En ligneRappel du premier message :
- Statut du RP : privé /cherche un partenaire RP / ouvert aux incrustations (demandé par MP au préalable) / ouvert aux incrustations surprises (nombre d'incrustations max)
- Tour de jeu : Moi / Siparti / Moi / Siparti / Alyaa ? (oui je suis tenace) / Moi / Siparti
- Délai maximum d'attente de réponse : 7 jours max.
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : Deux tours.
- Autre : RP Flashback de 11 ans, Dalton a donc 13 ans et Boa 22, cela fait à peine quelques années qu'elle fait partie de la Confrérie et le p'tit n'a pas encore été recruté. Mais ça ne saurait tarder.
En sortant de son couvent, Thérèse avait découvert le monde. La ville avait été source d'angoisse pour elle, aussi bien pour l'aspect humain que pour l'atmosphère, les technologies, et la taille. Au début, on l'avait forcée à y aller - affronter ses peurs, tout ça. Aujourd'hui, elle y voyait quelques plaisirs, comme profiter d'un petit parc dans un des quartiers excentrés. Une fine pluie printanière tombait. Elle avait pu acheter un beignet chaud à un vendeur qui, malgré ses loupes, ne voyait rien, et la mutante flânait sous un parapluie rouge, croquant à pleines dents dans la pâtisserie.
Malgré tout ce qu'elle avait appris, quelques minuscules restes de son éducation catholique subsistaient. À chaque fois qu'ils resurgissaient, elle s'en mordait les doigts. Aussi, lorsqu'elle vit une jeune femme assise sur un banc, la tête basse, trempée, et visiblement en train de pleurer, une de ces pulsions de charité chrétienne l'avait prise. Thérèse s'était approchée, lui avait demandé si tout allait bien, et l'humaine lui avait calmement répondu :
« AAAAAAAHHHHH UN SERPEEEEENT ! »
L'idiote était tombée par terre et rampait dans la boue. Évidemment, Boa et sa charité chrétienne étaient tombées sur une ophiophobe qui criait désormais au secours. La mutante se contenta de pousser un gros soupir agacé, et de continuer son chemin, comme s'il ne s'était rien passé. Un coup de langue pour lécher le sucre sur ses lèvres lui révéla une odeur particulière - or, elle savait désormais que si les humains avaient tous la même odeur, les mutants avaient tous une odeur qui leur était propre.
CONTRAT DE NOT'RP !
- Statut du RP : privé /
- Tour de jeu : Moi / Siparti / Moi / Siparti / Alyaa ? (oui je suis tenace) / Moi / Siparti
- Délai maximum d'attente de réponse : 7 jours max.
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : Deux tours.
- Autre : RP Flashback de 11 ans, Dalton a donc 13 ans et Boa 22, cela fait à peine quelques années qu'elle fait partie de la Confrérie et le p'tit n'a pas encore été recruté. Mais ça ne saurait tarder.
En sortant de son couvent, Thérèse avait découvert le monde. La ville avait été source d'angoisse pour elle, aussi bien pour l'aspect humain que pour l'atmosphère, les technologies, et la taille. Au début, on l'avait forcée à y aller - affronter ses peurs, tout ça. Aujourd'hui, elle y voyait quelques plaisirs, comme profiter d'un petit parc dans un des quartiers excentrés. Une fine pluie printanière tombait. Elle avait pu acheter un beignet chaud à un vendeur qui, malgré ses loupes, ne voyait rien, et la mutante flânait sous un parapluie rouge, croquant à pleines dents dans la pâtisserie.
Malgré tout ce qu'elle avait appris, quelques minuscules restes de son éducation catholique subsistaient. À chaque fois qu'ils resurgissaient, elle s'en mordait les doigts. Aussi, lorsqu'elle vit une jeune femme assise sur un banc, la tête basse, trempée, et visiblement en train de pleurer, une de ces pulsions de charité chrétienne l'avait prise. Thérèse s'était approchée, lui avait demandé si tout allait bien, et l'humaine lui avait calmement répondu :
« AAAAAAAHHHHH UN SERPEEEEENT ! »
L'idiote était tombée par terre et rampait dans la boue. Évidemment, Boa et sa charité chrétienne étaient tombées sur une ophiophobe qui criait désormais au secours. La mutante se contenta de pousser un gros soupir agacé, et de continuer son chemin, comme s'il ne s'était rien passé. Un coup de langue pour lécher le sucre sur ses lèvres lui révéla une odeur particulière - or, elle savait désormais que si les humains avaient tous la même odeur, les mutants avaient tous une odeur qui leur était propre.
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