Rappel du premier message :
Les petits oiseaux gazouillent, le soleil brille, la rouille des voitures abandonnées scintille. Dans la ville abandonnée, le seul souffle qui se fait sentir est celui du vent frais du printemps survolant les véhicules éparpillés dans les rues, les plantes folles envahissant l'endroit... Enfin, c'était le cas ce matin. Cette sérénité connut une mort brutale alors qu'une géante à moitié nue, sortie d'elle-même ne savait où, s'échinait à arracher une porte tordue de supérette de ses gongs. Elle y parvint non sans un cri de surprise et plusieurs éraflures, avant de s'engouffrer à l'intérieur avec précipitation.
Après un vacarme de vandalisme, le-dit spécimen humain de sexe indubitablement féminin en ressortit, du chocolat plein la figure. Très grande, musclée, une crinière pâle dans le dos, et ne portant pour seul vêtement qu'un t-shirt taille XXXXXL (le pantalon avait été perdu en chemin, beaucoup trop grand soudainement), une Aristée nouvellement femme leva un visage ravi vers le siècle s'assombrissant, dont commençaient à tomber de timide goutte.
Et puis, sans autre avertissement, ce fut l'averse.
Prise par surprise, bien vite grelottante, Aristée souleva une voiture proche pour en placer le nez sur une autre, se créant un abris de fortune contre la pluie torrentielle - quoi ? Les bâtiments environnant ? Elle ne voyait pas à cinq mètres ! -. La géante s'y recroquevilla, trempée, seule et frigorifiée. Une étrange chanson rivalisa bientôt - gâtée par la nature question puissance vocale - avec la clameur des flots tombant du ciel.
"LE FEU BRÛLE, LE VENT SOUFFLE, LA PLUIE MOUILLE..."
Les petits oiseaux gazouillent, le soleil brille, la rouille des voitures abandonnées scintille. Dans la ville abandonnée, le seul souffle qui se fait sentir est celui du vent frais du printemps survolant les véhicules éparpillés dans les rues, les plantes folles envahissant l'endroit... Enfin, c'était le cas ce matin. Cette sérénité connut une mort brutale alors qu'une géante à moitié nue, sortie d'elle-même ne savait où, s'échinait à arracher une porte tordue de supérette de ses gongs. Elle y parvint non sans un cri de surprise et plusieurs éraflures, avant de s'engouffrer à l'intérieur avec précipitation.
Après un vacarme de vandalisme, le-dit spécimen humain de sexe indubitablement féminin en ressortit, du chocolat plein la figure. Très grande, musclée, une crinière pâle dans le dos, et ne portant pour seul vêtement qu'un t-shirt taille XXXXXL (le pantalon avait été perdu en chemin, beaucoup trop grand soudainement), une Aristée nouvellement femme leva un visage ravi vers le siècle s'assombrissant, dont commençaient à tomber de timide goutte.
Et puis, sans autre avertissement, ce fut l'averse.
Prise par surprise, bien vite grelottante, Aristée souleva une voiture proche pour en placer le nez sur une autre, se créant un abris de fortune contre la pluie torrentielle - quoi ? Les bâtiments environnant ? Elle ne voyait pas à cinq mètres ! -. La géante s'y recroquevilla, trempée, seule et frigorifiée. Une étrange chanson rivalisa bientôt - gâtée par la nature question puissance vocale - avec la clameur des flots tombant du ciel.
"LE FEU BRÛLE, LE VENT SOUFFLE, LA PLUIE MOUILLE..."