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Prénom : Madame Banane Flambée, peluche !
Age : 26 ans
Activités : Je travaille à horaires réguliers dans un domaine scientifique.
Centres d'intérêts : RP, c'est une évidence. L'animation, le dessin et les jeux de société.
Où j'ai trouvé le forum : Top-site + partenaires d'un autre forum + tournoi interforum
Un petit mot pour Nano. ? : J'adore le concept pour dynamiser les rp. Et les touches d'humour m'arrachent souvent un sourire.
Activité à Prévoir : Un peu tous les jours mais surtout le matin et tard le soir.
Bonus : Le nouveau design promet (← écrit en avril 2020)
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et 
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Moyen... Un mètre soixante-huit la dernière fois. Pour soixante-quatre kilos de muscles.
- T’as des signes particuliers ? Pendant un moment, je les cachais justement. J’ai les cheveux blancs et les yeux rouge-sang. Les blagues là-dessus, je les ai toutes entendues au collège, merci d’épargner votre salive. Donc je suis albinos, voilà mais je porte encore souvent des verres teintés ou des lentilles vertes pour les protéger (parce que je suis myope en plus de ça).
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : En service je porte l’uniforme de la Milice et mes lunettes de soleil (correctrices). En civil, je ne porte rien qui ne me démarque de la masse. Je suis la mode du mec cool et sérieux, ça veut dire : chemise, gilet ou pull, cravate, pantalon, une écharpe et parfois une chapka contre le grand froid. Toujours des couleurs classiques sauf du rouge, je déteste cette couleur. Ah et je porte une croix au cou mais c’est juste pour la forme, elle ne signifie rien pour moi. Vraiment rien qui ne sorte de l’ordinaire.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Ma dague fétiche. Bon, je la lâche quand même pour prendre ma douche mais elle n'est jamais loin. On ne sait jamais.
- Tu pries tous les soirs ? Oui, matin, midi et soir. Et je me brosse les dents en même temps. C’est gavant ! Chez nous, la religion c’est trop sacré. En vrai, je m’en fiche éperdument de la vie après la mort – quoi que ce soit après, on y passe tous – et de la vertus qui ne sert à rien. Alors c’est sûr que le diable et les démons ça fait peur, mais ma vie est déjà un enfer. Ils sont juste un moyen de passer ma frustration.
- T’aimes les animaux ? J’aime les chiens et les chevaux, parce qu’ils sont loyaux et obéissants. Contrairement aux chats qui ont des griffes vicieuses, en plus je suis allergique à leurs poils. Les petites bestioles, j’en ai rien à faire tant qu’elles n’entrent jamais sur mon territoire, mais si jamais c’est le cas, je les écrase sans pitié. Pareil pour les Zootropes, je ne les ménage pas… Je ne les connais pas après tout.
- Ton pire souvenir, c’est… ? Probablement le jour où mon père m’a crié dessus que j’étais insupportable et que je devais aller en pension. J’étais jeune, fallait l’entendre, j’en ai chialé sa mère. Mais je crois que mon pire souvenir c’est vraiment ma dernière année d’école toute entière...
- A quoi ressemble ton chez toi ? Mon « chez-moi », hum… Je dors à la Caserne pour l’instant. Mon « coin » est composé d’un lit et d’une armoire. C’est toujours propre (en vrai, y a souvent une chaussette qui traîne sous le lit défait mais chut).
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je me lève à sept heures du matin pour mon entraînement, ensuite je mange et je fais semblant de prier, amen. Je vérifie que mes racines blanches ne sont pas visibles puis je patrouille, je perquisitionne, parfois on s’amuse bien à faire peur aux gens qui nous regardent de travers. Je mange à midi et rebelote. Puis, entraînement du soir dans la salle de tir sauf les fois où on boit un coup entre collègues et je fais semblant de m’amuser comme draguer quelques nanas mais en fait je les supporte à peine plus que les autres.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? J’irai voir mon père et s’il se fout de moi, je le jetterai en prison pour lui apprendre. Et ensuite, je dirais au Vatican de fermer sa gueule. (Ça venait du cœur.)
1894 (21 ans) : J’ai survécu à trois ans dans la Milice. Mes aptitudes physiques sont bonnes mais ma capacité de viser laisse encore à désirer. J’attends de monter en grade mais pour cela il faut une action d’envergure ou serrer les dents encore un moment. Je me sens seul.
1891 (18 ans) : Je rejoins la Milice, ma grande sœur Lyubov s’est mariée il y a déjà deux mois avec un journaliste prétentieux. C’était insupportable avec mes parents se vantant de son "exploit". Je suis bien content d’avoir quitté leur toit et l’école pour un groupe soudé que sont les miliciens. Désormais, j’aurai plus de pouvoirs.
1890 (17 ans) : En classe, je n’ai aucun pote, je suis continuellement la cinquième roue du carrosse, j’ai hâte d’en finir. Mon seul ami a disparu sans prévenir ; j’ai été interrogé sur sa nature mais ils m’ont finalement laissé tranquille. Ils en imposaient je trouve. Mais j’en reviens toujours pas qu’il m’ait lâché comme ça.
1889 (16 ans) : Ma sœur commence ses études en sténographie et moi, je n’existe pas. C’est chiant, j’ai toujours deux ans de retard ! Satisfaire mon père est chose impossible, dorénavant je n’attends plus rien de lui.
1887 (14 ans) : Mes notes sont au dessus de la moyenne grâce à mon camarade Svyatoslav. J’avais espéré que mon père soit fier de mes énormes progrès mais y en a que pour ma sœur qui est éduquée chez les sœurs. Malgré ma teinture à la sauge, les autres me traitent encore de "petit vieux malade", certains disent même que je suis un démon qui se transforme en lapin blanc. Ma mère me console mais ne m’aide pas.
1885 (12 ans) : Mes débuts dans l’école sont désastreux, je n’y comprends rien à leurs leçons et les messes sont en latin ! Les autres se moquent de moi à cause de mes yeux et de mes cheveux blancs. Y a pourtant un gars qui me colle, il est gentil mais il n’a pas la côte. Grosse tête et rondouillard, tu m’étonnes. M’enfin c’est mieux que d’être tout seul.
1884 (11 ans) : Je viens d’emménager avec ma famille à Moscou pour profiter d’une baraque léguée par une tante dont je ne me rappelle pas. J’ai quitté tous mes amis, c’était dur. Ma sœur avait de la peine aussi, pour une fois, on a partagé quelque chose.
1883 (10 ans) : Mon grand-père paternel est mort la semaine précédente, je m’en souviens parce que j’ai vu son corps avant qu’il ne soit enfermé dans un cercueil. Ça m’a fait tout drôle. Il y a une semaine encore, il me parlait de ses origines ukrainiennes en m’offrant la dague qu’il ne quitte jamais – quittait jamais. Mon père n’a pas manqué de me le confisquer pour quand je serai plus grand.
4 Novembre 1872 (premier jour) : Je pousse mes premiers cris dans un hôpital à Voronej (ville au sud de Moscou), il fait froid, la lumière m’éblouit et les bruits m’agressent. Ce nouveau monde s’annonce mal.
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Plutôt petite et fine avec ça, comme ça je me faufile partout mais j’ai du muscle, attention ! Et un peu de poitrine depuis un an ou deux.
- T’as des signes particuliers ? Mes yeux, ils sont jolis, non ? Ils sont noisette un-peu-beaucoup jaunes. C’est la partie que je zootrope le plus souvent ! Ma peau est pâle et mes cheveux sont blond-châtain-clair.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : J’ai une veste jaune-vif que j’adore, toute douce et bien épaisse, un haut blanc à manches oranges, une jupe jaune pâle et de bonnes bottes bien solides avec de longues chaussettes. J’ai aussi des protège-oreilles rembourrées en laine et des gants parce que c’est important d’être au chaud.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Hummmmm… Mon attitude positive et une collection de Matriochkas très spéciales.
- Tu pries tous les soirs ? Oh oui, chaque fois que je suis dans le ciel ! Je remercie Dieu – quel qu’il soit – de m’avoir donné des ailes et de m’avoir épargné des carcans absurdes. Sinon, j’en sais assez pour passez pour bonne chrétienne.
- T’aimes les animaux ? Évidemment ! J’aime tous les animaux du monde. Mon écureuil Hassel est jaloux tout le temps ! C’est mon écureuil volant (Polatouche de Sibérie), on fait la paire !
- Ton pire souvenir, c’est… ? Brrrrr ! La fois où la nacelle a pris feu, j’ai cru que j’allais cuire ! La sortie était bloquée, impossible de sortir, depuis je ne supporte très mal les espaces confinés. J’ai survécu grâce à l’intervention de ma copilote, Ilma.
- A quoi ressemble ton chez toi ? « Chez moi », c’est le ciel ! Mais si vous parler du nid où je dors, il y a un hamac avec des couvertures, une bibliothèque bricolée avec des livres dessus et des bricoles mécaniques amassées au fil des ans. Hassel a un coin rien que pour lui. La fenêtre est petite mais y a une bonne vue.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je prends mon p’tit déj puis mon petit dirigeable avec Ilma pour ravitailler une base de la résistance, chasser les machines volantes du Saint Empire Russe ou sauver un convoi de prisonniers de l’exécution. La routine. :3
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? Moi, Tsarine Lumi ! Je dirais à tout le monde de s’aimer et de laisser les autres tranquilles ! Qu’il faut s’entraider quelle que soit notre condition. Nan, mais ce n’est pas une blague c’que j’raconte !
Mon nom veut dire « neige » en finnois. J’aime sentir le vent sur mon visage, j’ai donc appris à bricoler ou rafistoler les appareils volants pour ne jamais être clouée au sol longtemps. Je rêve souvent d’être sur une petite machine volante sans ballon d’hélium ni toit et de faire des pirouettes. Mais mon vaisseau actuel me convient tout à fait : il est petit, rapide et gris comme l’argent, d’où son nom : Hopean Siivet.
…
Cela fera quatre-vingt ans que nous sommes devenus le Duché de Finlande, sous emprise russe et en même temps du Vatican mais nous ne livrerons pas les nôtres si facilement ! Je suis contre la violence alors je n’utilise aucune arme destinée à tuer ou blesser, seulement à embrouiller ou capturer. Je vole depuis un an pour aider notre Cause.
…
J’ai beaucoup de camarades de jeu qui me rejoignent pour les missions en escadrons : Heino, Kaapo et surtout Ilma. Ilma est tout le contraire de moi, calme, sérieux et non-zootrope mais je ne peux être heureuse sans elle. Eija m’a apprit la cuisine et les premiers secours, c’est celle qui a le plus pris soin de moi. Onni et Riku sont mes mentors de pilotage.
…
Ma première transformation incomplète a eu lieu quand j’étais enfant. J’avais des plumes partout et des yeux jaunes et ronds. Les zootropes de la résistance m’ont tout de suite appris les rudiments de la transformation et expliqué que c’était ma nature.
…
Hassel est un écureuil-volant blessé que j’ai ramassé. En fait, c’est moi-même qui l’ait blessé sous ma forme de chouette mais j’ai regretté aussitôt.
…
Les pilotes de la résistance m’ont trouvé avec mes parents dans un cockpit de dirigeable écrasé en plein milieu de la montagne enneigée de Laponie. Ces derniers ont donné leur vie pour me protéger du froid. L’équipe pense encore qu’ils étaient russes à cause de leurs affaires dont j’ai gardé les objets les plus personnels.
…
J’ai fait quelques recherches sur mes Matriochkas, c’est un modèle tiré largement à plus d’une centaine d’exemplaires donc ça ne m’aidera pas. En revanche, je connais le matricule de l’avion qui s’est échoué mais mon jeune age et ma citoyenneté finlandaise rendent mon investigation dangereuse à la capitale. Mais en soi, ça n’a pas beaucoup d’importance, je dois penser au présent et aux personnes encore vivantes. Je m’entraîne donc à parler russe sans accent avant de me frotter trop fort aux autorités russes.
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis de taille moyenne pour une femme.
- T’as des signes particuliers ? J'ai un grain de beauté à côté de l'œil gauche et l'on dit souvent de moi que j'ai de beaux yeux bleus et innocents. Ce dernier point est celui qui me fait le plus plaisir.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Je porte l'habit religieux avec le plus grand soin. Si mes cheveux ont tendance à sortir du voile, c'est bien malgré moi.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Je porte toujours sur moi mon scapulaire.
- Tu pries tous les soirs ? Je prie tous les soirs et aussi souvent que possible entre mes activités. Je ne suis pas une moine contemplative mais ce sont des moments calmes rien que pour moi et Dieu.
- T’aimes les animaux ? Naturellement, ce sont des créatures de Dieu ! J'aime particulièrement les lapins, ils sont si doux !
- Ton pire souvenir, c’est… ? … Donne-moi la force ! Mon pire souvenir remonte à mon enfance, avant mon entrée au couvent.
- A quoi ressemble ton chez toi ? Je vis dans un couvent de Moscou très bien. Ma chambre est sobre, lumineuse, propre et bien plus confortable que dans mon enfance.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? En dehors des nombreuses prières qui rythment ma journée, je m'occupe de l'éducation des orphelins. J'aspire à apprendre la médecine pour aider aussi les enfants malades et exclus.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? Je… Eh bien… C'est une tâche bien trop lourde pour moi ! Mais j'imagine que si Dieu le veut, j'essayerais de mon mieux à arrêter cette chasse aux âmes possédés par des esprits qui les transforment en animaux et mettre en place des ordres pour s'occuper d'eux et sauver leurs âmes, à la manière des léproseries…
Bien sûr que je peux vous raconter ma vie si cela vous fait plaisir !
Je suis n… Le début n'est pas très plaisant mais je vous assure que tout s'arrange ensuite !
Je suis née dans un quartier pauvre de Moscou d'une mère seule et malheureuse. Nous ne mangions pas toujours à notre faim et parfois… souvent… un homme venait battre ma mère tandis que je me cachais, toute menue, dans un placard de la cuisine. Un jour, notre tortionnaire est venu puis reparti et j'ai trouvé le corps de ma mère sans vie plus longtemps que d'habitude.
*Elle tremble un peu, souffle un instant avant de reprendre.*
Au bout d'un moment, je suis sortie et j'ai attrapé les jupes de la première femme que j'ai vu. Celle-ci s'appelait Marta et, étant religieuse, a eu comme première idée de me conduire à l'église avant d'appeler la Milice pour s'occuper de ma défunte mère. Je devais avoir dans les cinq-six ans, ma date de naissance n'est pas connue.
Toujours est-il qu'ensuite, j'ai été recueillie par l'église qui m'a nourrie et m'a éduquée. Très tôt, je savais que je voulais devenir religieuse et j'ai saisi l'opportunité dès que possible. Ainsi, je resterai pour toujours sous la protection du Seigneur. J'ai très vite trouvé un certain don pour m'occuper des jeunes enfants et les calmer quand ils n'allaient pas bien.
C'est ainsi que j'ai trouvé ma vocation !
Petits informations supplémentaires :
- L'homme qui a tué sa mère est toujours en vie et survit dans les rues de Moscou. Son père biologique ne sait pas qu'elle existe. Marta est religieuse et Ruf la considère comme sa mère. D'où le fait qu'elle ait utiliser son nom pour son "patro"nyme. Malgré les années, elle a gardé une grande crainte envers les hommes et marche toujours sur la pointe des pieds avec eux (effet qui s'atténue quand elle connaît la personne depuis longtemps). Sa compassion envers les zootropes lui est naturellement venue mais elle se retient de l'exprimer trop fort car elle sait que c'est loin d'être l'avis majoritaire.
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Petit, pas plus grand qu'une main mais je fais avec, j'ai accès à nombre de détails que n'ont pas les grands.
- T’as des signes particuliers ? Mes écailles sont blanches et mes plumes dorées, pas très courant dans ma colonie mais sinon, je suis très semblable à eux.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Un style vestimentaire ? Je ne porte rien.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? J’ai donc toujours sur moi un sac sans fond où j’entrepose tous mes outils et pommades, ainsi que des livres d’anatomie, de divination et enfin mon luth.
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres ! Pas particulièrement, j'évite ceux de mon espèce, aucun n'arrive à la cheville de Férocia. Quant aux autres, ils sont tous pareils pour moi même si je les soigne.
- Un inconnu te propose un deal : tu te fais avoir, en général ? Rouler un guérisseur est idiot, rouler un Dragon-fée encore plus ! Ceux qui s'y risquent finissent avec certains désagréments plus ou moins graves.
- Tu te retrouves face à trois trolls super vénères... Qu'est-ce que tu fais ? Est-ce qu'ils me voient d'abord ? Je suis assez discret et je peux voler pour éviter de me faire écraser.
- Où est-ce que tu dors le soir ? (Ou le matin. Ou l’après-midi. Tu dors, d'abord ?) Dans un nid douillet de mousse, entre les branches d'un arbre. En tant que vagabond, je change de couchage régulièrement. Pour être précis, je dors par intervalle régulier un petit moment au moins huit fois par jour, sur une durée totale de six heures.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je me lève le matin, je fais ma toilette avec la rosée du matin. Ensuite je mange des baies ou des graines selon la saison. Je dispense mes soins à qui remarque mon écriteau. En échange, ils me filent des aliments, les objets dont j’ai besoin ou des informations. Je n’ai pas de but particulier, juste vivre.
- Si tu possédais le miroir de Guldin, qu'est-ce que tu en ferais ? Je l’ignore ! Peut-être que si j'étais roi Dragon-Fée, j'y verrai une utilité mais là… je me contente de vivre au jour le jour.
*Des notes de mini-luth se font entendre*
Je vais vous conter mon histoire, tragique qu'elle est !
Mais vous pouvez lire l'écriteau en bas,
N’étant pas bon chanteur, je comprendrais,
Et une longue histoire vous rendrait las.
*Les notes reprennent plus fortement avant de se calmer*
Je suis né Prince, par la chance j'ai été élu,
Ou par malheur, car un seul peut régner
Quant aux autres Princes, la colonie les tue.
Point final, ça s'en serait arrêté là, mais… !
Fotafilis est mon nom, mes goûts sont l'étude
De la botanique, la divination et de la panacée.
Définitivement moins bon chanteur que le barde,
Exécrable danseur en comparaison de Soimacé,
Je n'excelle dans aucun art, je suis touche-à-tout,
J'aurais pu exceller en Roi mais nulle illusion,
J'aiguisais mes armes sous couvert de marabout,
Je pressentis que les étoiles auraient raison,
*Les sons se firent plus légers et lyriques*
Un évènement allait à jamais marquer ma vie,
À la cour de la colonie, je côtoyais la belle
Et éclatante princesse Férocia, avide de vie,
Prête à défier le destin et son mesquin carrousel,
En secret, je lui promis de fuir avec elle,
Et de bâtir avec ses soins la nouvelle colonie,
Elle, ma Reine et moi, son Roi, loin d’ici,
Le temps nous manquait, j’étais irrationnel,
*Le rythme s’accélère*
La cérémonie s’engagea, Princes et Princesses,
Enfermés au cœur du nid pour se départager,
Mes tours de magie étaient bridés et altérés,
Férocia créa une brèche avec force et hardiesse,
*Le rythme s’accélère encore*
Nous partîmes à tire d’ailes,
Les gardes nous pourchassèrent
Comme des criminels,
De Férocia, ils tailladèrent la chair,
Je soutenais mon amie sincère,
Préparant des soins éclairs…
*Les sons s’étoilent*
Elle expira dans mes pattes,
Je n’oublierai jamais cette date,
Par magie je disparu à la vue
De mes poursuivants assidus
Depuis lors, j’erre en âme égaré,
Proposant potions et pommades
Pour tout ce qui se soigne aisé
Pour tout ce qui se soigne…
*L’écriteau dit :
« FOTAFILIS, PRINCE EXILÉ DE SA COLONIE, A PERDU SON ÂME-SŒUR FÉROCIA, VIT DE SA MÉDECINE ET DE SA MAGIE.
CHERCHE CROCS DE VIPÈRE ET POUSSIÈRE D’ÉMERAUDE. »*
Si vous souhaitez plus de détails au sujet des sorts que je sais faire, c’est censé rester secret mais à vous je le peux.
Je sais me rendre invisible, me téléporter sur de courte-distance et à vue ainsi que bouger des objets dans une portée de deux mètres (ce qui est pas mal pur mon gabarit). En tant que créature magique, je peux aussi percevoir les auras si je me concentre dessus. Ma magie est intuitive et dépend de ma volonté et de mon état de santé (sous l’influence des champignons, c’est… tout ou rien).
Également, je pratique la divination d’après des parchemins, je lis les feuilles de thé, les runes, dans un récipient d’eau mais mes visions sont floues et portent à l’interprétation.
Au niveau de mes compétences médicales, je soigne les symptômes et pratique la chirurgie. J’allie parfois la magie blanche aux soins en cas d’urgence mais ça me demande du temps, c’est ce qui m’a manqué pour Férocia…
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis grande, quelle question ! Quel elfe n’est pas grand et élancé !? Mon maître me compare souvent à une gazelle (c’est une sorte de biche qui vit au Sud).
- T’as des signes particuliers ? J’ai des tatouages sur les bras faits pour me relier à la Terre mais ils sont souvent dissimulés par mes manches et j’ai aussi de longs, très longs cheveux immaculés que je cache sous ma capuche.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : J’ai des tatouages sur les bras faits pour me relier à la Terre mais ils sont souvent dissimulés par mes manches et j’ai aussi de longs, très longs cheveux immaculés que je cache sous ma capuche.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Mon arc et mon couteau de chasse m’accompagnent toujours, ainsi que Yenlu, même si elle n’est pas un objet, hihi ! Il s’agit d’un hibou grand-duc femelle. Oui, la chouette avec des aigrettes, vous êtes décidément déplorable en zoologie.
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres ! Nous, les elfes noirs, ne sommes pas connus pour être agréables avec tout le monde, même si on fait bien semblant au début. Ne jamais faire confiance aux autres, qui qu’ils soient, surtout les gens « honnêtes » car comme disait un grand homme d’Isotier : « une crapule ne s’amendera jamais et une personne honnête est capable de renverser son code d’honneur sur un coup de tête ».
- Un inconnu te propose un deal : tu te fais avoir, en général ? En général, quand ils voient le sang sur mes mains, ils changent vite d’avis. Je tire plus vite que mon ombre (il paraît qu’on vise à un endroit très particulier) et je peux laisser plus d’un rat mort sur leur porche, histoire de pourrir l’agréable journée qu’ils passent chez eux avec une jambe dans le plâtre. Faites pas chier l’elfe noir. Je ne roule pas en revanche, je glisse.
- Tu te retrouves face à trois trolls super vénères... Qu'est-ce que tu fais ? Je les attire tout d’abord dans la forêt qui est mon royaume avant de les canarder dans les zones sensibles, histoire de les énerver tellement qu’ils se cognent entre eux. Si je suis en ville, je monte sur les toits.
- Où est-ce que tu dors le soir ? (Ou le matin. Ou l’après-midi. Tu dors, d'abord ?) Je dors comme tout le monde, au milieu d’une meute de loups ou dans un arbre habité par les corbeaux. Je peux dormir dans les environnements les plus hostiles tant que cela n’agresse pas mon nez fin. Je ne crache pas sur un lit mais je dois être sure d’y dormir en sécurité. Yenlu veille sur moi souvent avant de partir à la chasse.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je voyage beaucoup, l’environnement change beaucoup mais mes actions sont simples. Je chasse, c’est mon métier, je traque des bêtes néfastes, j’attrape du gibier sur patte et je revends la viande, je récolte mon butin. Ensuite, la journée, je fais ce que l’on appelle dans le milieu de la reconnaissance (mais les autres appellent cela du tourisme), c’est à dire collecter des informations et trouver des babioles sympas.
- Si tu possédais le miroir de Guldin, qu'est-ce que tu en ferais ? Je le cachera pour qu’aucune personne ne l’utilise dans le but de chasser les elfes noirs aux Enfers, j’ai grandi ici, moi ! Même si je suis une elfe noire, Heavensaw est le seul monde que je connais ! Et les descriptions que j’ai eu des Enfers ne me donnent pas envie d’y aller, trop monotone, trop terne !
Vous interrogez le cerf du coin, il vous répond qu’il n’a jamais entendu parler d’une quelconque chasseresse. Il s’éloigne de vous avant de prendre l’aller sans retour, une flèche dans le cou.
Vous interrogez le tavernier du coin, il vous répond qu’il refuse de servir les elfes noirs sans lever les yeux vers la silhouette encapuchonnée aux longs et luxueux cheveux blancs d’elfe qui est tranquillement en train de boire. Ensuite il vous chasse car vous ne voulez pas consommer chez lui.
Vous interrogez un grand-duc femelle du nom de Yenlu, elle vous répond que Than est la seule humanoïde avec qui elle supporte d’être et qu’elle connaît beaucoup de chose sur elle car ces deux-là sont liées depuis des années. Elle vous propose d’interroger les parents de Than, si tant est que vous arriviez à les trouver ! Et elle s’envole à tire-d’aile.
Vous interrogez l’elfe noire Sarath Rilynana, mère de Than, elle vous répond que sa fille est née d’une relation sans lendemain avec un elfe noir mercenaire couvert de cicatrices et aussi jeune qu’elle (elle va sur ses trois siècles). Il s’est tiré avant qu’elle ait eu le temps de se rendre compte qu’elle était enceinte. Elle a donc élevé Than, seule à Isotier du moins au début. Ensuite, elle a emmené la mioche dans les contrées forestières d’Heavensaw où la petite a développé un don pour tout ce qui est nature. Alors, elle s’est débarrassée de Than, alors âgée de dix-sept ans auprès d’un chasseur censé lui apprendre son métier. Vous souhaitez lui demander des détails sur le père, elle vous répond qu’il s’appelle Stej et c’est tout ! Maintenant, allez vous faire voir à Lalalariel ! Et elle vous chasse en vous menaçant de son épée.
Vous interrogez le chasseur Errik Moon, il vous répond qu’il a connu Than pendant une bonne dizaine d’années. Il la trouve chouette cette petite pour une descendante des Enfers. Elle est aussi acérée et tranchante qu’une épée en dur-acier et elle aimait beaucoup son loup. Non mais pas ça, bande de cochons ! Son loup c’est Karuk, son animal de lien, tous les chasseurs dignes de ce nom en ont un ! De même que Than s’est liée à un hibou grand-duc et l’a baptisé Yenlu. Elle est partie vivre sa vie, à la recherche de ses parents. La petite n’a jamais connu son géniteur… J’aimerais dire deux trois mots à cette ordure ! Et il disparaît dans la forêt.
Vous interrogez un loup gris du nom de Karuk, il vous répond que la petite est partie en ville pour parfaire son éducation d’elle-même et qu’elle désirait aux dernières nouvelles être assez forte pour chasser un grand et noble dragon. Il vous laisse et s’en va chasser.
Vous interrogez une scribe du nom de Clémentine Simili, elle vous répond qu’elle a autrefois accepté de former une sauvageonne à la peau aussi noire qu’une nuit sans lune et aux cheveux aussi immaculés que la neige. Les débuts n’ont pas été faciles : la fillette avait beau avoir l’air adulte, elle ne savait pas parler convenablement et se comporter en ville mais elle était aussi très tenace et a acquis un niveau de langage proche de la perfection. La petite sait maintenant écrire bien des langues. Vous demandez où elle se trouve actuellement. La scribe vous répond qu’elle est partie le dixième jour après l’équinoxe de printemps reprendre ses activités de chasse et parcourir le monde comme tel était son souhait. Elle avait aussi à cœur de retrouver ses deux parents qu’elle a perdu de vue et tuer un dragon mais elle devait plaisanter pour cette dernière. Elle vous demande ensuite si vous voulez lui faire écrire une lettre ou un texte quelconque.
Après plus toutes ces recherches, vous pouvez retracer la vie de Than Rilynana :
En 254 après la Brèche, elle est née à Isotier de Sarath Rilynana et de "Stej". Elle a grandi avec sa mère huit ans au port et six ans dans les villages d’Heavensaw.
En 268 ap. B., elle a été confiée comme apprentie au chasseur Errik Moon et Karuk son loup de lien où vers la fin, elle a contracté un lien avec un hibou grand-duc baptisé Yenlu.
En 278 ap. B., elle a suivi l’enseignement de la scribe Clémentine Simili.
Nous avons malheureusement perdu sa trace entre 284 et nos jours…
Presente toi banane flambee
Prénom : Madame Banane Flambée, peluche !
Age : 26 ans
Activités : Je travaille à horaires réguliers dans un domaine scientifique.
Centres d'intérêts : RP, c'est une évidence. L'animation, le dessin et les jeux de société.
Où j'ai trouvé le forum : Top-site + partenaires d'un autre forum + tournoi interforum
Un petit mot pour Nano. ? : J'adore le concept pour dynamiser les rp. Et les touches d'humour m'arrachent souvent un sourire.
Activité à Prévoir : Un peu tous les jours mais surtout le matin et tard le soir.
Bonus : Le nouveau design promet (← écrit en avril 2020)
Lien vers les anciennes fiches de Bruxia :
et Maksim Andreievitch
Chimeres
○ Prénom et Nom : Maksim Andréiévitch Bounine
○ Age : 21 ans
○ Race : Humain
○ Forme animale : Homo sapiens
○ Métier : Milicien non gradé
○ Crédit avatar : Fanart de Mirai Nikki
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Moyen... Un mètre soixante-huit la dernière fois. Pour soixante-quatre kilos de muscles.
- T’as des signes particuliers ? Pendant un moment, je les cachais justement. J’ai les cheveux blancs et les yeux rouge-sang. Les blagues là-dessus, je les ai toutes entendues au collège, merci d’épargner votre salive. Donc je suis albinos, voilà mais je porte encore souvent des verres teintés ou des lentilles vertes pour les protéger (parce que je suis myope en plus de ça).
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : En service je porte l’uniforme de la Milice et mes lunettes de soleil (correctrices). En civil, je ne porte rien qui ne me démarque de la masse. Je suis la mode du mec cool et sérieux, ça veut dire : chemise, gilet ou pull, cravate, pantalon, une écharpe et parfois une chapka contre le grand froid. Toujours des couleurs classiques sauf du rouge, je déteste cette couleur. Ah et je porte une croix au cou mais c’est juste pour la forme, elle ne signifie rien pour moi. Vraiment rien qui ne sorte de l’ordinaire.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Ma dague fétiche. Bon, je la lâche quand même pour prendre ma douche mais elle n'est jamais loin. On ne sait jamais.
Interview avec le Tout-Puissant
- Tu pries tous les soirs ? Oui, matin, midi et soir. Et je me brosse les dents en même temps. C’est gavant ! Chez nous, la religion c’est trop sacré. En vrai, je m’en fiche éperdument de la vie après la mort – quoi que ce soit après, on y passe tous – et de la vertus qui ne sert à rien. Alors c’est sûr que le diable et les démons ça fait peur, mais ma vie est déjà un enfer. Ils sont juste un moyen de passer ma frustration.
- T’aimes les animaux ? J’aime les chiens et les chevaux, parce qu’ils sont loyaux et obéissants. Contrairement aux chats qui ont des griffes vicieuses, en plus je suis allergique à leurs poils. Les petites bestioles, j’en ai rien à faire tant qu’elles n’entrent jamais sur mon territoire, mais si jamais c’est le cas, je les écrase sans pitié. Pareil pour les Zootropes, je ne les ménage pas… Je ne les connais pas après tout.
- Ton pire souvenir, c’est… ? Probablement le jour où mon père m’a crié dessus que j’étais insupportable et que je devais aller en pension. J’étais jeune, fallait l’entendre, j’en ai chialé sa mère. Mais je crois que mon pire souvenir c’est vraiment ma dernière année d’école toute entière...
- A quoi ressemble ton chez toi ? Mon « chez-moi », hum… Je dors à la Caserne pour l’instant. Mon « coin » est composé d’un lit et d’une armoire. C’est toujours propre (en vrai, y a souvent une chaussette qui traîne sous le lit défait mais chut).
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je me lève à sept heures du matin pour mon entraînement, ensuite je mange et je fais semblant de prier, amen. Je vérifie que mes racines blanches ne sont pas visibles puis je patrouille, je perquisitionne, parfois on s’amuse bien à faire peur aux gens qui nous regardent de travers. Je mange à midi et rebelote. Puis, entraînement du soir dans la salle de tir sauf les fois où on boit un coup entre collègues et je fais semblant de m’amuser comme draguer quelques nanas mais en fait je les supporte à peine plus que les autres.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? J’irai voir mon père et s’il se fout de moi, je le jetterai en prison pour lui apprendre. Et ensuite, je dirais au Vatican de fermer sa gueule. (Ça venait du cœur.)
Histoire (courte)
1894 (21 ans) : J’ai survécu à trois ans dans la Milice. Mes aptitudes physiques sont bonnes mais ma capacité de viser laisse encore à désirer. J’attends de monter en grade mais pour cela il faut une action d’envergure ou serrer les dents encore un moment. Je me sens seul.
1891 (18 ans) : Je rejoins la Milice, ma grande sœur Lyubov s’est mariée il y a déjà deux mois avec un journaliste prétentieux. C’était insupportable avec mes parents se vantant de son "exploit". Je suis bien content d’avoir quitté leur toit et l’école pour un groupe soudé que sont les miliciens. Désormais, j’aurai plus de pouvoirs.
1890 (17 ans) : En classe, je n’ai aucun pote, je suis continuellement la cinquième roue du carrosse, j’ai hâte d’en finir. Mon seul ami a disparu sans prévenir ; j’ai été interrogé sur sa nature mais ils m’ont finalement laissé tranquille. Ils en imposaient je trouve. Mais j’en reviens toujours pas qu’il m’ait lâché comme ça.
1889 (16 ans) : Ma sœur commence ses études en sténographie et moi, je n’existe pas. C’est chiant, j’ai toujours deux ans de retard ! Satisfaire mon père est chose impossible, dorénavant je n’attends plus rien de lui.
1887 (14 ans) : Mes notes sont au dessus de la moyenne grâce à mon camarade Svyatoslav. J’avais espéré que mon père soit fier de mes énormes progrès mais y en a que pour ma sœur qui est éduquée chez les sœurs. Malgré ma teinture à la sauge, les autres me traitent encore de "petit vieux malade", certains disent même que je suis un démon qui se transforme en lapin blanc. Ma mère me console mais ne m’aide pas.
1885 (12 ans) : Mes débuts dans l’école sont désastreux, je n’y comprends rien à leurs leçons et les messes sont en latin ! Les autres se moquent de moi à cause de mes yeux et de mes cheveux blancs. Y a pourtant un gars qui me colle, il est gentil mais il n’a pas la côte. Grosse tête et rondouillard, tu m’étonnes. M’enfin c’est mieux que d’être tout seul.
1884 (11 ans) : Je viens d’emménager avec ma famille à Moscou pour profiter d’une baraque léguée par une tante dont je ne me rappelle pas. J’ai quitté tous mes amis, c’était dur. Ma sœur avait de la peine aussi, pour une fois, on a partagé quelque chose.
1883 (10 ans) : Mon grand-père paternel est mort la semaine précédente, je m’en souviens parce que j’ai vu son corps avant qu’il ne soit enfermé dans un cercueil. Ça m’a fait tout drôle. Il y a une semaine encore, il me parlait de ses origines ukrainiennes en m’offrant la dague qu’il ne quitte jamais – quittait jamais. Mon père n’a pas manqué de me le confisquer pour quand je serai plus grand.
4 Novembre 1872 (premier jour) : Je pousse mes premiers cris dans un hôpital à Voronej (ville au sud de Moscou), il fait froid, la lumière m’éblouit et les bruits m’agressent. Ce nouveau monde s’annonce mal.
Lumi Koskinen
Chimeres
○ Prénom et Nom : Lumi Koskinen
○ Age : bientôt 15 ans
○ Race : Zootrope avéré
○ Forme animale : Chouette lapone
○ Métier : Rebelle au grand cœur
○ Crédit avatar : Fam dans Last Exile : the silver wing du studio Gonzo
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Plutôt petite et fine avec ça, comme ça je me faufile partout mais j’ai du muscle, attention ! Et un peu de poitrine depuis un an ou deux.
- T’as des signes particuliers ? Mes yeux, ils sont jolis, non ? Ils sont noisette un-peu-beaucoup jaunes. C’est la partie que je zootrope le plus souvent ! Ma peau est pâle et mes cheveux sont blond-châtain-clair.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : J’ai une veste jaune-vif que j’adore, toute douce et bien épaisse, un haut blanc à manches oranges, une jupe jaune pâle et de bonnes bottes bien solides avec de longues chaussettes. J’ai aussi des protège-oreilles rembourrées en laine et des gants parce que c’est important d’être au chaud.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Hummmmm… Mon attitude positive et une collection de Matriochkas très spéciales.
Interview avec le Tout-Puissant
- Tu pries tous les soirs ? Oh oui, chaque fois que je suis dans le ciel ! Je remercie Dieu – quel qu’il soit – de m’avoir donné des ailes et de m’avoir épargné des carcans absurdes. Sinon, j’en sais assez pour passez pour bonne chrétienne.
- T’aimes les animaux ? Évidemment ! J’aime tous les animaux du monde. Mon écureuil Hassel est jaloux tout le temps ! C’est mon écureuil volant (Polatouche de Sibérie), on fait la paire !
- Ton pire souvenir, c’est… ? Brrrrr ! La fois où la nacelle a pris feu, j’ai cru que j’allais cuire ! La sortie était bloquée, impossible de sortir, depuis je ne supporte très mal les espaces confinés. J’ai survécu grâce à l’intervention de ma copilote, Ilma.
- A quoi ressemble ton chez toi ? « Chez moi », c’est le ciel ! Mais si vous parler du nid où je dors, il y a un hamac avec des couvertures, une bibliothèque bricolée avec des livres dessus et des bricoles mécaniques amassées au fil des ans. Hassel a un coin rien que pour lui. La fenêtre est petite mais y a une bonne vue.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je prends mon p’tit déj puis mon petit dirigeable avec Ilma pour ravitailler une base de la résistance, chasser les machines volantes du Saint Empire Russe ou sauver un convoi de prisonniers de l’exécution. La routine. :3
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? Moi, Tsarine Lumi ! Je dirais à tout le monde de s’aimer et de laisser les autres tranquilles ! Qu’il faut s’entraider quelle que soit notre condition. Nan, mais ce n’est pas une blague c’que j’raconte !
Histoire (courte)
Mon nom veut dire « neige » en finnois. J’aime sentir le vent sur mon visage, j’ai donc appris à bricoler ou rafistoler les appareils volants pour ne jamais être clouée au sol longtemps. Je rêve souvent d’être sur une petite machine volante sans ballon d’hélium ni toit et de faire des pirouettes. Mais mon vaisseau actuel me convient tout à fait : il est petit, rapide et gris comme l’argent, d’où son nom : Hopean Siivet.
…
Cela fera quatre-vingt ans que nous sommes devenus le Duché de Finlande, sous emprise russe et en même temps du Vatican mais nous ne livrerons pas les nôtres si facilement ! Je suis contre la violence alors je n’utilise aucune arme destinée à tuer ou blesser, seulement à embrouiller ou capturer. Je vole depuis un an pour aider notre Cause.
…
J’ai beaucoup de camarades de jeu qui me rejoignent pour les missions en escadrons : Heino, Kaapo et surtout Ilma. Ilma est tout le contraire de moi, calme, sérieux et non-zootrope mais je ne peux être heureuse sans elle. Eija m’a apprit la cuisine et les premiers secours, c’est celle qui a le plus pris soin de moi. Onni et Riku sont mes mentors de pilotage.
…
Ma première transformation incomplète a eu lieu quand j’étais enfant. J’avais des plumes partout et des yeux jaunes et ronds. Les zootropes de la résistance m’ont tout de suite appris les rudiments de la transformation et expliqué que c’était ma nature.
…
Hassel est un écureuil-volant blessé que j’ai ramassé. En fait, c’est moi-même qui l’ait blessé sous ma forme de chouette mais j’ai regretté aussitôt.
…
Les pilotes de la résistance m’ont trouvé avec mes parents dans un cockpit de dirigeable écrasé en plein milieu de la montagne enneigée de Laponie. Ces derniers ont donné leur vie pour me protéger du froid. L’équipe pense encore qu’ils étaient russes à cause de leurs affaires dont j’ai gardé les objets les plus personnels.
…
J’ai fait quelques recherches sur mes Matriochkas, c’est un modèle tiré largement à plus d’une centaine d’exemplaires donc ça ne m’aidera pas. En revanche, je connais le matricule de l’avion qui s’est échoué mais mon jeune age et ma citoyenneté finlandaise rendent mon investigation dangereuse à la capitale. Mais en soi, ça n’a pas beaucoup d’importance, je dois penser au présent et aux personnes encore vivantes. Je m’entraîne donc à parler russe sans accent avant de me frotter trop fort aux autorités russes.
Ruf Martievna Tchernova
Chimeres
○ Prénom et Nom : Ruf Martievna Tchernova
○ Age : 31 ans
○ Race : Humain
○ Métier : Religieuse
○ Crédit avatar : Lily Aquaria de Black Clover
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis de taille moyenne pour une femme.
- T’as des signes particuliers ? J'ai un grain de beauté à côté de l'œil gauche et l'on dit souvent de moi que j'ai de beaux yeux bleus et innocents. Ce dernier point est celui qui me fait le plus plaisir.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Je porte l'habit religieux avec le plus grand soin. Si mes cheveux ont tendance à sortir du voile, c'est bien malgré moi.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Je porte toujours sur moi mon scapulaire.
Interview avec le Tout-Puissant
- Tu pries tous les soirs ? Je prie tous les soirs et aussi souvent que possible entre mes activités. Je ne suis pas une moine contemplative mais ce sont des moments calmes rien que pour moi et Dieu.
- T’aimes les animaux ? Naturellement, ce sont des créatures de Dieu ! J'aime particulièrement les lapins, ils sont si doux !
- Ton pire souvenir, c’est… ? … Donne-moi la force ! Mon pire souvenir remonte à mon enfance, avant mon entrée au couvent.
- A quoi ressemble ton chez toi ? Je vis dans un couvent de Moscou très bien. Ma chambre est sobre, lumineuse, propre et bien plus confortable que dans mon enfance.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? En dehors des nombreuses prières qui rythment ma journée, je m'occupe de l'éducation des orphelins. J'aspire à apprendre la médecine pour aider aussi les enfants malades et exclus.
- Ok, si tu pouvais devenir Tsar demain, qu’est-ce que tu ferais ? Je… Eh bien… C'est une tâche bien trop lourde pour moi ! Mais j'imagine que si Dieu le veut, j'essayerais de mon mieux à arrêter cette chasse aux âmes possédés par des esprits qui les transforment en animaux et mettre en place des ordres pour s'occuper d'eux et sauver leurs âmes, à la manière des léproseries…
Histoire (courte)
Bien sûr que je peux vous raconter ma vie si cela vous fait plaisir !
Je suis n… Le début n'est pas très plaisant mais je vous assure que tout s'arrange ensuite !
Je suis née dans un quartier pauvre de Moscou d'une mère seule et malheureuse. Nous ne mangions pas toujours à notre faim et parfois… souvent… un homme venait battre ma mère tandis que je me cachais, toute menue, dans un placard de la cuisine. Un jour, notre tortionnaire est venu puis reparti et j'ai trouvé le corps de ma mère sans vie plus longtemps que d'habitude.
*Elle tremble un peu, souffle un instant avant de reprendre.*
Au bout d'un moment, je suis sortie et j'ai attrapé les jupes de la première femme que j'ai vu. Celle-ci s'appelait Marta et, étant religieuse, a eu comme première idée de me conduire à l'église avant d'appeler la Milice pour s'occuper de ma défunte mère. Je devais avoir dans les cinq-six ans, ma date de naissance n'est pas connue.
Toujours est-il qu'ensuite, j'ai été recueillie par l'église qui m'a nourrie et m'a éduquée. Très tôt, je savais que je voulais devenir religieuse et j'ai saisi l'opportunité dès que possible. Ainsi, je resterai pour toujours sous la protection du Seigneur. J'ai très vite trouvé un certain don pour m'occuper des jeunes enfants et les calmer quand ils n'allaient pas bien.
C'est ainsi que j'ai trouvé ma vocation !
Petits informations supplémentaires :
- L'homme qui a tué sa mère est toujours en vie et survit dans les rues de Moscou. Son père biologique ne sait pas qu'elle existe. Marta est religieuse et Ruf la considère comme sa mère. D'où le fait qu'elle ait utiliser son nom pour son "patro"nyme. Malgré les années, elle a gardé une grande crainte envers les hommes et marche toujours sur la pointe des pieds avec eux (effet qui s'atténue quand elle connaît la personne depuis longtemps). Sa compassion envers les zootropes lui est naturellement venue mais elle se retient de l'exprimer trop fort car elle sait que c'est loin d'être l'avis majoritaire.
Fotafilis
Aventures du passe
○ Prénom et Nom : Fotafilis
○ Age : 52 ans
○ Alignement : Neutre
○ Race : Dragon-fée
○ Classe : Médecin
○ Métier : Marabout itinérant
○ Crédit avatar : de DragonsAndBeasties
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Petit, pas plus grand qu'une main mais je fais avec, j'ai accès à nombre de détails que n'ont pas les grands.
- T’as des signes particuliers ? Mes écailles sont blanches et mes plumes dorées, pas très courant dans ma colonie mais sinon, je suis très semblable à eux.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : Un style vestimentaire ? Je ne porte rien.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? J’ai donc toujours sur moi un sac sans fond où j’entrepose tous mes outils et pommades, ainsi que des livres d’anatomie, de divination et enfin mon luth.
Interview avec un troll à trois orteils
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres ! Pas particulièrement, j'évite ceux de mon espèce, aucun n'arrive à la cheville de Férocia. Quant aux autres, ils sont tous pareils pour moi même si je les soigne.
- Un inconnu te propose un deal : tu te fais avoir, en général ? Rouler un guérisseur est idiot, rouler un Dragon-fée encore plus ! Ceux qui s'y risquent finissent avec certains désagréments plus ou moins graves.
- Tu te retrouves face à trois trolls super vénères... Qu'est-ce que tu fais ? Est-ce qu'ils me voient d'abord ? Je suis assez discret et je peux voler pour éviter de me faire écraser.
- Où est-ce que tu dors le soir ? (Ou le matin. Ou l’après-midi. Tu dors, d'abord ?) Dans un nid douillet de mousse, entre les branches d'un arbre. En tant que vagabond, je change de couchage régulièrement. Pour être précis, je dors par intervalle régulier un petit moment au moins huit fois par jour, sur une durée totale de six heures.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je me lève le matin, je fais ma toilette avec la rosée du matin. Ensuite je mange des baies ou des graines selon la saison. Je dispense mes soins à qui remarque mon écriteau. En échange, ils me filent des aliments, les objets dont j’ai besoin ou des informations. Je n’ai pas de but particulier, juste vivre.
- Si tu possédais le miroir de Guldin, qu'est-ce que tu en ferais ? Je l’ignore ! Peut-être que si j'étais roi Dragon-Fée, j'y verrai une utilité mais là… je me contente de vivre au jour le jour.
Histoire (courte)
*Des notes de mini-luth se font entendre*
Je vais vous conter mon histoire, tragique qu'elle est !
Mais vous pouvez lire l'écriteau en bas,
N’étant pas bon chanteur, je comprendrais,
Et une longue histoire vous rendrait las.
*Les notes reprennent plus fortement avant de se calmer*
Je suis né Prince, par la chance j'ai été élu,
Ou par malheur, car un seul peut régner
Quant aux autres Princes, la colonie les tue.
Point final, ça s'en serait arrêté là, mais… !
Fotafilis est mon nom, mes goûts sont l'étude
De la botanique, la divination et de la panacée.
Définitivement moins bon chanteur que le barde,
Exécrable danseur en comparaison de Soimacé,
Je n'excelle dans aucun art, je suis touche-à-tout,
J'aurais pu exceller en Roi mais nulle illusion,
J'aiguisais mes armes sous couvert de marabout,
Je pressentis que les étoiles auraient raison,
*Les sons se firent plus légers et lyriques*
Un évènement allait à jamais marquer ma vie,
À la cour de la colonie, je côtoyais la belle
Et éclatante princesse Férocia, avide de vie,
Prête à défier le destin et son mesquin carrousel,
En secret, je lui promis de fuir avec elle,
Et de bâtir avec ses soins la nouvelle colonie,
Elle, ma Reine et moi, son Roi, loin d’ici,
Le temps nous manquait, j’étais irrationnel,
*Le rythme s’accélère*
La cérémonie s’engagea, Princes et Princesses,
Enfermés au cœur du nid pour se départager,
Mes tours de magie étaient bridés et altérés,
Férocia créa une brèche avec force et hardiesse,
*Le rythme s’accélère encore*
Nous partîmes à tire d’ailes,
Les gardes nous pourchassèrent
Comme des criminels,
De Férocia, ils tailladèrent la chair,
Je soutenais mon amie sincère,
Préparant des soins éclairs…
*Les sons s’étoilent*
Elle expira dans mes pattes,
Je n’oublierai jamais cette date,
Par magie je disparu à la vue
De mes poursuivants assidus
Depuis lors, j’erre en âme égaré,
Proposant potions et pommades
Pour tout ce qui se soigne aisé
Pour tout ce qui se soigne…
*L’écriteau dit :
« FOTAFILIS, PRINCE EXILÉ DE SA COLONIE, A PERDU SON ÂME-SŒUR FÉROCIA, VIT DE SA MÉDECINE ET DE SA MAGIE.
CHERCHE CROCS DE VIPÈRE ET POUSSIÈRE D’ÉMERAUDE. »*
Si vous souhaitez plus de détails au sujet des sorts que je sais faire, c’est censé rester secret mais à vous je le peux.
Je sais me rendre invisible, me téléporter sur de courte-distance et à vue ainsi que bouger des objets dans une portée de deux mètres (ce qui est pas mal pur mon gabarit). En tant que créature magique, je peux aussi percevoir les auras si je me concentre dessus. Ma magie est intuitive et dépend de ma volonté et de mon état de santé (sous l’influence des champignons, c’est… tout ou rien).
Également, je pratique la divination d’après des parchemins, je lis les feuilles de thé, les runes, dans un récipient d’eau mais mes visions sont floues et portent à l’interprétation.
Au niveau de mes compétences médicales, je soigne les symptômes et pratique la chirurgie. J’allie parfois la magie blanche aux soins en cas d’urgence mais ça me demande du temps, c’est ce qui m’a manqué pour Férocia…
Than
Aventures du passe
○ Prénom et Nom : Than Rilynana
○ Age : 33 ans
○ Alignement : Mauvais
○ Race : Elfe noir
○ Classe : Chasseur
○ Métier : Chasseresse de dragons
○ Crédit avatar : de Julia Kovalyova et mexi-doodler
Cherche coiffeur (mort ou vif)
- Grand ou petit ? Ou entre les deux ? Je suis grande, quelle question ! Quel elfe n’est pas grand et élancé !? Mon maître me compare souvent à une gazelle (c’est une sorte de biche qui vit au Sud).
- T’as des signes particuliers ? J’ai des tatouages sur les bras faits pour me relier à la Terre mais ils sont souvent dissimulés par mes manches et j’ai aussi de longs, très longs cheveux immaculés que je cache sous ma capuche.
- Décris-nous un peu ton style vestimentaire : J’ai des tatouages sur les bras faits pour me relier à la Terre mais ils sont souvent dissimulés par mes manches et j’ai aussi de longs, très longs cheveux immaculés que je cache sous ma capuche.
- Y a-t-il un objet que tu portes toujours sur toi ? Mon arc et mon couteau de chasse m’accompagnent toujours, ainsi que Yenlu, même si elle n’est pas un objet, hihi ! Il s’agit d’un hibou grand-duc femelle. Oui, la chouette avec des aigrettes, vous êtes décidément déplorable en zoologie.
Interview avec un troll à trois orteils
- Avoue. Y’a une race que t’aimes moins/plus que les autres ! Nous, les elfes noirs, ne sommes pas connus pour être agréables avec tout le monde, même si on fait bien semblant au début. Ne jamais faire confiance aux autres, qui qu’ils soient, surtout les gens « honnêtes » car comme disait un grand homme d’Isotier : « une crapule ne s’amendera jamais et une personne honnête est capable de renverser son code d’honneur sur un coup de tête ».
- Un inconnu te propose un deal : tu te fais avoir, en général ? En général, quand ils voient le sang sur mes mains, ils changent vite d’avis. Je tire plus vite que mon ombre (il paraît qu’on vise à un endroit très particulier) et je peux laisser plus d’un rat mort sur leur porche, histoire de pourrir l’agréable journée qu’ils passent chez eux avec une jambe dans le plâtre. Faites pas chier l’elfe noir. Je ne roule pas en revanche, je glisse.
- Tu te retrouves face à trois trolls super vénères... Qu'est-ce que tu fais ? Je les attire tout d’abord dans la forêt qui est mon royaume avant de les canarder dans les zones sensibles, histoire de les énerver tellement qu’ils se cognent entre eux. Si je suis en ville, je monte sur les toits.
- Où est-ce que tu dors le soir ? (Ou le matin. Ou l’après-midi. Tu dors, d'abord ?) Je dors comme tout le monde, au milieu d’une meute de loups ou dans un arbre habité par les corbeaux. Je peux dormir dans les environnements les plus hostiles tant que cela n’agresse pas mon nez fin. Je ne crache pas sur un lit mais je dois être sure d’y dormir en sécurité. Yenlu veille sur moi souvent avant de partir à la chasse.
- Une journée normale, pour toi, ça ressemble à quoi ? Je voyage beaucoup, l’environnement change beaucoup mais mes actions sont simples. Je chasse, c’est mon métier, je traque des bêtes néfastes, j’attrape du gibier sur patte et je revends la viande, je récolte mon butin. Ensuite, la journée, je fais ce que l’on appelle dans le milieu de la reconnaissance (mais les autres appellent cela du tourisme), c’est à dire collecter des informations et trouver des babioles sympas.
- Si tu possédais le miroir de Guldin, qu'est-ce que tu en ferais ? Je le cachera pour qu’aucune personne ne l’utilise dans le but de chasser les elfes noirs aux Enfers, j’ai grandi ici, moi ! Même si je suis une elfe noire, Heavensaw est le seul monde que je connais ! Et les descriptions que j’ai eu des Enfers ne me donnent pas envie d’y aller, trop monotone, trop terne !
Histoire (courte)
Vous interrogez le cerf du coin, il vous répond qu’il n’a jamais entendu parler d’une quelconque chasseresse. Il s’éloigne de vous avant de prendre l’aller sans retour, une flèche dans le cou.
Vous interrogez le tavernier du coin, il vous répond qu’il refuse de servir les elfes noirs sans lever les yeux vers la silhouette encapuchonnée aux longs et luxueux cheveux blancs d’elfe qui est tranquillement en train de boire. Ensuite il vous chasse car vous ne voulez pas consommer chez lui.
Vous interrogez un grand-duc femelle du nom de Yenlu, elle vous répond que Than est la seule humanoïde avec qui elle supporte d’être et qu’elle connaît beaucoup de chose sur elle car ces deux-là sont liées depuis des années. Elle vous propose d’interroger les parents de Than, si tant est que vous arriviez à les trouver ! Et elle s’envole à tire-d’aile.
Vous interrogez l’elfe noire Sarath Rilynana, mère de Than, elle vous répond que sa fille est née d’une relation sans lendemain avec un elfe noir mercenaire couvert de cicatrices et aussi jeune qu’elle (elle va sur ses trois siècles). Il s’est tiré avant qu’elle ait eu le temps de se rendre compte qu’elle était enceinte. Elle a donc élevé Than, seule à Isotier du moins au début. Ensuite, elle a emmené la mioche dans les contrées forestières d’Heavensaw où la petite a développé un don pour tout ce qui est nature. Alors, elle s’est débarrassée de Than, alors âgée de dix-sept ans auprès d’un chasseur censé lui apprendre son métier. Vous souhaitez lui demander des détails sur le père, elle vous répond qu’il s’appelle Stej et c’est tout ! Maintenant, allez vous faire voir à Lalalariel ! Et elle vous chasse en vous menaçant de son épée.
Vous interrogez le chasseur Errik Moon, il vous répond qu’il a connu Than pendant une bonne dizaine d’années. Il la trouve chouette cette petite pour une descendante des Enfers. Elle est aussi acérée et tranchante qu’une épée en dur-acier et elle aimait beaucoup son loup. Non mais pas ça, bande de cochons ! Son loup c’est Karuk, son animal de lien, tous les chasseurs dignes de ce nom en ont un ! De même que Than s’est liée à un hibou grand-duc et l’a baptisé Yenlu. Elle est partie vivre sa vie, à la recherche de ses parents. La petite n’a jamais connu son géniteur… J’aimerais dire deux trois mots à cette ordure ! Et il disparaît dans la forêt.
Vous interrogez un loup gris du nom de Karuk, il vous répond que la petite est partie en ville pour parfaire son éducation d’elle-même et qu’elle désirait aux dernières nouvelles être assez forte pour chasser un grand et noble dragon. Il vous laisse et s’en va chasser.
Vous interrogez une scribe du nom de Clémentine Simili, elle vous répond qu’elle a autrefois accepté de former une sauvageonne à la peau aussi noire qu’une nuit sans lune et aux cheveux aussi immaculés que la neige. Les débuts n’ont pas été faciles : la fillette avait beau avoir l’air adulte, elle ne savait pas parler convenablement et se comporter en ville mais elle était aussi très tenace et a acquis un niveau de langage proche de la perfection. La petite sait maintenant écrire bien des langues. Vous demandez où elle se trouve actuellement. La scribe vous répond qu’elle est partie le dixième jour après l’équinoxe de printemps reprendre ses activités de chasse et parcourir le monde comme tel était son souhait. Elle avait aussi à cœur de retrouver ses deux parents qu’elle a perdu de vue et tuer un dragon mais elle devait plaisanter pour cette dernière. Elle vous demande ensuite si vous voulez lui faire écrire une lettre ou un texte quelconque.
Après plus toutes ces recherches, vous pouvez retracer la vie de Than Rilynana :
En 254 après la Brèche, elle est née à Isotier de Sarath Rilynana et de "Stej". Elle a grandi avec sa mère huit ans au port et six ans dans les villages d’Heavensaw.
En 268 ap. B., elle a été confiée comme apprentie au chasseur Errik Moon et Karuk son loup de lien où vers la fin, elle a contracté un lien avec un hibou grand-duc baptisé Yenlu.
En 278 ap. B., elle a suivi l’enseignement de la scribe Clémentine Simili.
Nous avons malheureusement perdu sa trace entre 284 et nos jours…
Dernière édition par Lunatique le Mar 11 Oct 2022, 22:10, édité 25 fois (Raison : Nouvelles fiches de 2020)
J'adore le clin d'œil !
