Rappel du premier message :

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé
- Délai maximum d'attente de réponse : Le temps qu'il faudra
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 0
- Autre : ça va fumer grave par ici

Je m'ennuyais dans ma chambre. En fait j'était cloitré dedans car les grands étaient en réunion et ne voulait pas que je casse un truc, même si ce n'était pas de ma faute. Et Orine était en cours donc elle ne pouvait pas jouer avec moi. En bref, c'était l'ennui total dans ma chambre. Enfin j'entendis des voix à l'extérieur, signe que c'était finis. Je pouvais sortir et je ne m'en privais pas. En fait je courus jusqu'au salon pour regarder la télé, mais ma poisse légendaire me suivit et sur le trajet entre ma chambre et le salon (50 mètres tout au plus), un habitant cassa un vase, trop hideux à mon goût, un autre glissa sur une flaque invisible tandis qu'un autre se payais la chambranle de la porte de la cuisine en pleine figure. Mais bien sur personne ne me dis rien, tous sachant que je n'y pouvais rien. M'installant sur le tapis du salon, j'allumais la télé et la regardais avant de perdre contact avec la réalité.

Miew..Allez, allons chercher des jambes à qui demander des caresses. Avant on s'étire comme le chat que je suis et en avant. Tiens, c'est quoi tout ce bazar, c'est très bizarre je trouve. Bon cela sont occupés, passons. A bah en fait personne ne semble libre, bon ba on va dormir. Alors qu'est ce que je n'ai pas encore testé moi, tiens tentons le lustre. Hop sur la bibliothèque, hop en haut et zou on saute, en plein dedans. On se blottit et zzzzzzz

Spoiler:

Je vis qu'elle commençait à avoir mal à la tête et culpabilisa. C'était de ma faute tout ça. Je me levais et vins lui faire un calin On arrête là, c'est pas grave si je n'ai que deux fautes. Merci en tout cas de m'avoir aider. Et puis je sais que je ne trouverais pas mes erreurs car ça m'énerve. Faisons autre chose, cela suffit pour le moment. Je lui sourit doucement, espérant qu'elle voudra bien qu'on passe à autre chose. Ronron, j'ai trouvé des genoux, chouette ça. Si en plus elle me caresse dans le sens du poil, je serais au paradis

Je la serrais contre moi en me demandant comment on avait pu laisser comme ça une jeune fille aussi intelligente, et me rangeais de son côté, naturellement, il était normal qu'elle fasse des erreurs, n'était-ce pas comme cela aussi que l'on apprenait, j'acquiesçais à sa proposition et croquer dans un cookie tout en la gardant contre moi. Puis me dit que non, ce n'était pas un repas sérieux! Je lui proposais aussitôt d'aller se faire une pizza, lui proposant celle avec du poisson, connaissant son autre moi.

Je la suivais alors qu'elle avait repris son autre personnalité. "Je suppose que je dois demander un supplément d'anchois?" Je ris doucement, et ma silhouette se flouta quelques secondes, alors que je commandais, habituée.

Je l'observais et allais préparer son peignoir, qui, amusant, était d'un vert pâle avec une capuche... ornée d'oreille de chat! Je le déposais pas loin, pour que, quand elle se "réveille", elle puisse se changer rapidement. Ça me laissait une petite demi-heure avant que la commande arrive. Je nous préparais nos panier repas pour le lendemain matin, histoire que plus rien ne reste à faire.

Je la regardais s'affairer depuis mon évier avant de sauter sur le sol et venir me coller à ses jambes pour lui réclamer des calins. Et si possible un peu de nourriture qui "tomberait" du panier. On peut toujours rêver, non ? Arg pourquoi je suis trempée moi et à quatre pattes. Je me relevais avant de me déshabiller entièrement pour enfiler mon peignoir qui trainait par là, je ne sais pourquoi. Le refermant, je mis ma capuche sur le tête et regardais Orine Tu fais quoi. On mange quoi au fait

Je caressais ses cheveux, doucement, comme le chat qu'elle était à cet instant. Il faudrait que je lui trouve un pédopsychiatre. Dans l'institut. Car j'étais persuadée que son don et le chat était lié. "Des pizzas. Au saumon, aux anchois et une végétarienne, et j'ai commandé des tiramisus en dessert. Je préparais la table. Nous n'avions que le minimum dans la chambre, mais mon âge et mon travail m'avait permis de l'avoir, au lieu d'un dortoir, donc j'étais loin d'être à plaindre.

Je souris avant de l'aider à mettre la table tout en sautillant de joie. Miam des pizzas, on va se régaler je suis sûre. En fait, je me dépêchais de mettre la table avant que ma poisse revienne pour ne rien casser. Elle arrive dans combien de temps lui demandais je une fois que la table fus mise et que j'était installé.

Mon téléphone sonna en réponse à sa question, je la laissais quelques minutes et aller chercher le repas, en 5 minutes, j'étais revenue, les pizzas commençant à réchauffer sérieusement mes avant bras.

J'attendis qu'elle revienne, en profitant pour me concentrer pour maintenir ma poisse sous contrôle. Mais dès qu'elle revint, je cessais et me dressa sur ma chaise pour voir les pizzas, impatiente qu'elle soit coupé et qu'une part soit dans mon assiette. Dès que cela fut le cas, je m'attaquais à ma part au saumon, savourant

Je grignotais aussi, m'endormant plus que cela sur ma part, bien que j'eusse fait une sieste un peu plus tôt... Mais je pris quand même la peine de servir le dessert, tout en buvant un grand verre d'eau. "Si tu as un problème demain, n'oublie pas, tu peux m'appeler à n'importe quel moment.

J'arrivais après le carnage. Et je me contentais de la prendre contre moi et de la serrer doucement. Je sentais sa détresse, et je ne pouvais rien y faire. Pourtant tout avait été réparé, le pire avait été à nouveau hésité. "Tout ira bien. Tu as réussi à la tenir à distance, non? Il suffira juste que maintenant, quand tu la mets de côté, tu apprennes juste à la faire disparaitre."

Orine m'avais trouvé dans ma cachette secrète. C'est là que je me réfugiais tout le temps quand je voulais fuir mes catastrophes dans la maison. Elle savait que je serais ici, une chance sur deux. Je la laissais me prendre dans ses bras tout en continuant de sangloter. J'ai réussi à la contenir mais après elle explose tout. Et puis je la retenait juste, elle n'était pas loin. Je ne peut pas l'annuler, c'est impossible. J'aimerais tellement ne pas être née, cela aurait évité des soucis à tout le monde.

Je ris doucement, provocant un émule dans mes molécules "Et de qui me serais-je occupée? Qui m'aurait fait autant rire sans avoir peur des mes explosions? Qui m'aurait donné envie de me battre? Et puis, tu es beaucoup pour moi, avec ou sans ta malchance car c'est une grosse chance pour moi que de t'avoir rencontrée. Tu es si gentille, douce, intelligente. Tu y arriveras."

Mais je n'arrête pas de blesser ceux qui m'entoure. Tu es la seule à ne pas être touché. Tout les autres ont peur de moi, comment je peut me faire des amis dans ses conditions. Tu crois que je me suis amusée aujourd'hui enfermé dans ma chambre car les grands avait peur que je casse un truc d'important. Et puis tu aurais trouvé d'autre personne à chouchouter, j'ne suis sûre. Oui j'était au fond du trou.

Je m'installais face à elle et me laisser aller. C'était facile. Il suffisait de penser à elle, et à la tête des personnes qu'elle croisait lorsque son "don" s'activait. De la surprise, mais pas de méchanceté. Je n'étais pas la seule à le prendre à l'humour, même si beaucoup craignaient ses...farces? D'autre n'aller pas vers elle car... c'était aussi elle qui fuyait. Pourtant, elle gagnait à être connue. Voila, j'y étais, souriante, j'explosais. Je devais toujours être maussade, pour être acceptée, ou juste être là...

Je la regardais en silence avant d'éclater de rire en la voyant exploser. C'est vrai que je m'apitoyait sur son sort mais elle devait être toujours de mauvaises humeurs alors que moi je pouvais rire si je le voulais. Comme l'embêter, j'allais lui taper dedans, enfin dans les morceaux d'elle qui passait à ma portée, les envoyant ballader plus loin. Pardon

Je m'éparpillais un peu plus, mais au moins, je n'avais plus la sensation effrayante du début: celle de ne jamais pouvoir me "consolider". Je mis du temps à me recomposer, car j'étais heureuse de l'avoir fait rire. Cela faisait comme un nuage qui se baladait en une vague légère. Je finis néanmoins par y arriver, et j'étais assise à nouveau face à elle. "Ici, on a tous quelque chose à apprivoiser."

J'hochais la tête en lui souriant. On devrait lancer un concours de celui qui a la pire mutation. Ca pourrait être drôle, tu en penses quoi. Je me levais et m'étirait doucement, lui tendant doucement la main Les pizzas vont être froides je crois.

Spoiler:

Je rattachais mes cheveux, qui avaient été plus long que mon élastique pour se reformer, à croire que tout ce qui était en contact avec moi se démoculariser aussi. Puis, souriant à sa question, je répondis "Je ne veux pas le voir comme une malédiction... C'est une partie de moi, comme ma voix ou mes cheveux. Je suis persuadée que c'est juste une question d'apprentissage." Je lui pris la main et nous retournions dans notre chambre.

Je rentrais avec elle, ruminant un peu son refus de mon idée de concours. Mais dans le fond elle avait raison il est vrai, je ne devais pas prendre ça comme une malédiction, il fallait juste que je le maitrise, rien de plus. Je sautillais jsuqu'à la chambre ou là je me servis une nouvelle part de pizza avant de l'engoufrer dans ma bouche, même si elle était froide.

Nous finissions ainsi notre soirée, comme tant d'autre semblable, mais je savais que nous avions fait un grand pas en avant. Il ne nous restait plus qu'à continuer à rattraper. Il y avait aussi les promesses que je lui avais faite et que je comptais bien tenir. Mais là, je désirais juste mon lit.... Je pris soin avant de ce petit chat noir, l'aidant à se mettre au lit, avant de rejoindre le mien, y sombrant dès que ma joue toucha l'oreiller...[FIN DU RP]