Presente toi banane flambee
Prénom : Léa, mais appelez moi Shaen (comme vous voulez en fait, j'osef xD)
Age : 21 ans (une gamine de NRP x) )
Activités : étudiante en BD et Rôliste à temps complet
Centres d'intérêts : Ma grande passion : l'art, touche à tout : Dessin (Traditionnel et Digital), Peinture, Sculpture, Gravure, Cosplay, Poésie, etc...
Pour le reste c'est pas compliqué : le JEU DE RÔLE, c'est un peu le fil rouge de mon existence depuis mes 7 ans avec mon père dans un club de jdr à Tours (Un rôdeur un peu timide qui refusait de se battre s'il y avait un petit danger (Aaaaah les persos de jeunesse x)). Bref je fais beaucoup d'écriture de scénarios, de création de concept de personnages (vous imaginez même pas la quantité de perso que j'ai créé (vraiment... (nan mais vraiment, demandez à Stanéria))). Pour conclure je suis en ce moment en train de créer mon propre univers, accompagné d'un système de jeu de rôle.
Voilà voilà... je crois que cette case était pas faite pour autant de mots...
Où j'ai trouvé le forum : Comment dire... à force d'avoir une Stanéria qui gueule dans nos oreilles "HEY IL EST BIEN CE FORUM" beh j'me suis dit que ça coûtait rien d'aller voir.
Un petit mot pour Nano. ? : Cucurbitacées, mais surtout un grand merci pour tous les efforts et le temps passé sur le fofo
Activité à Prévoir : Au minimum une fois par semaine, sûrement plus mais ça dépendra vraiment de certains trucs comme le taff que j'ai à faire, les autres JDR, les soirées, etc
Par contre pendant les vacances je ne peux pas promettre de ne pas spammer le forum de personnages hauts en couleurs et de RP à foison. [SPOILER : C'est random en vrai maintenant :/]
Bonus : Gné ?!
Elaine Resald
○ Prénom et Nom : Élaine Résald
○ Age : 21 ans
○ Alignement : Neutre
○ Race : Humain
○ Classe : Fureteur
○ Métier : Exploratrice Archéologue intrépide
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Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis dans la moyenne haute pour une femme, c'est à dire environ 1m70 et des broutilles. Mais est-ce réellement d'une importance capitale ?
- T’as des signes particuliers ? Si vous me posez la question c'est vraiment que votre vision va mal... Cela fait déjà cinq ans que j'ai ces marques ou runes gravées sur ma peau, tatouage de magie impie et des immondices de mon passé. M'enfin si vous voulez des détails j'ai également une cicatrice nette et horizontale dans le cou, je vous expliquerai peut-être plus tard pourquoi. En dehors de cela aucun tatouage, j'ai déjà assez de mes foutues marques. Par contre j'ai deux piercings en ambre aux oreilles, ils sont vieux je ne me souviens même plus où je les ai trouvé.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Il faut vraiment que vous alliez voir un guérisseur pour vos yeux... Je m'habille de manière assez élégante en général, enfin une élégante simplicité, je ne suis pas comme ces nobliaux pompeux qui récurrent les postérieurs royaux : pas de fioriture, pas de froufrou inutile, de l'élégance sans arrogance.
Encore il y a un ans vous m'auriez posé la question je vous aurai répondu que je portais des vêtements trop grand, pour cachez mes marques... Mais maintenant peu m'importe de les dissimuler.
Pour mes expéditions, et lorsque je suis en voyage, c'est un autre récit. Oubliez les vêtements élégants et parfaitement assortis. Remplacez tout cela par des bandes de tissu sous les guêtres en cuir, de solides bottes de voyage, une chemise grisée par le temps et la poussière sous une tunique de cuir renforcée chez un armurier. Ajoutez à cela une ceinture pour les outils, une bande de tissu raz-le-cou ainsi qu'une dague de modeste qualité et vous obtiendrez ma seconde facette.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? La bande de tissu autour de mon cou... ma cicatrice est encore un élément de mon corps que j'ai du mal à assumer alors je la cache... tout le temps. Sinon beh... je n'ai pas vraiment d'objets auxquels je suis vraiment attachée.
Ah si ! Il y a cette bague qui appartenait à ma mère, je la porte toujours en pendentif.
Interview avec un troll à trois orteils
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres ! Je ne hais aucune race en particulier. Et si je devais considérer les actions des uns et des autres comme représentant leur race, il y a bien longtemps que je vivrai en ermite au fin fond d'une montagne massacrant le moindre être intelligent qui entre dans mon champs de vision. Cependant je me méfie grandement des elfes noirs et des humains, les deux sont capables des pires atrocités... Oh et ce n'est pas une race mais je déteste les mages, pour des raisons que vous allez trouver évidentes à la fin de cette interview.
- Un inconnu te propose un deal : tu te fais avoir, en général ? Je ne marchande que très peu, mais quand cela arrive j'ai tendance à trop naïvement croire les commerçant quand ils me parlent d'une marchandise que je ne connais pas assez. Par contre si je viens pour acheter mon matériel bon courage pour m'entourlouper sur les prix, je les connais par cœur.
- Tu te retrouves face à trois trolls super vénères... Qu'est-ce que tu fais ? Euh... Je cours ? cela me paraît être une solution intelligente.
- Où est-ce que tu dors le soir ? (Ou le matin. Ou l’après-midi. Tu dors, d'abord ?) Dans le lit douillet d'une auberge au luxe proportionnel à la richesse obtenue lors de mes expéditions. Sinon lors de celle-ci je dors sur une paillasse. C'est largement suffisant pour dormir quatre heures. Mais quel que soit l'endroit il m'arrive souvent de mal dormir à cause des marques qui me font souffrir.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Ça dépend de beaucoup de chose, si je suis en ville mes journées se résumeront à déambuler dans les marchés et les boutiques de curiosités, me détendre à l'auberge, y rencontrer des personnes toujours plus unique et discuter et surtout récolter des informations sur une possible prochaine expédition dans un lieu mystique, oublié, dangereux, et/ou chargé d'histoire. Un quotidien ma foi fort paisible.
Quand je suis en expédition, la vie devient excitante d'une toute autre manière. Chaque expédition est différente et il n'y a que très peu de routine une découverte menant à d'autres problèmes insolubles. Rien ne vaut une telle aventure, vous devriez essayer... Tient la prochaine fois que je pars je vous emmène, vous 'avez l'air sympathique en plus.
- Si tu possédais le miroir de Guldin, qu'est-ce que tu en ferais ? Honnêtement ? Je le laisserai à sa place. D'accord nous sommes en guerre, d'accord la vie n'est pas rose tous les jours. Tout cela je vous le concède... Mais pensez-y une seconde...
...
Qu'est-ce qu'on se ferait chier sans ça ! Excusez mon langage mais il n'y a pas d'autre mot.
Histoire (courte)
Bon c’est à partir d’ici que ça se complique. Bon je ne vais pas vous raconter mon enfance, vous vous endormirez au bout de cinq minutes. Imaginez simplement une petite fille bourgeoise destinée à se marier à un fils d’une famille un petit peu plus bourgeoise pour le bien de sa famille. Vous voyez ? rien de bien intéressant là dedans.
Commençons à fouiller dans mon adolescence. J’étais une jeune fille de douze ans, tout juste en âge de me marier mais mes parents attendaient mon premier sang pour organiser un union avec une autre famille. À ce moment de ma vie la curiosité dominait mes actes et je m’intéressais beaucoup à la magie et aux mages. En secret et sans l’accord de mes parents j’ai demandé à un mage de la ville que je connaissais depuis peu de m’apprendre… J’ai mis deux ans à essayer de le convaincre de devenir son apprentie, je passais de plus en plus de temps avec lui et me suis faite mainte fois blâmée par mes parents qui préparaient le mariage et qui avaient besoin de moi pour la robe sur mesure.
J’avais quatorze ans quand il accepta enfin de me prendre comme apprentie, à une condition, que je quitte le foyer familial pour vivre avec lui, soi-disant parce que l’apprentissage demandait tant de temps qu’il me serait impossible de rentrer chez moi tous les jours. J’aurai dû me douter de quelque chose dès ce moment là me direz vous… Et vous auriez totalement raison, j’aurai dû…
Bon autant vous dire que mes parents ne m’ont plus jamais revu.
Ce que m’a fait ce sorcier est indescriptible… pendant un ans et demi j’ai servi de cobaye à un fou obsédé par la magie du feu et par le corps humain. J’ai lu ses notes, il cherchait à faire d’un corps non lié à la magie une arme vivante de magie pure. En d’autre termes il voulait faire de moi une élémentaire de feu humaine. Avant que vous ne posiez la question, oui c’est de là que viennent toutes mes marques de brûlure et les tatouages étrangement orangés sur ma peau. La petite fille de quinze ans était sanglée à une table d’étude dix-huit heures par jours pendant lesquelles cet aliéné de Dergo travaillait ma peau en y insérant sa magie impie.
Tous les jours il venait me réveiller dans ma cellule où je passais les moments les plus libres de mes journées pour me forcer à manger l’immonde plat qu’il avait préparé la veille pour son dîner. Puis les sangles, l’étude, cellule, dormir, plat horrible, sangles, étude, cellule, … Jamais la “routine” ne changeait. Sauf qu’un matin, je me suis réveillée, non pas à cause de la porte qui s’ouvrait, mais bien parce que j’avais suffisamment dormi. J’ai attendu, personne ne venait me réveiller alors je me suis approchée de la porte, je ne voyais rien à travers la serrure et il n’y avait aucun bruit à l’extérieur alors j’ai essayé d’ouvrir…fermé évidemment. À ce moment je ne savais pas trop quel miracle s’était produit mais la serrure à soudainement fondu, laissant la porte s’ouvrir sur le laboratoire, maintenant je le sais, ce sont ces marques et cette magie en mon sein qui ont fait ça, c’était en quelque sorte moi. Quoiqu’il en soit il n’y avait plus personne dans le laboratoire, mais il était dans un bazar monstre. Peut-être Dergo est-il parti précipitamment, peut-être a-t-il été arrêté par la garde, peut-être est-il mort, je n’en sait rien… Peu importe ce qu’il lui est arrivé cela m’a permis de m’enfuir.
Tout ça c’était il y a cinq ans, je vais maintenant sur ma vingt-deuxième année. J’ai appris à vivre avec ces marques, et même dans certaines situations les utiliser. Cela fait trois ans que j’exerce ma passion en explorant le monde entier à la recherche de relique du passé et d’aventure.
Vous savez... vous avez de la chance d'être psy, parce que voyez vous, sans cet état de fait jamais je ne vous aurai raconté tout cela aussi facilement.
- Spoiler:
- Les marques de feu d’Élaine
Ces marques sont un peu comme des tatouages, sauf que dans le cas présent l’encre serait de la magie du feu. Après plusieurs années d’entraînement et de vie quotidienne avec, Élaine sait maintenant à peu prêt s’en servir correctement.- Les marques en général : Les marques sont difficiles à utiliser et sont bien moins malléables que la magie “ordinaire”. Cela signifie qu’elle vont en général avoir une fonction plus ou moins fixe et ne pourront pas servir à beaucoup plus de chose.
- Les marques des bras : Élaine se sert principalement de celles-ci pour enflammer ses avant-bras et projeter des langues de feu à courte portée (environ un ou deux mètres).
- Les marques des jambes : Même utilisation que les bras à la différence qu’elle s’en sert aussi pour se déplacer sur des surfaces extrêmement chaudes.
- Les marques sur le torse : Elle ne s’en sert quasiment jamais, déjà parce que si par malheur elle ne les contrôle plus se sont ses vêtements qui vont être réduits en tas de cendre. Ces marques servent néanmoins de protection contre ses propres flammes et font qu’Élaine ne se brûle pas à chaque utilisation.
- Les marques sur le visage : Plus utilitaires et polyvalentes les marques sur son visage sont plus proches de son esprit et lui permettent une utilisation déjà plus proche de celle d’un mage. Elle ne les utilise généralement que pour contrôler des flammes qu’elle a déjà créé avec d’autres marques.
- Les marques en général : Les marques sont difficiles à utiliser et sont bien moins malléables que la magie “ordinaire”. Cela signifie qu’elle vont en général avoir une fonction plus ou moins fixe et ne pourront pas servir à beaucoup plus de chose.
- Images de référence :
- - L'idée des marques magiques (Vetyr) :
- L'utilisation des marques d'Élaine :
X5-87ED
○ Prénom et Nom : Modèle X5-87ED
○ Age : 3 mois
○ Race : Droïde High-Tech
○ Planète : Celur
○ Métier : Droïde domestique à la pointe de la technologie
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Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Calcule de la taille moyenne du prototype 87ED en cours...
x̄=1 748 119 802nm
E=67 040 131nm
- T’as des signes particuliers ? Le modèle 87ED de la nouvelle série de droïde X5 possède l’apparence que vous désirez, dans la limite d'une attente de 24h.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Il est déconseillé d'habiller son droïde, le modèle X5-87ED possède un système de refroidissement au quark complet et complexe s'adaptant par des nano-capteurs à la température ambiante.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Je vous suggère s'il arrive un accident au modèle X5-87ED de ne pas toucher à ses composants et directement nous le rapporter, nous vous le réparerons. Les technologies du modèle 87ED ne sont pas à la portée de tout le monde.
Néanmoins si vous êtes un expert en matière de robotique, de physique appliquée et d'électronique vous devez simplement faire attention à ne pas endommager ni retirer le condensateur quark de X5-87ED, il est indispensable à beaucoup de ses fonctionnalités et à son auto-entretient.
Interview avec un poulpe
- Où te planques-tu ? (vaisseau, station orbitale, planète, etc.) Le modèle X5-87ED que l'on a surnommé Eden, est à l'instar de tout nos autres modèles X5 disponible dans tout nos magasins sur Celur et Phos'Il ainsi qu'en commande sur notre site et nos site partenaires.
- Tu joues au poker (si si) avec un poulpe violet, un Xzblorg, un tapis qui parle et un droïde à tête de canard. Qui est-ce que tu surveilles ? Le modèle X5-87ED est doté d'un système d'analyse faciale inspiré des techniques de détection du mensonge les plus élaborées des forces de l'ordre, il est capable d'analyser les expressions faciales d'un individu afin de prévenir un bluff dans l'exemple que vous citez, mais aussi une agressivité envers son propriétaire qu'il préviendra de suite du danger.
- Dans les cantinas, qu'est-ce qu'on dit de toi ? Le modèle X5-87ED est testé et approuvé par les experts de la communauté scientifique de Celur.
- Les lois, la politique, la Confédération du Commerce, l'écologie... t'en penses quoi de tout ça ? Le programme de X5-87ED est parfaitement conforme aux lois Asimov et plus encore ! Vous pouvez y ajouter vos propres lois dans le menu de configuration. De plus ses matériaux de fabrication et son système énergétique réduisent son émission de CO² de 21,5% par rapport aux autres modèles !
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Le modèle X5-87ED est capable d'accomplir toutes les tâches domestiques que vous lui demanderez, de la vaisselle au nettoyage complet de votre maison, en passant par la garde des enfants. Attention cependant, bien qu'il soit capable de vous défendre dans une situation de danger il n'est pas prévu pour le combat alors il ne faut surtout pas s'en servir de garde du corps.
- Si tu trouves la planète Alpha, qu'est-ce que tu fais ? Eden ne se préoccupe pas de ce genre de chose mais évidemment s'il découvre Alpha il en informera les autorités compétentes.
Histoire (courte)
Le modèle 87ED de notre toute nouvelle série de droïde X5 est à la pointe de la technologie ! Élaboré sur Celur avec des matériaux de producteurs locaux. Son design a été pensé pour s’adapter aux goûts de chacun et surtout de son propriétaire. Vous trouverez dans le menu principal de son interface les options dans lesquelles vous pourrez demander à votre droïde de changer de forme pour qu’il aille mieux avec le reste de votre maison : couleurs, courbes, voix, et même sexe !
Pas besoin d’entretenir votre droïde. Des nano-robots, des nanites, s’en chargent pour vous ! Ils sont connectés au modèle X5-87ED et font parti de son corps, lorsqu’un problème sera détecté ils sortiront de leur compartiment de stockage et iront réparer le-dit problème.
Le modèle X5-87ED effectue les tâches que vous lui demandez de faire :
Ménage
Vaisselle
Gestion de compte
Cuisine
Aide à domicile
Réception de livraison
Ainsi que d’autre fonctionnalités ajoutables et achetable en complément en magasin.
N’hésitez pas à vous faire plaisir ! Achetez Eden et soyez le premier à profiter des avantages qu’il apporte !
65’000 crédits seulement le droïde, satisfait ou remboursé.
Garanti 20ans
- Images complémentaires (Annexes):
- Version Homme d'Eden
Version Femme d'Eden
Les nanites réparateurs
Alors que des procès contre les concepteurs d'Eden s'éternisent ce dernier à été abandonné dans une décharge.
Abygaelle Soyun
○ Prénom et Nom : Abygaëlle Soyun
○ Age : 24 ans
○ Race : Humaine, bien qu'il y ait un ou deux Teluns parmi ses ancêtre il n'en reste quasiment plus rien.
○ Planète : Phos'il
○ Métier : Pirate informatique, Mercenaire
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Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Abygaëlle n'est pas vraiment très grande, elle ne fait qu'un peu plus d'un mètre soixante. Sa taille ne la complexe pas mais elle préfère paraître plus grande, par le port de talon ou toute autre stratégie.
- T’as des signes particuliers ? Elle porte quelques tatouages visibles à la lumière classique et lumineux en lumière noire : un serpent stylisé "digital" qui s'enroule autour de sa jambe droite; un logo PEGI(18+) juste en dessous du ventre, le symbole "power" sur le dos de la main gauche et une "pluie" de code binaire (à la matrix) partant de ses épaules, aux coudes. De plus son bras droit à été modifié cybernétiquement pour accueillir un terminal de piratage et des puces de connexion sont implanté dans la paume de sa main gauche.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Abygaëlle a un style plutôt semi-décontracté, elle porte souvent une veste en jean à manche longue et des mitaines en cuir. Sa veste est régulièrement ouverte sur un débardeur noir assez sobre. Pour le bas elle porte souvent une jupe trapèze (ou short similicuir) avec collants plus chaussettes hautes ou alors un pantalon slim taille haute. Avec tout cela Aby porte un casque audio autour du cou et d'étranges lunettes faites d'une unique plaque incurvée de verre. Oh et petit détail elle porte un tissu en col qu'elle peut relever en masque.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Elle ne quitte jamais son casque, car elle est légèrement accro à la musique (Trance, Elektro, Dubstep, Electro-Swing, mais majoritairement Trance quand même). De plus il est impossible de croiser Abygaëlle sans ces étranges lunettes qu'elle ne met que rarement devant ses yeux, elle les gardes dans ses cheveux la plupart du temps ces lunettes lui servent en fait d'écran puis d'interface tactile pour les puces-ordinateurs qui sont implantées dans sa main gauche (à la TotalRecall (2012 pas 1990)). Son téléphone, évidemment, ainsi que son blaster tout droit sorti du marché noir.
Interview avec un poulpe
- Où te planques-tu ? (vaisseau, station orbitale, planète, etc.) Elle a un petit appart de 15m² sur Phos'ill composé d'un lit double, un ordinateur et une commode pour ses vêtements. La porte d'entrée est en face de la grande fenêtre donnant vue sur la ville du haut de l'immeuble bas prix. Mais sinon elle se trouve maintenant à bord d'un vaisseau qu'elle a volé à une autre mercenaire lors d'une mission, le Destiny est maintenant le symbole de son équipage pirate/mercenaire. Elle l'a retapé entièrement à sa sauce.
- Tu joues au poker (si si) avec un poulpe violet, un Xzblorg, un tapis qui parle et un droïde à tête de canard. Qui est-ce que tu surveilles ? Si elle connait à l'avance ses adversaires elle ferait sûrement au préalable une recherche sur les habitudes des quatre joueurs pour savoir de qui se méfier et quels sont leur style de jeu pour les devancer. Sinon elle improvisera et tentera discrètement de compter les cartes avec son terminal et dans sa tête. (bien sûr elle verra le jeu de droïde à travers ses yeux en quelques clics donc pas de problème pour son cas.)
- Dans les cantinas, qu'est-ce qu'on dit de toi ? Les gens disent souvent d'Aby qu'elle est un peu timbrée et qu'il faut la brosser dans le sens du poil si on ne veut pas recevoir une décharge de blaster entre les deux yeux. Sinon elle est gentille et effectue correctement le travail qu'on lui confie, malgré quelques écarts. Elle n'en fait qu'à sa tête, une mission c'est à SA méthode ou rien.
- Les lois, la politique, la Confédération du Commerce, l'écologie... t'en penses quoi de tout ça ? L'écologie, du moment qu'elle survie, elle s'en fout. Idem pour les lois et la politique : elle n'en a rien à cirer. La CC c'est autre chose, si elle peut par un quelconque moyen les emmerder elle ne se privera pas.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Quand elle n'est pas en mission Abygaëlle passe sont temps à jouer sur son ordi dans son appart en écoutant de la musique, ou à bosser dans la boîte de nuit "Rave Night" au centre ville. Sinon elle s'occupe de sa petite moto (plus pratique pour fuir des véhicules de police).
- Si tu trouves la planète Alpha, qu'est-ce que tu fais ? Aby n'a que faire d'Alpha, elle est vierge, c'est très bien tant mieux pour elle, mais on a de quoi vivre avec la pollution et quand bien même elle y est habituée alors à quoi bon changer.
Histoire (courte)
L’histoire d’Abygaëlle commence après ses études en informatique. Brillante élève elle obtint son diplôme 2 ans plus tôt que les autres élèves. Passionnée de musique elle enchaînait les petits boulots dans les médiathèques pour financer ses études, son petit appart et l’achats de jeu et du matériel informatique.
Après l’obtention de son diplôme donc, elle perdit son job à la médiathèque et finit par rapidement plonger dans l’illégal pour gagner de l’argent, elle commença par des boulots de dealeuse d'ecstasy qu’un type lui fournissait contre 90% des recettes, un job qu’elle n’appréciait pas du tout mais elle en avait besoin pour vivre. Un jour elle fit la rencontre d’Ethan un contrebandier humain à qui elle devait livrer une cargaison d’ecsta. Elle décide de rester avec lui après quelque promesse de salaire plus élevé.
La relation professionnelle entre Ethan et Aby devint peu à peu une relation amicale et elle se vit confié de plus en plus de mission intéressante, c’est également à partir de cette période qu’Ethan commença à mettre à profit les talents en informatique d’Aby pour organiser divers coups, le duo avait arrêté la contrebande et était passé au mercenariat et au vol. L’argent commençait à rentrer mais les casses devenant de plus en plus importants ils nécessitaient de plus en plus d’équipement alors les recettes partaient dans ce dernier : Moto pour Aby, Vaisseau cargo d’Ethan retapé, des armes correctes, etc.
Enfin il y a deux ans Ethan et Aby ont commencé à devenir très proches, jusqu’à ce qu’ils salissent les draps d’un marchand chez qui ils devaient récupérer les actes de propriété pour le compte d’un opposant. Suite à cet “incident” ils ont décidé de passer du statut d’amis à celui de couple. De mission en mission l’argent venait à nouveau mais Aby refusa de quitter son petit appartement, elle s’y sentait bien pour le moment et puis si elle avait envie de passer quelques jours avec Ethan voir plus longtemps, le vaisseau était très bien.
Quoiqu’il en soit il y a un an elle négocia avec le gérant de la boîte “Rave Nigth” de lui servir de couverture au cas où les autorités chercheraient à savoir d’où provenait l’argent qu’elle gagnait. Elle en profita également pour se faire implanter dans le bras un mini-ordinateur qu’elle modifiera plus tard pour le changer en terminal de piratage rapide. Et encore plus récemment elle s'implanta des micro puces-ordinateurs dans la main gauche. Ces puces servaient de base de téléphone greffé directement dans la main, mais la jeune et brillante informaticienne en décida autrement elle modifia le programme interne et ajouta quelques capteurs afin qu’une fois posé sur une surface en verre elles y affichent un récapitulatif global de toutes les informations dont elle a besoin, le tout relié à son terminal pour piocher les informations. Ajoutez à cela des lunettes faites d’une unique plaque de verre incurvée et vous obtiendrez une pirate informatique pleine de ressource et totalement mobile.
- HRP:
- J'aurai pu détailler plus l'histoire mais cela n'aurait pas eut grand intérêt la grosse partie de l'histoire d'Aby est à venir et pas dans son passé ^^
- L'appart d'Aby:
- Ethan:
- Son vaisseau cargo
Svetlana Nikolai
○ Prénom et Nom : Svetlana Nikolaï "Sveta le Rossignol"
○ Age : 23 ans (mais 22 ans effectif, elle est de fin d’année)
○ Race : Zootrope latente
○ Forme animale latente : Une Luscinia megarhynchos (rossignol) au plumage dorée et bleu roi
○ Métier : Diva anciennement à l’opéra de Paris, Maintenant à Moscou au théâtre Krotkova.
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Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis de taille moyenne soit environ un mètre soixante mais dans les faits que ce soit au théâtre, à l’opéra ou au quotidien j’atteins plutôt le mètre soixante-dix avec les talons.
- T’as des signes particuliers ? Mis à part le fait que je sois auburn aux yeux bleu-gris et que ce soit suffisamment rare pour le souligner ce ne sont pas les seuls signes particuliers qui me caractérisent. En effet il parait que ma voix d’ange est au diapason de ma beauté singulière et qu’elle a fait mon succès à l’Opéra de Paris. J’ai également deux tâches de naissance à l’opposé l’une de l’autre sur mes omoplates mais je n’ai que très rarement le dos nu alors elles ne se voient pas. Ayant passé une grande partie de ma vie à Paris j’ai également un léger accent français.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Cela dépend de si vous parlez du travail ou du quotient très cher. À vrai dire lors de spectacles mes tenues sont souvent extravagantes et théâtrales. Mais en dehors je gagne en simplicité, en effet bien que mes tenues privées restent bourgeoise pour garder bonne allure face à mes admirateurs et admiratrices elles ne valent pas aussi cher que celles que je porte sur scène. En public je suis quasiment toujours en robe corsée avec des gants en soie et un serre-tête ou une capeline chic, le tout bien évidemment accompagné de talons, d’un éventail et éventuellement d’une ombrelle.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Après ce qu’il s’est passé à Paris je garde toujours un petit poignard caché quelque part sur moi, sinon comme vous l’avez déjà probablement compris je ne sors que très rarement sans talons ainsi que mon éventail qui m’a été offert par Ernest Rouart l’élève d’un artiste français, Degas, vous connaissez ?
Interview avec le Tout-Puissant
- Tu pries tous les soirs ? Mes parents ont toujours été très pieux et m’ont éduquée de la sorte lorsque nous étions à Saint-Pétersbourg, à Paris nos occupation respectives et l’éloignement du Vatican a donné lieu à une baisse du nombre de soir hebdomadaire où nous priions. Mais depuis mon arrivée à Moscou je prie tous les soirs après chaque spectacle, j’ai retrouvé ma ferveur envers Dieu… Cependant je vois ce qu’il se passe entre les zootropes et l’Église et je trouve cela triste, nous ne considérons pas les animaux comme démons alors pourquoi le faire pour les zootropes ? le Seigneur prône le respect de la vie d’autrui ce qui, que je sache, n’exclut pas les zootropes… Bref si vous pouvez garder cela pour vous et ne pas le mentionner dans votre article je vous en serais reconnaissante, je ne veux pas d’ennuis avec la milice.
- T’aimes les animaux ? Quelque peu oui, j’ai un faible pour les chats et les oiseaux. J’ai d’ailleurs une chatte depuis 5 ans qui s’appelle Lina, c’est une angora tigré couleur caramel, je l’ai trouvé à Paris alors qu’elle était toute petite : elle a certainement été abandonnée par sa précédente famille. Sinon plus récemment, il y a deux ans une perruche ondulée bleue m’a été offerte, accompagnée d’un bouquet d’iris assortis. Je l’aime beaucoup elle m’accompagne dans ma loge privée lors de mes représentations, je l’ai appelé Mirage.
- Ton pire souvenir, c’est… ? Question intéressante, très privée je trouve mais néanmoins intéressante. Je ne peux pas vraiment classer mes souvenirs selon un échelle de gravité… mais celui qui m’a, me semble-t-il, le plus marqué s’est déroulé à Paris, peu de temps après ma première scène au Palais Garnier. Ehm, et c’est en général dans ce genre de situation où vous êtes dans un monde nouveau qui vous émerveille que vous en apercevez ses revers… En sortant de l’opéra un soir après une représentation acclamée, un groupe d’homme m’attendait et ils m’ont immobilisée pour me ruer de coup probablement jusqu’à la mort si Ernest n’était pas intervenu… Quel est la question suivante ?
- A quoi ressemble ton chez toi ? Loin d’être modeste comme vous pouvez l’imaginer. À Paris j’avais droit à une chambre d’hôtel à côté du Palais Garnier plutôt luxueuse, tapisseries, soieries, un immense lit et tout un tas de merveille. À Moscou j’ai choisi la modestie, enfin façon de parler, quand je dis modestie c’est de mon point de vue et en comparaison avec ma vie parisienne. Là encore je vis dans une chambre d’hôtel qui m’est offerte par le théâtre Krotkova, c’est un endroit au coeur de Moscou, légèrement en hauteur qui donne une vue sur la ville sublime depuis le balcon, la chambre est raisonnablement grande elle dispose de fauteuils placés devant la cheminée pour recevoir, un lit en baldaquin taillé dans de l’acajou, idem pour le secrétaire à côté de la porte d’entrée, l’armoire pleine de vêtements en tout genre est placé avec le paravent et le miroir juste à côté de la fenêtre. En face de la porte, donc à gauche de la fenêtre se trouve la porte menant au balcon.
J’aime donner à cette chambre une touche personnelle avec quelques photos encadrées ainsi qu’une ambiance lumineuse, il est bon d’y voir clair. Oh et bien sûr il y a à côté du lit un guéridon sur lequel est posé la cage de Mirage.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Il est vrai qu’après sept ans de carrière montante à l’opéra on en oublie le vrai sens d’une journée normale, pour moi elles le sont toutes, mais en y réfléchissant ma vie est un rêve que je réalise quotidiennement. Mais pour répondre à votre question une typique pour moi se résume au réveil par les premiers chants de Mirage vers 6h, je prends ensuite le temps de m’occuper un peu d’elle et Lina en attendant que mon petit déjeuner me soit apporté à 6h30. C’est vers 7h que le travail commence avec quelques vocalises, l’apprentissage ou la révision des textes pour le reste de la matinée. Quant à l’après-midi cela dépend beaucoup s’il y a une représentation le soir même ou dans les jours qui suivent elle est consacrée aux répétitions et l’installation des décors et costumes. Si ce n’est pas le cas je passe mon après-midi en temps libre ou à discuter avec les artisans costumiers de la tenues que je porterai sur scène. Entre 18h et 19h [convention horaire française, comprenez 6h et 7h du soir] je prends le temps de répondre aux lettres que je reçois en priorisant celles qui me viennent de connaissances privées. À partir de 19h mon agenda m’est exclusivement réservé, j’oublie mon travail et me consacre à mon propre plaisir et ma vie personnelle.
Vous vous attendiez à une réponse courte lorsque j’ai parlé de résumé n’est-ce pas ? La vie d’artiste est bien remplie.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? La réponse figurera dans l’article ? non ? D’accord. La réponse va pour une fois être brève, je n’y connais rien en politique donc je ne sais pas vraiment ce que je ferai, mais vous pouvez être sûr que j'essaierai de faire en sorte que les zootropes vivent mieux à commencer par la dissolution de la milice. D’autant qu’ils ne s’en prennent pas qu’aux “démons” et ça c’est inacceptable.
Histoire (courte)
Chronologie :
Octobre 1870 : arrivée de François Vuiet, architecte français, à Saint-Pétersbourg fuyant la guerre franco-prussienne.
Décembre 1870 : François fait la rencontre de Pavla Isaakovitch Nikolaï
Novembre 1871 : Naissance de Svetlana à Saint-Pétersbourg.
Novembre 1873 : 2 ans de Svetlana, elle est confié à une école pour fille assez bourgeoise. Elle montre rapidement des aptitudes pour le chant et la comédie.
Avril 1880 : François fait jouer de ses contacts français pour retrouver un travail à Paris et accepte de rejoindre les entreprises Eiffel.
Mai 1880 : Déménagement de la famille Nikolaï à Paris suite à une décision de François.
Juin 1880: Arrivée à Paris la famille s’installe dans un appartement haussmannien dans le centre de Paris.
Janvier 1881 : Svetlana entre dans une école spécialisée dans le chant et le théâtre
Mai 1884 : Le père de Svetlana refuse de participer en tant qu’architecte des entreprises Eiffel au projet de l’exposition universelle de 1889.
Janvier 1886 : Svetlana obtient des résultat prometteurs et joue pour la première fois sur scène dans un petit théâtre dans la banlieue de Paris.
Juin 1886 : Elle obtient ses diplômes avec les félicitations et se voit proposer un rôle dans le petit théâtre où elle a joué en janvier.
Mai 1887 : Le directeur de l’opéra de Paris assiste à une représentation de Svetlana et tombe sous le charme de sa voix qu’il qualifie dans un article de “Chant de rossignol”.
Juillet 1887 : Le directeur de l’opéra de Paris parvient à convaincre Svetlana de venir jouer l’opéra, offre qu’elle avait précédemment refusé car elle ne se pensait pas à la hauteur d’un si grand opéra à à peine 16 ans.
Septembre 1887 : Sveta a une violente dispute avec l’autre diva du palais Garnier, Juliette Clairveau, jalouse de l’immense succès de la jeune russe ces derniers mois.
Avril 1889 : Juliette se fait virer de l’opéra suite à une énième dispute où elle frappe violemment Sveta au visage.
Août 1889 : François, le père de Svetlana développe des symptômes de zootropie et est retrouvé mystérieusement mort au milieu d’une rue de Paris. Svetlana est anéantie et décide de prendre une pause avec l’accord du directeur.
Février 1891 : Svetlana reprend son travail à l’opéra
Année 1891 : Le retour de la jeune rossignol fait grand bruit et fait couler l’encre de la presse parisienne. L’opéra est rempli à chacune de ses représentations.
8 mars 1892 : À la sortie de l’opéra pour regagner son hôtel Sveta se retrouve à marcher seule de fait de l’absence inattendue de son chauffeur. Sur le chemin elle tombe face à deux hommes plutôt bien bâtis et se fait agresser de manière violente. Ernest Rouart qui était resté à la fin de la pièce dans l’espoir de voir la rossignol, intervient armé d’un revolver et emmène Svetlana à l’hospice.
9 mars 1892 : Svetlana se réveil après plusieurs longues heures dans l’inconscience avec Ernest à son chevet, un bouquet de fleur et un éventail rubané dans les mains. Les deux jeunes adultes discutent toute la journée.
29 mars 1892 : Svetlana est rétablie et présente ses excuses au directeur de l’opéra pour son absence.
Avril 1892 : Ernest présente Svetlana à un ami peintre de son père : Edgar Degas, ce dernier fait alors un portrait de la jeune fille dans son style pastel neuf.
Mai 1892 : Une admiratrice offre à Svetlana une perruche ondulée qu’elle nomme par la suite Mirage
16 juin 1892 : Svetlana découvre avec l’aide d’Ernest qu’elle est une cible de luxe dans le milieu malfrat à cause d’une rumeur lancé sur la base de son nom d’artiste par Juliette qui a très mal tourné après de vaines tentatives de reprendre une carrière dans le théâtre, elle met alors la faute de sa chute sur Svetlana.
Octobre 1892 : Une nouvelle agression musclée est étouffée dans l’œuf.
Janvier 1893 : Sveta craint de plus en plus être seule et engage un garde du corps pour l’accompagner de chez elle à l’opéra et pour le chemin retour.
3 février 1893 : Le garde du corps de Svetlana meurt en la sauvant d’une tentative de meurtre avec arme à feu, elle fuit, évitant à nouveau de peu la mort.
5 février 1893 : Svetlana fait ses bagages et achète un billet de train pour Moscou sous un faux nom, tout en préparant avec l’aide d’Ernest la simulation de sa mort.
19 février 1893 : Départ du train vers Moscou, Svetlana quitte Paris sans prévenir qui que ce soit.
20 février 1893 : Arrivée à Moscou elle se fait discrète et loue une chambre d’hôtel en centre-ville. Elle pense à finir sa vie dans l’ombre.
1er mars 1893 : Sveta le rossignol est déclarée morte par les autorités parisienne et est enterrée le lendemain. Ernest, avec la complicité de son père et de Degas, utilise un corps de substitution pour l’enterrement, et le font passer pour celui de Sveta.
1894 : Svetlana s’est réhabituée à la langue russe mais garde encore un léger accent français. Elle se sent prête à reprendre l’opéra et le théâtre. Elle signe alors quelques contrats avec le théâtre Krotkova en tant qu’actrice et diva. Elle commence petit à petit à détester la milice, en mémoire de son père et de son propre passé. Elle serait prête à lutter contre si on le lui proposait.
Dernière édition par Shaen le Lun 20 Juil 2020, 12:57, édité 36 fois