Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé : Caillou / Nicolas
- Tour de jeu : NA
- Délai maximum d'attente de réponse : 2J
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 2
- Autre :

Fédor devait se rendre à l'orphelinat pour y déposer l'enfant et l'argent. Et mettre un pied dans les comptes. Il n'aimait pas trop ce genre de mission mais il voulait pouvoir garantir à Roman que son argent été utilisé pour aider les plus faibles et rien d'autre.

Il arrive donc devant la planque avec le petit Boris avec lui. ce dernier est sage et sait qu'il va pouvoir vivre avec d'autres enfants comme lui et s’entraîner. Il sait aussi que son père pourra le visiter. Dans le pire des cas Fédor sera jamais loin. Il tient donc la main du géant et attend.

Fédor est vêtu de ses habits trop grands et de son long manteau rouge. Il frappe à la porte de la planque et espère ne pas attendre trop longtemps.

Fedor suit la femme. Silencieux il n'aime pas spécialement parler ... bien que les belles femmes réussissent généralement à le faire sortir de sa réserve. Et tout sujet concernant sa passion ou la cause. Cette femme n'est définitivement pas faîtes pour lui et il n'éprouve pas la moindre attirance. Il se contente donc de la suivre tranquillement et regarde un peu partout autour de lui afin de se faire sa propre idée.

"Je pense aussi." confirme le grand homme. Il sourit content d'avoir trouver une femme ayant un peu le sens des priorités. Celui des enfants en premier et de l'éducation avant le sang. "Moriarty a de la chance de vous avoir trouvé." ajoute tranquillement Fédor. "C'est un monde difficile ici bas et c'est rassurant de voir que les plus innocent sont protégés par une femme comme vous."

"L'éducation que vous leur donnez les protégera de la vie à l'extérieur." dit doucement Fédor. "Pour le reste il ya des homme comme moi." dit-il doucement. Il regarde la petite classe et sourit. C'est aussi ça qu'il est venu faire à Moscou. Protéger les faibles et pas seulement en faisant rempart de son corps si adapté à la violence.

Le grand homme regarde la femme qui semble s'esquiver... ou peut-être est-ce son imagination il n'est pas spécialement doué dans ce genre de jeu étrange. Il hausse donc les épaules et sourit une fois de plus. "J'en serais fort aise en effet." dit-il en cherchant en lui les phrases les plus ampoulés qu'il connaisse... lui le paysan et guerrier venant de la Sibérie.

Fedor acquiesce et récupère le livre de comptes. Il va s'assoir avec précaution sur la chaise derrière le bureau de la maîtresse des lieux et commence à compulser les comptes. Sur qu'il n'y a pas beaucoup d'argent injecté ici. Heureusement tout cela va changer et il en ait heureux. Il la regarde de temps à autre s'occuper des enfants.

Fédor reste penché et concentré sur les comptes. Mais note combien Iekatarina est une bonne enseignante. Amusant sa façon de remettre à sa place silencieusement cette jeune fille qui rosit avec innocence en le regardant. Fédro sourit et se dit que la LR fait au moins une chose bien ... cet orphelinat ici. Il passerait bien plus de temps tranquille et serein dans ce lieu où la paix règne. Mais c'est un guerrier, et les combattants sont fait pour combattre et se sacrifier pour que d'autre puisse vivre sereinement.

"Très." dit simplement le géant qui a observé la scène avec attention. Il a une idée plutôt positive sur tout cet orphelinat si on excepte le fait que la dame en charge ne fasse pas l'instruction des métamorphoses. Dommage de ne pas avoir choisit quelqu'un qui puisse le faire.

"Vous m'en voyez ravie." La veuve s'autorisa un hochement de tête et s'écarta pour laisser son interlocuteur se lever si nécessaire. "Désirez-vous autre chose ?"

"C'est entendu. C'est moi qui vous remercie, et les enfants avec moi." La veuve récupéra doucement le livre. "Pour des raisons évidentes... puis-je vous demander de ne pas mentionner mon identité auprès de votre bienfaiteur ?"

"Et vice-versa." dit simplement Fédor en prenant la direction de la sortie. "Bon chance petit... fait pas de bêtise." dit-il en direction de Boris. Son dos est large, il est immense et visiblement capable de porter le monde sur ses épaules solides. "Bon courage madame."

"Cela va de soi." Elle laissa le géant s'éloigner, répondant à son salut par un sobre "A vous aussi." Don providentiel... démoniaque... don ou pas don, rien n'était encore là et il fallait s'occuper des jeunes démons sous sa garde.