,
et il lui semblait déjà, quelquefois, qu'il était bien le seul à s'y risquer.
« Lena, Lena, ma petite Lena, tête de linotte,
viens donc ici avant que maman ne t'aperçoive ainsi ! »
viens donc ici avant que maman ne t'aperçoive ainsi ! »
De trois ans sa cadette, une femme superbe et élégante — Ielena son portait craché mais les traits plus tendres, Ielena et son sourire elle le donne à qui le prend. Ielena est belle et Stanislav la hait — parce qu'il lui faudra toujours s'inquiéter de ce que les hommes feront d'elle,
de toutes les façons dont ils briseront son cœur fragile, son cœur d'oiseau, son cœur pluriel.
Il maudit tous les chiens qui s'amourachent des jupes de son Esméralda — Lena danseuse fébrile aux idées viles et malines ; chasseresse passionnée mais c'est toujours elle, le matin, qui vient à pleurer,
et les bras de Stanislav toujours la retiennent et la rassurent — à voix basse on murmure des prières pour se rappeler que si les hommes n'aiment bien qu'eux,
Dieu, lui, les aime tous les deux.
« Je l'aime, Stas, je l'aime ! Ne comprendras-tu pas ?
Je l'aime Stas et lui c'est différent, ne le vois-tu pas ? »
Je l'aime Stas et lui c'est différent, ne le vois-tu pas ? »
L'orage gronde et non, non, il ne comprend pas — sa sœur, (dé)possédée, le visage par les larmes ravagé. Elle lui demande l'impossible, elle lui dit d'accepter — que tout ce que son âme exècre, elle, elle croit l'aimer. Et il tonne, et il tempête — qu'elle ne comprend rien, Lena, pauvre folle, qu'il l'a bien eue ce chien-loup aux yeux dingues, qu'il s'est bien moqué d'eux,
et comme il était doux son Alexandr, son Sacha, et comme il les avait tous bernés.
Il avait conquis les cœurs, du père et même du frère, ils s'étaient endormis la conscience tranquille — il avait osé, osé demander sa main, en regardant le patriarche droit dans les yeux, lui promettant le cœur de sa fille mis sous clef en sûreté, des héritiers dignes, une renommée qui s'étendrait, et leur père avait dit oui.
Stanislav, d'un hochement de tête équivoque, les avait bénis.
Démon, il hurle, ce démon te possède Lena pauvre-folle regarde-toi et elle s'était tu — saccagée par l'abrupt des mots du premier homme de sa vie. Tu devais me soutenir et me protéger, Stas et le silence pour seule réponse,
et il faisait nuit quand la porte s'est fermée dans son dos et qu'elle
n'est plus
jamais
rentrée.
« Sir Ivanov, il s'agit de votre fille, tout de même,
voudriez-vous — peut-être — vous en charger vous-mêmes ? »
voudriez-vous — peut-être — vous en charger vous-mêmes ? »
Le père demeure silencieux — dans ses prunelles assombries par la rage, une ombre passe. Sa fille est déjà morte à l'instant où elle s'est changée.
Le coup de feu dans l'obscurité — solitaire et singulier.
« Stanislav ne droit rien savoir, vous n'aurez qu'à...
Dites-lui qu'Alexandr l'a tuée, et qu'il se prépare à le traquer. »
Dites-lui qu'Alexandr l'a tuée, et qu'il se prépare à le traquer. »
La déchirure, la plaie béante en travers du cœur — tout doucement, le myocarde assassiné, et les sursauts de l'âme il n'en veut plus. Réduit au silence et le palpitant se tait, mis en cage, ne veut plus trembler.
Alexandr et ce prénom sur ses lèvres une malédiction — milicien convaincu depuis trois ans mais l'entreprise n'avait jamais été si brûlante. Il comprend, sans même qu'on lui explique — que Lucifer est responsable et que son suppôt il faudra l'abattre ;
la traque dure trois jours et trois nuits — c'est à l'aube du quatrième qu'Alexandr est retrouvé, blessé et les yeux fous (de rage et de douleur).
Aucun procès — aucune dernière volonté.
On le met à genoux et Stanislav l'abat d'une seule balle entre les deux yeux.
Mort sous l'apparence d'un homme,
mais crevé comme un chien malade.
« Caporal Ivanov, vous êtes demandé —
De nouveaux zootr-démons. Pour vous. »
De nouveaux zootr-démons. Pour vous. »
Il ajuste le col de son uniforme, reproduit les gestes que sa mère répète chaque fois depuis dix ans. L’œil est gris dans le miroir, les traits froids. Il entend démons et ses prunelles s'allument d'une lueur glaçante — démente. Il redresse son insigne et ses talons claquent sur le sol — au novice il adresse un sourire que son regard trahit (et plus rien de tendre ne brille en Stanislav),
l'amour sous scellé,
la haine qui reste à apprivoiser.
résumé & précisions ; son père est un milicien haut-gradé, sa mère une femme au foyer • l'éducation est stricte et pieuse • les manquements souvent sanctionnés par les sévices physiques qu'on réserve aux infidèles • stanislav embrasse les idéaux de la milice dès ses dix-huit ans • c'est à cette époque que sa sœur s'amourache d'un homme qui ne la quitte pas • il a vingt-et-un an quand cet homme se révèle être un zootrope • on lui dira qu'il a possédé puis assassiné sa sœur et il sera abattu des mains de stanislav par revanche • il ignore que sa sœur était une zootrope latente récemment découverte • et que son propre père l'a faite abattre • enjoy
Dernière édition par Catharsis le Dim 10 Mai 2020, 05:40, édité 20 fois