Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : Privé. Nicolas (Fédor) / Néro (Roman)
- Tour de jeu : N/A
- Délai maximum d'attente de réponse : 1 Jour.
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 1.
- Autre : Rythme express.

L'Hotel Vorontsov est vraiment dans l'un des plus haut quartier du cœur de la cité. Le petit groupe a croisé sur sa route des dizaines et des dizaines de grandes et belles riche demeure. C'est devant un grand portail en fer forgé à double battant, marqué de magnifique armoiries, qu'ils s’arrêtent. A peine sont ils arrivé qu'une cohorte de serviteur ouvrent le portail et les accueillent, certains s'occupant immédiatement des chiens, d'autre du gibier abattu durant la chasse, et d'autre conduisent les chevaux et leur cavalier le long d'une grande allée jusqu'à la cour d'une grande écurie, adjacente à une majestueuse bâtisse, très large et sur au moins trois ou quatre étages à première vue, dans l'architecture russe typique du cœur mondain de la capitale.
Il y a nombre de voiture sous des porches, et beaucoup de stalle à chevaux, certaines vides et d'autre habité par de superbe monture. C'est ici que les trois nobles descendent enfin de cheval. Le grand blond confie son lévrier blessé à un homme d'une cinquantaine année, sans doute un serviteur, même s'ils sont tous très bien habillés ici. Il lui donne plusieurs consigne quand à la surveillance de l'animal souffrant. 
Un autre homme, mieux habillé que les autres, un majordome visiblement, vient à leur rencontre. Le jeune noble indique à celui-ci d'autre consigne ; s'occuper de leur invité, faire venir un médecin. Le majordome acquiesce de la tête et s'en retourne vers d'autres serviteurs transmettre la volonté de leur maître.
Rapidement, le géant au cheveux blanc est entouré d'un groupe de page qui le convie à les suivre dans la demeure, les trois nobles s'y dirigeant également, simplement accompagné par le majordome eux.

"Les enfants ne devraient pas être les victimes de chose qui les dépasse, c'est certain..." Le prince à l'air soucieux de ce fait que lui rapporte le géant.

"Les enfants sont les premières victimes. Les plus faibles sont les premiers à tomber dans les guerres." dit Fédor le regard d'acier. Il ne ment pas ou c'est un très bon menteur... meilleur que beaucoup d'aristrocrate... peu probable. "Ils ne savent que le danger les guettent, ils ne se rendent pas compte."

"Je le fais en tout cas." Il montre sa blessure. "Le prix du sang une fois de plus." Il regarde l'homme puissant "Je pourrais vous transmettre ce qui manque en matière de logistique... vous pourriez jeter un œil et décider si cela à du sens à vos yeux et peut-être investir"

"Vous pourrez..." Mais reste à savoir comment, et c'est en cela qu'il est en pleine réflexion.

Fédor scrute le noble en pleine réflexion. Pour lui les choses sont simples, mais pour lui tout doit être plus compliqué qu'il ne l'imagine. Patient il boit son vin doucement profitant de cet alcool qui déguste rarement.

"C'est une bonne idée." confirme le grand homme. "Vous avez de beaux chiens autant en prendre soin." Fédor se dit que finalement cette rencontre fortuite pourrait bien tourner en faveur de la cause zootrope. "Il est important de garder les gens ayant une même... passion, proche des uns des autres. L'échange des connaissances profite à tout le monde."

"Je comprends, je suis comme vous. Moi c'est la médecine qui me passionne." explique tranquillement Fédor. Il n'a pas l'air de plaisanter en plus. "J'ai des notions de médecine orientale assez avancées... mais j'aimerais les enrichir du savoir occidentale."

"Si vous vous montrez à la hauteur avec mon chenil, peut-être pourrais-je trouver un médecin qui serait enclin à vous en enseigner quelques peu." Répond le jeune noble devant la passion du géant.

"C'est un échange de bons procédés intéressant en effet." confirme Fédor visiblement satisfait de cette discussion avec le noble. décidément les nobles lui réussissent en ce moment... qu'il soit très puissant ou déchu.