CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : Incrustations possibles, à voir par Mp comment s'insérer !
- Tour de jeu : Sunny, Djerou, Ata' ~
- Délai maximum d'attente de réponse : Une semaine sans nouvelles.
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : Disons deux ?
- Autre : Have fun o/

    Joy lâcha le micro, avec un grand sourire. La pression redescendait doucement, laissant place à l'euphorie. Son travail avait payé, sa partie était une réussite. Elle allait pouvoir profiter du reste du festival à présent.
C'était une telle chance pour elle de se produire ici ! La scène avait été montée dans Central Park, pour de très nombreux artistes, et elle avait pu en être ! Et maintenant, à voir cette foule déchaînée face à elle, elle avait le sentiment que rien ne pouvait l'arrêter. Elle sentait battre son cœur, vite, en rythme avec la sono, et elle savait que tout le monde aux alentours vibraient de la même manière qu'elle.

Puis, du haut de la scène où elle se situait, elle aperçut une masse de personnes affluer vers eux. Elle n'y aurait pas prêté attention, s'ils n'étaient pas en train de vociférer en portant des banderoles. Elle plissa les yeux et supposa qu'il s'agissait d'anti-mutants. *Comme s'il n'y avait pas assez de monde ici ... Bordel, ils pouvaient pas aller faire ça ailleurs ?!* Elle vit alors quelques mutants s'élever dans les airs, d'autres se transformer et bondir dans leur direction. C'est lorsqu'elle distingua d'autres silhouettes arriver en renfort qu'elle comprit l'ampleur de la catastrophe à venir.

« ... Et merde. »

Je saute le premier, vérifiant à droite et à gauche tandis que les groupes B et C partent de chaque coté de la scène. Phil et Coolson descendent en derniers par sécurité, leurs fusils de précision chargés et parés. Ils se mettent en position de part et d'autre du Faucon avant que celui-ci redécolle, allégé des neuf hommes de l'équipe deux. Je m'approche de la gamine en face de moi. Il faut évacuer mademoiselle. La police à sécurisé la zone et on peut éviter la zone des combats en contournant le festival...

Phil Coolson:

Aïe. Migraine. Merde. Aïe. Respire. Ben voilà, voilà ce que ça donne, de forcer la dose. Elle laissa tomber la guitare, de toute manière le matos serait irrécupérable, et se dirigea vers la sortie ouest. Elle se sentait un peu mieux en marchant. Elle se fraya un chemin parmi la foule qui ne rêvait que de sortir de là. Essayant de contourner un peu les zones à risque, elle aperçut le militaire de tout à l'heure. Avant d'avoir pu détourner la tête, elle croisa son regard.

Tout s'enchaîna trop vite. Un hurlement, une menace, la peur, un choc. Avant même d'avoir pu comprendre d'où venait le danger, elle se retrouva plaquée contre un torse et entraînée vers le sol. Une vive douleur l'atteignit à la tête. Elle eut la vague sentiment d'entendre une explosion avant de sombrer dans l'inconscience ...

Anson avait espéré que la grenade ne soit pas tombé près d'eux et il était prêt à écouter la chanteuse lui crier dessus. Il réalisa très rapidement que son vœux ne s'était pas exaucé, car après le son de l'explosion son monde n'était que de douleur et intense chaleur. Anson su que quelque chose était arrivé à ses jambes et son dos, car juste avant de perdre connaissance la douleur venait de cet endroit. La seule chose qu'il souhaitait était que Joy ne soit pas touché. (La suivant sur twitter Anson connaissait son nom)

Tout est flou. Tout est noir. Tout est silencieux. Tout est bourdonnant.

Elle n'avait pas la force de penser.

Joy ouvrit les yeux. Puis les referma aussitôt. Trop de lumière. Sa tête lui faisait un mal de chien et elle sentait qu'elle était en mouvement. Elle bougea un peu et se laissa faire, le temps de retrouver ses esprits.

Le médecin lève la tête du gars charcuté en souriant. Il a pas besoin de moi celui-la. Nettoyez ces blessures, enlevez tout les éclats et mettez lui des bandages. C'est un régénérant. Bon, une bonne nouvelle de plus. Je lui envoie le suivant tandis qu'on déplace le gars vers un endroit plus propice à notre travail. Une fois qu'on a finit, je m'occupe personnellement de l’amener dans le dortoir, à coté de sa copine. Je les laisse se réveiller ensemble et je file m'occuper des autres.