VOTE Concours 3 : "Histoire de Nanite"Dim 21 Oct 2012, 11:22
3ème Concours
• • • Explication - Rappel
D'après une idée de Siparti, retravaillée ensemble, nous vous présentons un tout nouveau concours qui scie parfaitement à NRP et ses petites particularités.
Avec "Les Histoires Nanites", vous aurez la possibilité de dépasser le quota de 4 lignes pour..... 40 lignes max ! Wouhou *danse du cookie* mais ce n'est pas tout ! Vous êtes entièrement libre dans le choix du personnage de votre histoire, la seule condition : ce doit être un personnage du forum (validé). Ce peut être le votre ou celui d'une autre nanite, et vous pourrez faire intervenir (si vous le souhaitez) jusqu'à 3 autres personnages du forum. Les PNJ sont illimités.
De même, vous pouvez choisir le NM que vous préférez, en veillant à respecter son univers. Lobandig et Old Christmas Town compris.
Enfin, il reste quelques règles à respecter pour corser le jeu : inclure 1 objet, 1 action et prendre garde aux trois mots interdits !
Les objets :- chandelle
- marshmallow
- figurine de Hulk
- feuille de papier toilette dédicacée par qui vous voulez
- pierre de météorite
Les actions :- embrasser une bête poilue
- voler une arme factice
- danser la guigandélire
- boire dans un gobelet comme si c'était le Graal
- rater son saut de l'ange
Les mots interdits :- main / mains
- parler (et toutes ses conjugaisons)
- bien que
• • • Critères de Vote
Surtout, ne pensez pas que la fiche la plus longue est forcément la meilleure ! Le plus important est de respecter les conditions du concours. La meilleure fiche peut être la plus drôle, ou la plus belle. Le principal est que vous preniez plaisir à la lire ;)
Vous devrez élire celui que non seulement vous préférez, mais qui vous semble avoir intégrer les éléments du jeu le plus finement possible :p
• • • Récompenses - Rappel
Au pluriel, s'il vous plait !
Le créateur avec le plus de vote aura :
• S'il a un forum, son logo en page d'accueil de NRP pendant 1 mois.
+ l'autorisation de RP avec 20 lignes max pendant 2 semaines !
+ la possibilité de choisir la liste des 3 mots interdits du dernier !
Les 2ème et 3ème auront :
• l'autorisation de RP avec 10 lignes maximum pendant une semaine.
L'histoire gagnante sera ajoutée en spoil dans la fiche du NM concerné.
• • • Gages - Rappel
En participant au concours, vous engagez à prendre le risque d'être le dernier. Celui qui aura donc le moins de vote devra :
• Réduire ses RP à 3 lignes pendant 1 semaine !
+ ne pas utiliser les 3 mots interdits par l'auteur gagnant dans ses RP et dans le flood (muhahaha) • • • Les Histoires
Par TOKYO
- Spoiler:
Ceci dit, une panne, ça peut arriver à tout le monde ...
B132… Une base civile, était-ce vraiment nécessaire ? Ce spatioport était le plus fréquenté de Del Torco, situé dans la capitale c'est la station fréquentée de tous, commerçants, notables, touristes, tous les civils qui ont un voyage à faire s'y côtoient mais les seuls militaires qui y sont armés font partie de la sécurité du lieu ou de la protection rapprochée d'une autorité.
L'IA du vaisseau se manifesta via l'oreillette du Commandant…
"La communication avec la Base vient de s'effectuer, B132 demande à vous contacter directement."
Via une manoeuvre rapide sur son PDA, il prit la conversation.
"Ici Jørn Lexis, Commandant du Valkeaswanin en détresse, nous réitérons notre demande d'atterrissage forcé"
"Ici B132 nous allons vous aiguiller vers la plus grande place du spatioport, cette base n'a jamais été prévue pour accueillir un équipage entier il faudra attendre au moins 2h avant d'effectuer un débarquement complet."
"Le débarquement du Valkeaswanin est une épreuve pour tous les spatioports je vous rassure" rétorqua Jørn avec une once de fierté…
Après quelques minutes de discussion, la base lui annonça qu'une entrée lui était faite et que selon tous les paramètres communiqués il devrait se poser d'ici 1h, autrement dit, très rapidement. Jørn annonça la nouvelle à tout l'équipage qui se réjouit un peu vite vu le brouhaha qui résonna à travers les murs métalliques de l'engin. Le Commandant Lexis passa vite pour un rabat-joie lorsqu'il leur expliqua qu'il ne savait pas encore s'il serait possible de débarquer sur cette planète, mais d'aucun ne se permettraient de râler face à l'autorité.
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La manoeuvre s'avérait plus complexe que ce qu'il aurait pensé, l'IA était sur le qui-vive et commençait à s'affoler, enfin… autant qu'un ordinateur puisse s'affoler. Les paroles de l'ordinateur commençaient à s'entre-mêler tandis qu'elle annonçait tous les paramètres, toutes les possibilités que la manoeuvre rate, bref, Jørn lui demanda plus ou moins poliment de la mettre en veilleuse et de focaliser tous les processeurs du vaisseau sur l'atterrissage, chose faite le monstre de métal grinçant se stabilisa et se posa du plus doucement qu'il put même si tout le monde s'était attaché pour ne pas se cogner sur les plafonds glacés du Valk', et c'était prudent en effet. L'IA s'était ré-enclenchée en urgence…
"Vérification de l'état du vaisseau. Moteurs principaux toujours sans réponse, aucune hypothèse à avancer pour justifier la panne. Les soldats de seconde classe sont réunis dans le réfectoire et demandent communication vidéo."
"Les aspirants ? Détaille."
"Je regrette commandant, je ne peux que vous mettre la vidéo."
Soudain Jørn manqua de s'étouffer, mais… sérieusement. Le Commandant s'esclaffa et commença à pleurer de rire, une centaine d'aspirants avaient poussé les tables dans les coins et dansaient la gigandélire dans un flashmob magnifique avant de hurler 'Atterrissage réussi !' .
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Quand il était sorti, Jørn avait admiré le fabuleux aéronef constellé de pierres de météorite, il faudrait le faire nettoyer un de ces quatre. Mais désormais, le Commandant était en train de voguer dans les terminaux du spatioport. Soudain, distrait, il percuta un jeune homme qui fit tomber son béret dévoilant un chignon de cheveux blonds perché sur son crâne… Le commandant allait se confondre en regrets quand l'accompagnateur le fixa avant de s'excuser lui même "Vous savez, elle- Il est aveugle." Le frêle garçon s'était pris une rapide tape derrière la tête par la personne dont il était question… Toutefois il semblait à Jørn avoir déjà croisé cette personne au chignon qui réajustait le couvre-chef que ce qui semblait être son serviteur lui avait tendu. "Presque 20 secondes Sam- Charly, c'est incroyable ce que tu peux être lent- graaaaand frère."
Par SYDNEY
- Spoiler:
Lieu : Losbandig
Personnage : Camélya Hume
"Monsieur le tigre sexy"Camélya se demandait ce qu'elle faisait ici... Devant elle, deux amoureux s'embrassaient langoureusement, en poussant des murmures bestiaux, comme si la langue de leur partenaire représentait leur dernier repas. C'était sûrement le lieu dans lequel ils se trouvaient qui exacerbait leur libido, car la jeune zoothrope se sentait elle même excitée par le spectacle. Elle avait réellement l'impression de tenir les... Ah bah tiens, qu'est ce qu'elle tenait ? Deux belles chandelles en argent ! Elle essayait de se souvenir pourquoi elle avait accepté de les accompagner : c'était sûrement sa hantise de refuser un service qui l'avait amené ici. Elle se fit cuire quelques marshmallow sur le feu de camp, avant de se lever pour explorer la forêt tropicale qui les entourait. Ils ne remarquèrent même pas son départ.
Progresser dans l'épais tapis de végétation avec une robe était difficile. Elle lâcha quelques jurons, quand elle tomba nez à nez avec un énorme tigre. Tu es très appétissante petite, gronda le félin. Un animal sauvage qui arrive à communiquer parfaitement avec un être humain ? Il ne pouvait s'agir que d'un autre zoothrope ! Avec une pareille transformation, il ne devait pas craindre qu'on découvre sa véritable identité... Je sais que tu es humain, je suis comme toi, ne me fais pas de mal ! supplia-t-elle. Je n'ai aucune pitié... Par contre, je m'ennuie, danse-moi la guigandélire, et je te laisserais peut-être partir ! Camélya ne connaissait absolument pas cette danse, à la place, elle lui reproduisit la chorégraphie de gangnam style. Très drôle ! Tu es bien jolie, et tu me mets en appétit d'une toute autre manière... Embrasse-moi ! La jeune fille, terrorisée, s’exécuta, et s'approcha pour embrasser la bête poilue... Son haleine fétide, et ses longues canines, rendaient ce baiser rebutant... Cependant, au fur et à mesure, l'impressionnante mâchoire se transforma en lèvres humides. Le tigre se révéla être un très beau jeune homme, sa nudité laissant paraître des muscles seyants. Il avait gardé de sa forme animale ses cheveux roux et ses yeux marron. Il l'attrapa par les hanches, fit glisser sa culotte le long de ses jambes, l'appuya contre un tronc d'un arbre, et la pénétra férocement.
Après plusieurs heures de plaisirs interdits, les deux amants se trouvèrent assoiffés. Inutile de dire, que lorsqu'ils rentrèrent au campement, ils burent dans des gobelets comme si c'était le graal ! Je pense que je vais rentrer, dit le jeune homme. Tu habites dans la forêt ? s'étonna Camélya. Oui, ça m'évite d'avoir des problèmes avec la Milice. Il y a des côtés sympa, selon mon humeur je peux violer ou manger les jeunes filles qui passent... Camélya ne savait pas si elle devait en rire ou en pleurer, elle se contenta d'un dernier bisous d'adieu. Au revoir monsieur le tigre sexy.
Par OSLO
- Spoiler:
Aujourd'hui, un connard de cactus m'a piqué mon goûter. VDMOn est mercredi. Mercredi, c'est le jour de la piscine. Tous les gens vont à la piscine le mercredi, car le dimanche est consacré au vélo et aux émissions de Chuck Norris. Je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs. En tout cas, moi, Marylise Leyburn, 22 ans, toutes mes dents, je suis dans un monde de glace. Je ne suis pas la plus belle, mais vanille, fraise ou chocolat, j'aurais bien aimé. Malheureusement, je ne suis entourée que de glace à l'eau.
Il fait froid. Un gros pâté vert s'avance vers moi. J'entre dans la pyramide de verre recouverte de ma veste en vair pour lui échapper. Là, j’atterris dans un magnifique hall de 3m2 aux reflets bleus et argent. Je n'y construirais pas ma maison, mais il semble que ce soit un chouette endroit. Sur le côté, une énorme porte m'attends sagement. J'y passe prudemment... mais c'est un guet-apens ! Le huis se referme dans un crissement sinistre, et deux curieux zombies s'approchent de moi...
Ni une ni deux, je dégaine mon épée et tourbillonne follement, mes cheveux virevoltant dans mon dos. Une tête, deux têtes... Avant que la mienne ne tombe également, je m'enfuis vers les profondeurs de la pyramide. Je slalome entre des pâtés bleu ou violet, décapite d'autres zombies, saute d'un rocher à un autre, dévale des pentes effrénées à l'aide d'une tyrolienne improvisée... Tout semble me sourire !
Mise en confiance par la réussite hors du commun qui me poursuit, je ne vois pas que quelqu'un d'autre me poursuit, légèrement moins agréable...
« Aaaaaaaaaaaaaïe !!! »
Vous êtes-vous déjà fait aspirer par un cactus géant ? Ça fait mal. A l'aide de ma compagne l'épée, je tente de me libérer en déchiquetant la bête de l'intérieur (histoire de sortir vivante de cet endroit pourri, et d'éviter de finir digérée par un monstre carnivore assez dégueu). Après moult et moult essais, je parviens enfin à tuer ce carnassier malodorant (je rajoute des adjectifs pour le faire paraître plus effrayant, car tu ne parais pas te rendre compte de la gravité de la situation, insensible lecteur que tu es). Secouant ma magnifique chevelure à la manière d'une star de publicité pour shampoing anti-frisotis au beurre de karité, je me débarrasse de la bave brune et visqueuse qui m'entoure à présent. Huuum... Je crois que ma faim est passée, tout d'un coup.
Alors que je m'apprête à reprendre la route, une affreuse sensation de légèreté m'envahit : mais où est donc passé mon fidèle sac à dos ?? Je me retourne, larmes aux yeux, pour découvrir la dure réalité ; je n'ose la proférer... Mais puisqu'il le faut, voilà ce que je vois : au milieu du cadavre du monstre, gît mon sac au trois quarts digérés. Incapable de me retenir, je me jette à genou et fond en sanglots déchirants.
Ce sac... Il m'a suivi près de trois heures. Je l'ai acheté dans un village miteux à une vieille femme qui, vu l’œillade torve qu'elle m'a faite, ne doit pas être pour rien dans la meurtre de douze enfants du lieu. Mais les problèmes juridiques de ce patelin ainsi que le pratique contenant à plusieurs poches doublé cuir qui en vient ne m'intéressent finalement pas. Ce qui me chagrine le plus, c'est bien la disparition de ces loyaux princes du seize heure, ces généreux distributeurs de sourires : mes cookies. Une fin si funeste qu'ils ne méritaient pas...
Après quelques minutes de recueillement, je relève la tête. Au fond de la pièce se trouve un coffre. Epuisée par mes pleurs, je m'y traîne et l'ouvre avec l'engouement d'une princesse obligée d'embrasser une bête poilue pleine de poux. Qu'y trouve-je ? Une pierre de météorite. Encore. C'est déjà la dixième aujourd'hui. J'en ai vendues sept à la vieille dame, mais je crois qu'elle m'a arnaquée. Abattue (j'espérais des cookies), je la fourre dans ma poche. Je pourrai toujours la balancer à un de ces pitoyables monstres.
Je passe un nouveau couloir. Tue deux zombies. Une porte. Enfin, je veux dire, je ne tue pas la porte. Mais elle est là. Avec une énorme serrure. Bien entendu, je n'ai pas la clef. Alors, j'entre dans la serrure et je me glisse à travers. Elle est tellement grosse que j'aurais pu y passer même avec le cactus géant accroché à moi.
Je fais irruption dans une salle immense. Immense. Immense... Mais occupée. En effet, un énorme monstre à tentacule et yeux globuleux comme des maisons est avachi sur l'espace central. Il me dévisage de sa haute stature, tandis qu'une voix grave annonce :
« Nano, poulpe maléfique. »
Là, j'ai peur. Je recule et manque me faire écraser par une porte coulissante qui se referme de manière sentencieuse. Je dois tuer ce monstre.
Je dégaine mon épée droite devant moi. Que dois-je faire ? Couper les tentacules, crever les yeux ? La bête s'agite, tente d'abattre ses immondes membres violets sur moi. De mon côté, j'essaye de lui insuffler de la crainte, de la pitié, ou n'importe quel sentiment qui pourrait la pousser à m'épargner à l'aide de mon pouvoir. Le résultat est plutôt décevant ; je continue de courir en rond, espérant à chaque attaque toucher fatalement le monstre.
C'est alors que le premier coup tombe. Sur moi. Puis le deuxième. Toujours sur moi. Trois, quatre, cinq... Je tente de me soustraire à ce sinistre sort, mais rien n'y fait. Dans un dernier et fol espoir, je me jette sous la bête, et...GAME OVER
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Par BUENOS AIRES
(finalement erreur, pas de pénalité)
- Spoiler:
Sans le savoir, Rory venait d'enclencher quelque chose de bien plus grave et important qu'il n'aurait pu le soupçonner. Pourtant, lorsqu'il s'était levé ce matin-là, rien ne présageait qu'il s'agirait d'une journée sortant de l'ordinaire. Les murs familiers de la roulotte qu'il partageait avec deux autres garçons du Carnivale étaient la première vision qu'il avait eue au réveil. Jusque là, donc, tout allait bien. Il s'était ensuite levé, étiré, et dirigé machinalement vers la petite chaufferette en fonte où il préparait son café. C'est là que le premier événement inhabituel d'une longue succession de choses inhabituelles avait eu lieu ; quelqu'un venait apparemment d'utiliser la chaufferette et celle-ci était encore brûlante. Or en la touchant, Rory en avait non seulement ressenti la chaleur, mais aussi une sensation jusqu'ici inconnue qui lui fit retirer ses doigts à toute vitesse. « Qu'est-ce que ? » Surpris, il se releva, et marcha lentement vers son lit, sur lequel il s'assit. A ce moment-là, on frappa à la porte. En allant ouvrir, le garçon buta contre une pierre de météorite que son colocataire avait trouvé et laissé traîner par terre, et, à nouveau, la sensation inconnue se fit ressentir. Assez choqué, il finit par ouvrir la porte pour découvrir Pax, debout sur le pas de la porte, un lionceau dans les bras. « Ce lionceau vient d'arriver chez nous, mais j'ai vu que si nous le mettions avec Charly, il allait se faire tuer par jalousie. Donc, c'est toi qui le garde. » Elle lui plaça d'autorité l'animal dans les bras. Rory considéra avec un certain attendrissement la petite boule de poils chaude qui le regardait, elle, avec curiosité. « Je vais l'appeler ... » « Billy, oui, je sais. » Pax le considéra ensuite un certain temps, comme si elle était sur le point de l'avertir de quelque chose. Finalement, elle hocha brièvement la tête et se détourna, laissant le garçon seul avec son nouvel ami. Définitivement, c'était un jour bien étrange. Rory embrassa Billy sur le sommet du crâne avant de le déposer sur un coussin, le temps de lui bricoler un petit coin à lui. « Tu sais, Billy, depuis que je me suis levé, il m'est arrivé quelque chose d'étrange. Je crois bien qu'en voulant me préparer un café, je me suis brûlé, et lorsque j'ai trébuché sur ce caillou, je pense avoir eu mal. Ce qui est impossible. Alors peut-être que tout ceci n'est qu'un rêve, mais il me semblait pourtant que l'on ne pouvait pas ressentir de la douleur dans les rêves, puisque c'est en se pinçant qu'on peut savoir si l'on est en train de rêver, justement. » Le lionceau émit quelques sons de bébé lion. « Tu crois ? C'est vrai que Sun est du genre à expérimenter ses inventions sur les autres mais ... » Billy désigna de la tête la petite table au coin, sur laquelle traînait toujours la tisane que son ami lui avait préparée la veille. « ... » Rory voulut saisir la tasse pour en inspecter le contenu, mais ce faisant, il se prit à nouveau les pieds dans la pierre de météorite, et la douleur le submergea à nouveau. « Aouw ! » ne put-il retenir, tandis que la porte s'ouvrait à nouveau sur Pax. « Ah, très bien. Il fallait juste que vois ça. Bye. » Après quoi, Rory décida de rester allongé sur son lit pour le reste de la journée, Billy sur le ventre. Vraiment, quelle journée étrange.
Un grand merci à tous les participants ! Vos histoires m'ont bien fait rire xD Et j'espère que vous serez nombreux à voter **
Dernière édition par Nano. le Dim 21 Oct 2012, 17:01, édité 1 fois