CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé
- Type de RP : Normal
- Tour de jeu : Andy (Méttalus) - Metio (Sypho)
- Délai maximum d'attente de réponse : 2 semaines
- Sauts de tours : 2
- Autre : Rien

Une petite promenade s'impose. Je me promène dans la ville de New York, en s'en foutant clairement de ce que pensent les autres. Et si quelqu'un me juge juste car je suis un mutant, je n'hésite pas à lui montrer une lame que je fais dépasser de ma main pour lui montrer que s'il continue, il se fera buter. La plupart du temps, il se taira et je fais rentrer ce métal.

Du coup, je me suis habitué à tous ces cons qui veulent qu'on crève juste car on est différents. Vous avez intérêt à ne rien faire ni à moi ni à mes frères, têtes de nœud! Sinon, une tête tombe ou une gorge sera plantée!

Et c'est clairement ce qui s'est passé dans une ruelle. Assez isolé, avec quelques personnes. D'un coup, je vois quelque chose qui disparaît. Mais qu'est-ce qui se passe? Une illusion? Et je vois un mec qui commence à pointer un pistolet sur un autre mec, sûrement un frère mutant, et qui crie "Crève, sale mutant!" Sans hésiter une petite seconde, je fais sortir une lame de ma gorge, ce qui est envoyé à la nuque du mec au moment où il tire, ce qui fait qu'il le loupe de justesse avant de laisser tomber son pistolet. Je m'approche de lui et soudainement, il crache du sang avant de s'écrouler, mort, la lame à la nuque.

Je prends son pistolet en disant à ce mutant que je viens tout juste de sauver: "Je t'ai sauvé d'une mort certaine, mon frère." Et je commence à démanteler le pistolet pour bouffer la partie métallique.

Sypho faisait de grands yeux... Il vient... De voir... La mort de quelqu'un... D'un autre côté, on venait de lui sauver la vie. Le jeune mutant leva la tête en direction de son sauveur qui... Semblait manger le pistolet de l'homme assassiné. Il marmonna un bref " Merci. " mais, effrayé à l'idée que ses illusions puisse déranger, il tenta de s'enfuir dans une direction choisie au hasard.

Je le vois commencer à partir mais il se dirige vers une direction sur le côté, mais assez proche de moi. Je lui prends un bras avec ma main libre en lui disant: "Hé! Attends!" Ça a l'air brutal, mais ça va, je ne suis pas trop musclé non plus. Donc, ça ne lui fera pas mal. "Voyons, tu ne vas pas partir car tu as peur de ton propre pouvoir. C'est pas en fuyant que tu vas régler le problème, mon frère."

Sypho le regarda de haut en bas. Il avait peur, totalement, trop... Le monde commençait à se distordre, cédant au ténèbres. Transformant les gens en ombres et objets menaçant... C'était... L'illusion que Sypho n'aimait pas, mais vraiment pas. Car, même si elle ne présentait aucun danger physique, on pouvait ressentir la douleur dans le monde du jeune mutant. Il devait admettre que son interlocuteur avait raison, c'est pas en fuyant qu'il réglerait le problème.

Il me regarde de haut en bas, avec une immense peur. "Écoute, je peux t'aider à maîtriser ton pouvoir. Et aussi à te protéger des têtes de cons que constituent la LIRAH. Tu as l'air d'en avoir besoin. Je sais que c'est très difficile de maîtriser un pouvoir seul. C'est pour ça que je peux t'aider." Je ne l'aiderai pas à se battre, car avec un pouvoir pareil, ça ne lui donnera aucun avantage, mais il a besoin d'aide d'un autre mutant.

Le doute remplaça soudainement la peur, sans qu'il le laisse paraître : les alentours alternaient entre opacité et transparence. Et... Des chats ?! Il y avait des chats partout ! Tout virait vers une étrange couleur bleue  et on entendais une légère musique se jouer, comme une radio, dans un coin, bien cachée. Sypho se calma. " Hum... D'accord... Je suis désolé de ce qui se passe et de ce qui s'est passé. Et je dois admettre que je vois mal comment vous pouvez m'aider. "

Je comprends son doute. Entre le métal et l'illusion, le seul point commun est qu'il peut faire une illusion de métal, mais bon, il ne sera pas seul. "Ne t'excuse pas, mon frère. C'est pas ta faute si tu as du mal à maîtriser ton pouvoir. Mais sache que tu n'es pas le seul mutant à être haï par les humains. Même si je ne pourrai pas t'aider, un autre frère mutant le pourra. Je fais partie de la Confrérie des Mutants."

"La confrérie" ... Un moment qu'il n'avait pas entendu ce nom, tout comme celui de l'institut d'ailleurs. La dernière fois qu'il l'avait entendu c'était avec... Oh... Il ferait mieux de ne pas donner le contexte. Il se sentait de retour dans une sorte de querelle entre deux amis, perdu, ne sachant plus qui croire. Il se rappela d'un détail important. " Très bien, c'est d'accord, mais ne m'emmener pas à votre refuge, je tiens à pouvoir changer d'avis et pas finir exterminé si je le quitte. "

Hein? La Confrérie extermine ceux qui la quittent? En même temps, je n'ai jamais pensé à la quitter, c'est un refuge de mutants et je me suis toujours senti bien. "D'accord, je vais appeler certains de mes frères pour qu'ils puissent s'occuper de toi. Et je vais leur prévenir de ta condition." Je prends mes téléphone, qui a un étui en tissu solide pour éviter que je le mange et j'appelle quelques uns de mes frères.

Il était beaucoup plus gentil que Sypho le pensait. Cela se vit dès que le ciel vira au bleu, que toute la ville parut plus ensoleillée, plus calme. Est-ce que tout ces arbres étaient là avant ? Peu importe, Sypho s'adressa à son interlocuteur : " Merci... Et... Comment vous vous appelez ? " C'était la base d'une discussion, Sypho s'en voulait de pas l'avoir demandé plus tôt, si bien qu'il se mit soudainement à pleuvoir. Il parti s'abriter par réflexe sous une devanture de magasin.

Je me rends compte peu à peu que le décor change assez rapidement. Illusion ou caprice du temps? Mystère. Après m'avoir posé la question, il se met à pleuvoir et nous nous abritons sous une devanture de magasin. Je vais me présenter, donc. "Appelle-moi Métallus. Et toi?" Je lui retourne la question, par politesse.