Nano. RolePlay

CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : privé
- Tour de jeu : /
- Délai maximum d'attente de réponse : 20160 minutes (allez je suis gentil : 14 jours)
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : /
- Autre : /

Lundi matin, j'avale mon café, laissant le liquide chaud me réveiller... Bref un lundi matin comme tous les autres. Prochaine étape: La visite aux augmentés ; le dernier est décédé hier, ce n'est pas nécessaire donc de s'en préoccuper finalement.
J'enfile une blouse noire et je consulte le reste de mon agenda : rien de prévu pour aujourd'hui sauf une visite ce soir au chef de la division scientifique, un vieux chauve avec une barbe... Pas possible qu'il soit humain celui-là, mais bon, on ne m'a pas encore laisser le recruter comme assistant.
On frappe à la porte, ils savent pourtant que je déteste que l'on me dérange le matin.
Entrez! Et pour l'amour de Dieu arrêtez de toquer à la porte!
Je bascule la tête en arrière tandis que la porte s'ouvre pour voir quel assistant je devrais récompenser, avant d'apercevoir une demoiselle, enfin il me le semble la tête à l'envers.
Qui êtes-vous? Je ne vous ai jamais vu ici? Vous êtes une de mes nouvelles volontaires?

Lundi matin après une nuit blanche à traquer un putain de zootrope. Voila que je doive maintenant servir de postier. Je frappa durement la porte que l'on m'avait indiquée pour donner le zootrope à un de ces satanés scientifiques. Je jeta le prisonnier ensanglanté par terre avant d'allumer une cigarette et de fixer l'homme de son regard d'acier.

- Elisabeth Dersellmann. Une volontaire ? Laissez moi rire. Voici votre nouvel assistant. Vous avez interdiction de le tuer, il est plutôt bon et vous aidera dans vos recherches.

Ps : c'est un test. C'est bon, désolée, j'ai dépassé de trois mots ><

Étonnante cette femme, il fallait du cran pour me parler comme ça. Je tâtais du pied mon nouvel assistant d'après ses dires. Vu l'état de la viande, je doutai qu'il puisse me servir à quelque chose. John, je travaille à la section scientifique... Cependant, je ne pense pas que cette chose puisse me servir à quelque chose, sauf peut-être pour mes essais d'amélioration.Vous par contre, vous feriez une assistante de premier ordre! Je défroissai ma tenue et lui fis un grand sourire.

- Cette chose vous servira, c'est un ordre d'en haut. Et pas en tant qu'un "essai d'amélioration". Une assistante ? Comment osez vous me parler comme cela.. ? Il se pourrait bien que si ce nouvel "assistant" mourrait, que vous disparaissiez mystérieusement ou que vous soyez pendu pour l'utilisation de personnes non-ennemies pour vos expériences.

Je le fixais de mon regard d'acier tandis que je voilais à peine mes menaces sous un ton neutre.

Vous n'avez pas peur de me menacer dans mon propre laboratoire? Qui que vous soyez, quelque soit celui qui vous a donné des ordres, la décision finale m'appartient. Si je dis que ceci n'est qu'un déchet, c'est le cas.Je sifflai un de mes assistants pour que le corps soit retiré de la pièce.Puis-je voir votre ordre de mission mademoiselle?  J'aimerais comprendre en quoi cette chose peut-être utile. Je faisais face à cette femme dangereuse, sentant le poids de mon holster contre mon bras.

- Non, absolument pas. Ecoutez, je n'ai qu'une envie, c'est de rentrer chez moi alors finissons en vite. La décision finale ? Qui vous finance et vous donne des assistants de des zootropes à votre avis ? Bon.

Je suivais des yeux le corps se faisant emmener avant de tendre l'ordre de mission d'un bout pour n'avoir aucun contact avec lui, continuant de fumer et soupirant.

Je sens une certaine défiance dans votre voix. Si vous partez, je ne vous retiens pas mais si j'étais vous, je resterais un peu, ce n'est pas souvent qu'on vous laisse venir à la section scientifique je suppose. J'essayais de me montrer le plus rassurant possible n'ayant aucune envie d'avoir des problèmes de nettoyage ni avec la direction. J'avais déjà épuisé mon quota d'agents et mes progrès n'étaient pas suffisants pour me permettre de jouer ainsi.

- Une défiance ? Absolument pas. Même si on me laissait venir plus souvent ici, je n'y viendrais pas. Si vous pouviez vous dépêcher de lire ce foutu papier que je puisse rentrer avec mes hommes. Si vous vous opposez aux ordres, je reprendrais le prisonnier et vous vous débrouillerez avec vos supérieurs.

Oh quoi qu'il advienne, je garde le prisonnier, ne vous inquiétez pas pour ça! Partez si cela vous chanteJe m'assis tranquillement sur ma chaise regardant cette drôle de femme à l'autre bout de la pièce.Et au fait, merci pour le paquet, j'aimerais vous dédommager pour le trajet mais vous si vous ne souhaitez pas passer plus de temps ici, je comprendrais.

- Nous ne voulons surtout pas qu'il ne meurt, voyez vous ? Me dédommager ? Et comment ?

La jeune femme croisa les bras sur sa poitrine, elle voulait rentrer chez elle et prendre un bain mais aussi accessoirement casser le nez du scientifique pour lui avoir parlé aussi mal. Elle se frotta doucement les cheveux avant d'ouvrir la porte et de donner deux trois ordres à un soldat attendant dehors.

Qu'a-t'il de si important pour vous pour que vous vouliez à tout prix qu'il vive? Maintenant, il ne relève plus de vos ordres, prenez un peu de repos! Pour ce qui est du dédommagement, vous devriez savoir que la section scientifique possède le meilleur matériel, que diriez vous de choisir quelque chose et de le prendre avec vous? J'adorais mon poste de scientifique pour une raison : la direction ne rechignait pas sur les moyens mis à ma disposition.

- Il serait capable de grandement faire avancer vos recherches. Une seule chose ? Laissez moi rire.

Je tournais doucement les talons, ouvrant la porte et la refermant derrière moi avant de soupirer et de m'étirer. Puis je sortis un petit carnet ou je gribouilla quelques notes avant d'avancer avec la ferme intention de rejoindre mes appartements de la base.

Cette femme avait du cran, c'était évident, j'hésitais à la rattraper, ne sachant que lui offrir. J'avisais une de mes petite merveilles, un automate et la rattrapais...Attendez! chose promise, chose due.
Je lui tendais la sphère mécanique de petite taille que constituait l'appareil, un léger sourire sur le visage, espérant qu'elle s'arrêterait et y trouerait une utilité.

Je m’arrêta avant de tourner la tête, un air visiblement ennuyé sur celle ci. Je regarda la sphère avant de lever un sourcil et de tendre la main pour la prendre, n'aillant toujours aucun contact physique avec lui. Je l'observa avant de le regarder.

- Es se que cela a une utilité quelconque ? ou un mode d'emploi ?

Je lâchais la sphère mécanique dans sa main un sourire au visage. C'est un automate que j'ai fabriqué, j'aimerais que vous l'essayez sur le terrain. Il y a un bouton rouge à son sommet, appuyez une première fois pour prendre une photo de la cible et une deuxième pour lancer l'appareil. Il décollera et ira abattre le suspect, et puisque vous y tenez tant, le robot est programmé pour tirer des fléchettes assommantes.

- Il est 100% fonctionnel ?

Je fit délicatement tourner la sphère dans ma main avant de la mettre en face de lui et d'appuyer sur le bouton avec un léger sourire.

- Parfait, merci.

Puis, reprenant mon air d'acier, je continua mon chemin.

Me prendriez vous pour un amateur?
Cette femme avait du cran, car il en fallait pour armer une arme contre son inventeur... Mais parfois, ce cran de transforme en bêtise et tandis que je la laissais partir, je mettais la main sur mon pistolet prêt a l abattre si elle tentait quoi que ce soit... Ce serait dommage pourtant, un si beau spécimen, quel gâchis, si elle venait à s en servir... Enfin chacun fait ses choix je suppose

- Je m'en doutait. Arrêtez de toucher a votre arme, sinon vous pourriez vous retrouvez a la morgue plus rapidement.

Je continuais d'avancer, rangeant l'automate et me dirigeant vers mes appartements.