CONTRAT DE NOT'RP !

- Statut du RP : ouvert aux incrustations (à demander ici au préalable)
- Tour de jeu : Vrankiel => Acrimonie => Patate
- Délai maximum d'attente de réponse :  1 semaine
- Nombre de sauts de tours autorisés avant que le délai d'attente ne soit plus pris en compte pour le joueur attendu : 3
- Autre : n'importe quelle règle établie entre les joueurs 8D (écrire en anglais, etc.)

La station spatiale Sirius-34 était l’un des derniers bijoux d’architecture de la galaxie. L’idée qui avait guidé la main de l’architecte était aussi simple que merveilleuse : un globe de verre. Sirius-34 n’était qu’un immense globe de verre de 34 mètres de rayon dont seules quelques jointures métalliques perturbaient la vue sur l’espace. Grâce aux dernières technologies la gravité était orientée vers les parois de la sphère : les invités avaient la tête orientée vers le centre de la station et leurs pieds vers l’extérieur. En levant les yeux tout le monde pouvait voir la salle dans sa globalité, observer chaque invité, même depuis l’autre « bout » de la station. Si vous aviez l’idée de baisser les yeux vous pouviez admirer les étoiles d’Oxtros ou la nébuleuse "Helios" qui n'était qu'à quelques centaines d'années lumières. Autour de la station les vaisseaux garés formaient un anneau similaire à celui de la planète Phos’il.

Tout le gratin de la galaxie était là. Cette soirée mettait à l'honneur tous ceux qui faisaient tourner le monde : chefs d’entreprise, politiciens, grands journalistes, penseurs, militaires, … Chacun montrait sa puissance et sa richesse à travers ses plus beaux habits et son masque, car oui, c’était un bal masqué. Les discussions allaient bon train et pour qui avait l’habitude de ces soirées, derrière chaque sourire se cachait une bataille pour gagner en influence et en pouvoir.

Théodore adorait ces soirées, c’était son terrain de chasse. Il était habillé sobrement : un simple costume blanc avec des reflets beiges, un effet dû au tissu extrêmement rare et couteux dont était fait l’habit. Son masque, noir, représentait un visage souriant.

Petite-fille ?! Voilà la phrase que toutes les politiciens rêvent de ne jamais entendre. C’est quand vous êtes bien placé dans la société qu’un gamin se ramène pour vous demander son argent de poche… Pourtant Théodore avait pris soin « d’éliminer » tous risques de descendance…
C’était une petite voix, surement une jeune femme, mais quand il se retourna il tomba nez à nez avec intimidant robot noir. « Et moi je suis une énorme larve verte qui contrôle tous les mercenaires de la zone ? A qui ai-je l’honneur ? »

Un silence de plomb tombe à la révélation. Pallas avait confondu son logiciel obsolète avec un autre logiciel. Dark Vador gêné. Une grande première. Il se tortille comme un vers en baissant la tete. Vous.. Vous.. n’êtes pas mon logiciel obsolète. J'avais pas enregistré. Désolé Anonyme. Puis pour répondre à la question, elle se désigna du doigt et ajouta Ce logiciel utilise le pseudonyme Pallas Athéna Ludrian. Le syndrome de l'IA a encore frappé. Et ton traitement alors ?

Mais ? C'était un robot ou une femme costumée ? Sa manière de parler était étrange et faisait penser à celle d'une vieille IA. Mais pourquoi un robot aurait un grand-père ? Une folie du propriétaire peut-être...

« Androï... hum... Madame pardon... Athéna Ludrian, c'est un... plaisir de vous rencontrer. Je suis Théodore Nox, représentant du syndicat des commerçants de Phos'il. »

C'était vraiment une femme ?

« Je peux vous aider à trouver votre "logiciel obsolète" ? »

Phos'il. La planète la plus fascinante  du système d'Oxtros pour les numériciens et les hackers à cause de ses immenses data center qui stockaient la majeure partie des communications du système. L’intérêt de Pallas s'accrut pour le logiciel obsolète qui lui faisait face même si le lapsus l’énerva un poil. Mon statut enregistré sur le serveur de l'AAG affiche humaine à 66,7%  et cyborg à 33,3%. Dark Vador ferme son poing. Il est pas content du logiciel obsolète.

Houla... Il était tombé sur une folle... Plus vite il se débarrassera d'elle et mieux il se portera.

" Ah fascinant, je vois que vous êtes une dame très spéciale. Cette soirée est merveilleuse, vous ne trouvez pas ? Je vous souhaite d'en profiter un maximum et j'espère que vous retrouverez vite votre logiciel obsolète. "

Sur cette dernière phrase Théodore se pencha légèrement en avant, simple réflexe de bonnes manières, puis se retourna pour aller discuter avec des personnes "normales".

Pallas n'enregistra pas la ligne de dialogue qu'elle venait de capteur avec son interface auditive. Elle crut que le logiciel obsolète avait un bog.  Des sachets de thé à 30 000 crédits. Rien de mieux pour provoquer une erreur du système. Nous n'appartenons pas aux mêmes univers.  Quelqu'un  se mit à diffuser de la musique de Mozart, comme pour détourner l'attention de la tragique prise d'otage qui était en train de se dérouler.

Code couleur pour les PNJ:

L'armure de Spartan tourna rapidement la tête vers celle de Dark Vador.

"Et bien si, maintenant nous serons du même univers. Epsilon occupe toi d'elle, ça fera un otage de plus."

L'acolyte du Spartan apparut derrière Pallas, c'était l'un des robots serviteurs de la soirée. Sa main gauche disparut pour laisser apparaître un canon de blaster qu'il pointa dans le dos de la cyborg.

"Veuillez-nous suivre et peut-être vous vous en sortirez. Chef, les tâches préliminaires se sont déroulées normalement."

Mes nerfs se raidirent lorsqu'on me tomba dessus. Dans un mouvement presque automatique, Je rattrapai le pauvre homme afin de le stabiliser, mais les terroristes me menacèrent de me tuer au moindre mouvement. Dans un froncement de sourcils, Je déposai lentement le corps sonné de l'homme au sol. "Ça va, je fais que le mettre là..." En profitant du petit malaise pour envoyer un signe à Kiwi, qui alarma l'agent de l'AAG pour que le drône soit relâché.

Choix du RP:

Ce fut rapide, soudain et surtout inattendu : onze otages foncèrent d'un coup vers le Spartan et le droïde serveur pour les plaquer au sol. Dans la précipitation un terroriste s'approcha avec une blaster à la main. Son regard parcourut rapidement la scène, essayant de comprendre ce qui se passait, jusqu'à ce qu'un robuste chef d'entreprise lui saisisse le cou par derrière pour l'étrangler. Des tirs commencèrent à résonner dans la salle. En juste 10 secondes la panique prit le contrôle de la station.