Presente toi banane flambee
Prénom : Aizah
Age : 27 ans
Activités : Serveuse au chômage :>
Centres d'intérêts : Jeux-vidéos, littérature, RP
Où j'ai trouvé le forum : Je m'étais perdu ici y'a environs.... 8 ans ? *se sent vieille*
Un petit mot pour Nano. ? : Je suis toujours autant éblouie par le design du forum.
Activité à Prévoir : Pour l'instant, chômage partiel aidant, pas mal présente, par la suite, ce sera un peu plus lent.
Bonus : Elle est où, l'usine à cookie ?
Yuan Fen Ling
○ Prénom et Nom : Yuan Fen Ling
○ Age : 24 ans
○ Nationalité : Chinoise
○ Métier avant l'apocalypse : Étudiant en mythologie
○ Lieu de vie : Camp
○ Occupation : Eclaireur
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Ni grand, ni petit, je me situe entre les deux. Je trouve ça même plutôt pratique, surtout maintenant, puisque ça me permet de me faufiler un peu partout
- T’as des signes particuliers ? J'ai un grand tatouage dans le dos, mais je laisse rarement les gens le voir. En dehors des inspections sanitaires.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Bien que je soit maintenant coincé en Norvège, je tient à garder un style vestimentaire en tradition avec mon pays d'origine, la Chine. Aussi, je préfère les tuniques et les pantalons un peu ample, qui me donne aussi plus de liberté de mouvements.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? J'ai un pendentif avec une photo de ma petite soeur, resté au pays. Je ne sait pas ce qu'il lui est arrivé avec l'apocalypse etje prie régulièrement pour sa sécurité en regardant son souvenir.
Interview avec un zombie intello
- Tu parles norvégien, c'bon ? Et anglais ? Je parle les deux. J'étais en échange universitaire quand il y a eu l'apocalypse. J'avais donc commencé à étudier le norvégien. Je ne le parle pas parfaitement, mais j'arrive au moins à tenir une conversation simple. Et puis je continue d'apprendre tous les jours.
- Si tu te faisais mordre, tu le dirais aux autres ? Non, aucune chance. Je chercherais plutôt une solution dans mon coin pour pas devenir une de ces choses. Je n'ai pas peur de me faire amputer.
- Tu as 9 zombies face à toi et tu es tout seul. A droite, un ravin, à gauche, une vieille grange en ruine. Tu as une batte de baseball. Tu fais quoi ? Je serre les dents et je fracasse les crânes de ces morts-vivants. Il suffit juste d'être plus rapide qu'eux et de frapper dans le bon ordre.
- Tu dois choisir : tu sauves la mamie, l'enfant ou l'humanoïde super sexy qui te fait de l'œil ? Pas d'hésitation à avoir, je sauves le gars super sexy qui me fait de l'oeil.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Massacrer quelque zonzons, partir explorer et roupiller un bon coup.
- C'est la fin du monde ou tu crois qu'un jour, tout redeviendra comme avant les zombies ? Si on prend en compte le nombre d'humain vivant sur Terre, y'a très peu de chance d'arriver à exterminer tous les zombies pour revenir à la vie d'avant. On est juste dans la merde en fait.
Histoire (courte)
Yuan a eu une vie très simple. Premier né d'une famille de classe moyenne, il était le petit trésor à ses parents, toujours aux petits soins pour lui. Ils répondaient aux moindres de ses caprices, faisant de lui un véritable enfant-roi. Mais quand on a un gamin aussi intelligent, qui ramène toujours de bonnes notes de l'école, c'est pas grave de le gâter un trop, non ? Il était clairement le genre d'élève insupportable pour ses camarades : il fournissait peu voire même pas d'effort en classe et pourtant, il arrivait toujours à être dans les meilleurs. Y'en a qui ont juste des facilités à apprendre, c'est tout. Il n'en avait rien à faire des rageux, ils étaient toujours simplement jaloux de lui.
Cela dit, quand sa petite soeur est née, il changea de comportement. Il s'était transformer en un véritable grand-frère surprotecteur : il était hors de question que qui que ce soit s'approche d'elle ou n'ose même poser son regard. et c'était surtout valable pour les garçons.
Quoiqu'il en soit, brillant dans ses études, il vint choisir une voie qui en étonna plus d'un : l'histoire ancienne. Et il s'intéressait plus particulièrement aux vieille mythologies. C'est d'ailleurs ses études qui finirent par le mener en Norvège, afin d'étudier plus en profondeur la mythologie nordique. Il était même prévu qu'il aille en Suède par la suite, mais l'arrivé impromptu de l'apocalypse bouleversa quelque peu ses projets. Et c'est pour son plus grand malheur qui se retrouva coincé dans ce pays glacial, loin de sa soeur adorée.
Il dut néanmoins faire avec et s'adapter à la nouvelle situation. Débrouillard, il parvint à survivre, esquiver les zombies ou fracasser leur crâne quand c'était nécessaire. Il passa de groupe de survivant à un autre groupe de survivant, il avait vu de nombreux films et séries à ce sujet pour ne pas avoir envie de s'attarder trop longtemps au même endroit et avec les même gens. Et puis finalement, de fil en aiguille, il se retrouva là, à rejoindre ce camp. Il pensait tout d'abord faire comme avant, ne pas rester trop longtemps, puis force à force, il s'était vite habitué aux lieux et décida finalement de rester et de mettre la main à la pâte.
Diana Ivanovitch
○ Prénom et Nom : Diana Ivanovitch
○ Age : 26 ans
○ Race : Zootrope
○ Forme animale : Renard roux
○ Métier : Mécanicienne
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis pense être entre les deux, aux alentours du mètre soixante-dix. J'avoue ne pas faire très attention à ma taille.
- T’as des signes particuliers ? A moins d'avoir une tâche de naissance cachée quelque part, je n'ai rien de spécial.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : J'ai un faible pour les robes ouvertes sur le devant. Et je préfère les corsets qui n'écrase pas sauvagement ma poitrine.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? J'ai toujours des outils à la ceinture. Au cas où.
Interview avec le Tout-Puissant
- Tu pries tous les soirs ? Pourquoi je prierais un dieu qui veut nous exterminer ? Bon OK, ce n'est pas lui directement, mais l’Église. En vérité, oui, je prie très souvent.
- T’aimes les animaux ? Étant moi-même une zootrope, ce serait mentir que dire non. Mais Je ne m'entend pas avec toutes les espèces.
- Ton pire souvenir, c’est… ? La mort de ma mère... Difficile de s'en remettre quand vous la voyez se faire brûler jusqu'à ce que mort s'en suive.
- A quoi ressemble ton chez toi ? C'est un petit studio très... encombré, avec des outils et des plans qui traînent un peu partout, mais au moins, c'est chaleureux.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Métro, boulot, dodo. Simple, mais efficace.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? Je préfère ne pas imaginer une telle situation. Je tiens à la vie, voyez-vous.
Histoire (courte)
Les premières années de sa vie n'ont pas été très simple. Élevée seule par sa mère, la misère était son quotidien. Elle avait du mal à joindre les deux bouts et subvenir à leur besoin, mais malgré cela, elle estime avoir eu une enfance heureuse, entouré par l'amour de sa mère. Elle aurait pu vivre comme cela encore très longtemps, si son employeur, plutôt que de la licencier en bonne et due forme, n'avait pas décidé de la dénoncer à la milice. Cet homme, évidemment riche et influant, fit en sorte que sa mère se retrouve sur le bûcher, sans autre forme de procès. Cette vision, de sa mère disparaissant dans les flammes, restera à jamais gravé dans sa mémoire.
Prudente, sa mère s'était bien garder de répandre la nouvelle qu'elle avait un enfant et c'est ce qui lui épargna de la rejoindre tout de suite. Livrée à elle même pendant longtemps, elle se livra à des petits boulots, comme coursier ou cireuse de chaussure, luttant pour gagner une petite pièce qui lui permettrait de manger. Elle eut finalement la chance d'être adopté par une dame qui avait perdu son enfant et qui se révéla être elle aussi une zootrope.
Le reste des ses années avant de prendre son indépendance furent plus paisible, et appris notamment la mécanique avec son père adoptif. Puis lorsqu'elle fut finalement an âge, elle quitta le foyer pour se trouver son propre chez elle, tout en continuant de travailler à l'atelier de son père.
Kaylee Donovan
○ Prénom et Nom : Kaylee Donovan
○ Nom de code : Ignite
○ Age : 25 ans
○ Race : Mutant
○ Alignement : Prof Xavier
○ Métier : Elle n'a pas vraiment de métier, elle reste à l'institut du professeur, par choix, et aide les autres élèves comme elle le peut, généralement en donnant des cours de soutient.
○ Pouvoir : Pyrurgie - à l'inverse de la pyrokinésie qui permet simplement de manipuler le feu, Kaylee est elle, capable de le créer, en plus de pouvoir le manipuler. Elle peut embraser tout ce qu'elle touche et dans certaines conditions propices, l'air lui suffit pour créer ses flammes, la tâche étant rendu plus facile en ville grâce à la pollution. Sa portée de contrôle reste cependant assez limité, au delà d'une certaine distance ou si elle n'a plus un visuel direct sur les flammes, elle en perdra le contrôle. Dans le meilleur des cas, elles s'éteindront spontanément, dans le pire... il se répandra. De même, elle ne peut contrôler qu'une quantité limité de flammes. Maîtriser un petit incendie de cabane, facile, un incendie ravageant tout un immeuble, très compliqué.
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis un peu plus grande que la majorité, la dernière fois que je me suis mesurée, je faisais un mètre soixante-quinze. Je ne sais pas si ça a changé depuis.
- T’as des signes particuliers ? J'ai des traces de brûlures sur les mains et les bras, anciennes, que j’essaie de masquer.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Très classique, t-shirt et jean me conviennent parfaitement. Je ne cherche pas à me démarquer, bien au contraire, je préfère rester assez sobre.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? J'avais une bague autrefois, mais à cause de mon pouvoir... J'évite les bijoux maintenant ou les objets sentimentaux, de peur de les détruire.
Interview avec Fox News
- T'as Facebook ? Twitter ? Tumblr ? T'es geek ? Pas vraiment. J'utilise assez peu mon téléphone à cause de... Enfin j'évite quoi.
-Ta famille est cool et fonctionnelle ? Ils... J'ai coupé les ponts avec eux.
- C'est quoi tes passe-temps, dans la vie ? Je n'en ai pas. Triste à dire.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Aider les élèves dans leurs cours, passer du temps toute seule.
- Si tu pouvais passer dans le journal de 20h, qu'aurais-tu à dire ? Je suis désolée.
- Si tu pouvais devenir mutant (si t'es humain) ou humain (si t'es mutant), tu le ferais ? Oui, sans hésiter. Ce pouvoir m'empoisonne la vie, si je le pouvais, je m'en débarasserais sur le champ pour enfin vivre une vie normale.
Histoire (courte)
Mais ce ne fut que le premier jour des ennuis.
Si la première fois, cela avait pu être considéré comme un malheureux accident, une étrange coïncidence, la deuxième fois, cela devenait déjà un peu plus étrange. Et à la troisième fois, cela commençait à devenir une évidence. Je me souviens qu'après cette fois-là, quand j'ai bien failli mettre le feu à mon bureau à l'école, j'ai commencé à porter des gants, mais cela n'avait rien changé, le tissu prenait lui aussi feu et j'avais l'impression que la sueur de mes mains aggravés les conditions d'apparition du phénomène. Ce n'était peut-être qu'une impression, c'était peut-être juste moi qui était détraqué. Après cet incident, ne voulant tout d'abord pas croire à l'évidence, on m'avait accusé d'abord joué avec un briquet ou des allumettes, ils fouillèrent alors dans mes affaires pour trouver des preuves de mon méfaits, mais ne trouvèrent bien sûr rien du tout. Cela ne les empêcha pas pour autant de me punir et m'exclure plusieurs jours de l'école. J'étais alors désespérée, je ne savais pas quoi faire, j'avais peur de toucher à des objets, pire encore, j'avais peur de toucher les gens, si bien que j'avais finis par me renfermer sur moi-même, je restais, la plupart du temps, seul dans le jardin, au milieu d'un carré de terre, là où je ne pourrais rien faire brûler.
Cependant, j'étais loin d'être au bout de mes peines.
L'évènement majeur, mais aussi le plus traumatisant pour moi, arriva en plein milieu de la nuit. Je me souviens encore du cauchemar qui m'avait secoué cette nuit-là. J'étais au milieu de la ville et tout brûlait autour de moi, j'étais impuissante, démunie, pire même, on m'accusait d'être à l'origine de ce grand incendie. Je clamais haut et fort mon innocence, mais personne ne voulait me croire. J'étais devenue la bête noire à abattre. Je me souviens alors du grand cri que j'avais poussé. Qui se répercuta aussi dans la réalité, accompagné d'une grande explosion. Submergée par mes émotions, j'avais perdu le peu de contrôle que j'avais sur mon pouvoir et paniqué par mon cri, mes parents s'étaient précipités dans ma chambre, en proie aux flammes. Et moi j'étais là, au milieu, en pleurs à ne pas savoir quoi faire pour tout arrêter. Ce jour-là, j'ai bien failli détruire notre maison, j'ai bien failli tuer mes parents...
Mais un mal amène parfois un bien.
Ayant eu vent de l'incident, j'ai inévitablement attiré l'attention sur moi. Alors que j'étais encore terrorisé par ce qu'il s'était passé, désespéré de voir que mes parents n'osaient même plus s'approcher de moi, ces derniers furent aborder par un homme un peu particulier. Il se présenta sous le nom de Charles Xavier et leur proposa de m'emmener avec lui, dans une école particulière qui rassemblait d'autres enfants qui, comme moi, étaient des mutants, pour m'apprendre à maîtriser mon don. Je n'avais pas laissé le temps de réflexion à mes parents et j'avais dis "oui" tout de suite. Je ne voulais pas rester ici où j'étais un danger pour tout le monde, je ne voulais pas que ça se termine comme dans mon rêve. C'est de cette manière que je me suis retrouvé à intégrer l'école des mutants, des X-Men. Néanmoins, je conservais cette peur de moi-même et de la capacité destructrice qui résidait dans mes mains. Il y eut évidemment quelques incidents durant ma scolarité là-bas, mais ils ne furent jamais trop grave. Par chance, il y avait des gens qui pouvaient contrer mon pouvoir ou au moins le contenir, et gérer le feu avant que cela ne dégénère. Dans un sens, cela me rassura. Puis au fur et à mesure des années, j'ai appris à maîtriser ma malédiction, à la comprendre et les choses autour de moi arrêtèrent bientôt de prendre feu dès que je les touchais. Pour ce faire, je du également apprendre à contrôler mes émotions, bien malgré moi, cela jouait beaucoup sur mon pouvoir et je m'en étais bien rendu compte, lorsque j'étais nerveuse, ou en colère...
Puis arriva la fin de ma scolarité.
Je n'avais néanmoins nullement le désir de quitter l'Institut. Je m'y sens bien, en sécurité et dans le fond... J'ai encore peur de mon pouvoir. Je peux faire brûler tout ce que je touche, je peux contrôler les flammes et les diriger sur les gens. Et l'odeur de chair brûlée... Il n'y a rien de pire... Tout ce que je veux moi, c'est vivre une vie normale, sans soucis. Pourquoi est-ce que je suis une mutante ?
Dernière édition par Aizah le Dim 05 Juil 2020, 21:11, édité 16 fois